Appel à candidature pour recrutement du Directeur National du Projet

 

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Le paysage du Lac Télé (LT) en République du Congo revêt une importance globale pour la biodiversité mondiale. Il contient certaines des densités de gorilles de plaine parmi les plus élevées jamais enregistrées dans la région (environ 15 000 gorilles de plaine de l’ouest et 1 500 éléphants de forêt). Pour les gorilles en particulier, le paysage de LT représente un habitat unique composé principalement de marécages et de forêts inondées de façon saisonnière.

Leur habitat étant si spécifique, il est tout à fait possible que ces populations aient une écologie et un comportement spécifiquement adaptés, ce qui leur a permis de rester dans un endroit avec si peu de terre ferme et avec une composition d’essences forestières probablement très différente d’autres endroits du pays. Ils sont très mal étudiés par rapport aux autres populations de la région. Le paysage du Lac Télé abrite également une biodiversité exceptionnelle en milieux humides, notamment une diversité exceptionnelle d’espèces d’oiseaux et de poissons d’eau douce, trois espèces de crocodiles dont deux sont intégralement protégées, des loutres et une petite population d’hippopotames.

Les tourbières tropicales sont connues pour avoir une biodiversité distincte et un niveau d’endémisme potentiellement élevé comme dans les tourbières d’Asie. Comme l’écosystème du Lac Télé – Lac Tumba (LTLT) est mal connu, il ne fait aucun doute que le paysage abrite une diversité importante et unique de plantes, d’amphibiens et de reptiles qui sont peu susceptibles de se reproduire ailleurs (bien que des efforts supplémentaires en matière de recherche scientifique soient nécessaires pour découvrir la valeur de cette biodiversité).

La forêt de ce paysage constitue une importante frayère permettant la reproduction des poissons pour le paysage et probablement au-delà, car les zones de pêche exploitées atteignent les principales rivières telles que l’Oubangui. En tant que tel, le maintien de cet habitat est non seulement essentiel pour la valeur de la biodiversité, mais également pour garantir l’accès durable des sources de protéines aux communautés locales… plus d’informations

Appel à candidature pour le recrutement du Conseiller Technique Principal-International

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Le paysage du Lac Télé (LT) en République du Congo revêt une importance globale pour la biodiversité mondiale. Il contient certaines des densités de gorilles de plaine parmi les plus élevées jamais enregistrées dans la région (environ 15 000 gorilles de plaine de l’ouest et 1 500 éléphants de forêt). Pour les gorilles en particulier, le paysage de LT représente un habitat unique composé principalement de marécages et de forêts inondées de façon saisonnière.

Leur habitat étant si spécifique, il est tout à fait possible que ces populations aient une écologie et un comportement spécifiquement adaptés, ce qui leur a permis de rester dans un endroit avec si peu de terre ferme et avec une composition d’essences forestières probablement très différente d’autres endroits du pays. Ils sont très mal étudiés par rapport aux autres populations de la région.

Le paysage du Lac Télé abrite également une biodiversité exceptionnelle en milieux humides, notamment une diversité exceptionnelle d’espèces d’oiseaux et de poissons d’eau douce, trois espèces de crocodiles dont deux sont intégralement protégées, des loutres et une petite population d’hippopotames. Les tourbières tropicales sont connues pour avoir une biodiversité distincte et un niveau d’endémisme potentiellement élevé comme dans les tourbières d’Asie et, comme l’écosystème du Lac Télé – Lac Tumba ( LTLT) est mal connu, il ne fait aucun doute que le paysage abrite une diversité importante et unique de plantes, d’amphibiens et de reptiles qui sont peu susceptibles de se reproduire ailleurs dans le pays – bien que des efforts supplémentaires en matière de recherche scientifique soient nécessaires pour découvrir cette valeur de la biodiversité.

La forêt de ce paysage constitue une importante frayère permettant la reproduction des poissons pour le paysage et probablement au-delà, car les zones de pêche exploitées atteignent les principales rivières telles que l’Oubangui. En tant que tel, le maintien de cet habitat est non seulement essentiel pour la valeur de la biodiversité, mais également pour garantir l’accès durable des sources de protéines aux communautés locales… plus d’informations

Appel à candidature pour le recrutement du Responsable Administratif et Financier

 

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Le paysage du Lac Télé (LT) en République du Congo revêt une importance globale pour la biodiversité mondiale. Il contient certaines des densités de gorilles de plaine parmi les plus élevées jamais enregistrées dans la région (environ 15 000 gorilles de plaine de l’ouest et 1 500 éléphants de forêt). Pour les gorilles en particulier, le paysage de LT représente un habitat unique composé principalement de marécages et de forêts inondées de façon saisonnière.

Leur habitat étant si spécifique, il est tout à fait possible que ces populations aient une écologie et un comportement spécifiquement adaptés, ce qui leur a permis de rester dans un endroit avec si peu de terre ferme et avec une composition d’essences forestières probablement très différente d’autres endroits du pays. Ils sont très mal étudiés par rapport aux autres populations de la région. Le paysage du Lac Télé abrite également une biodiversité exceptionnelle en milieux humides, notamment une diversité exceptionnelle d’espèces d’oiseaux et de poissons d’eau douce, trois espèces de crocodiles dont deux sont intégralement protégées, des loutres et une petite population d’hippopotames.

Les tourbières tropicales sont connues pour avoir une biodiversité distincte et un niveau d’endémisme potentiellement élevé comme dans les tourbières d’Asie et, comme l’écosystème du Lac Télé – Lac Tumba ( LTLT) est mal connu, il ne fait aucun doute que le paysage abrite une diversité importante et unique de plantes, d’amphibiens et de reptiles qui sont peu susceptibles de se reproduire ailleurs dans le pays – bien que des efforts supplémentaires en matière de recherche scientifique soient nécessaires pour découvrir cette valeur de la biodiversité.

La forêt de ce paysage constitue une importante frayère permettant la reproduction des poissons pour le paysage et probablement au-delà, car les zones de pêche exploitées atteignent les principales rivières telles que l’Oubangui. En tant que tel, le maintien de cet habitat est non seulement essentiel pour la valeur de la biodiversité, mais également pour garantir l’accès durable des sources de protéines aux communautés locales. Environ 90 000 personnes vivent dans le paysage LT, dont 20 000 d’entre elles seront les bénéficiaires d’activités ciblées dans le cadre de l’action proposée par le projet… plus d’informations

Appel à candidature pour le recrutement de l’Expert Suivi-Evaluation

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Le paysage du Lac Télé (LT) en République du Congo revêt une importance globale pour la biodiversité mondiale. Il contient certaines des densités de gorilles de plaine parmi les plus élevées jamais enregistrées dans la région (environ 15 000 gorilles de plaine de l’ouest et 1 500 éléphants de forêt). Pour les gorilles en particulier, le paysage de LT représente un habitat unique composé principalement de marécages et de forêts inondées de façon saisonnière.

Leur habitat étant si spécifique, il est tout à fait possible que ces populations aient une écologie et un comportement spécifiquement adaptés, ce qui leur a permis de rester dans un endroit avec si peu de terre ferme et avec une composition d’essences forestières probablement très différente d’autres endroits du pays. Ils sont très mal étudiés par rapport aux autres populations de la région.

Le paysage du Lac Télé abrite également une biodiversité exceptionnelle en milieux humides, notamment une diversité exceptionnelle d’espèces d’oiseaux et de poissons d’eau douce, trois espèces de crocodiles dont deux sont intégralement protégées, des loutres et une petite population d’hippopotames. Les tourbières tropicales sont connues pour avoir une biodiversité distincte et un niveau d’endémisme potentiellement élevé comme dans les tourbières d’Asie. Comme l’écosystème du Lac Télé – Lac Tumba (LTLT) est mal connu, il ne fait aucun doute que le paysage abrite une diversité importante et unique de plantes, d’amphibiens et de reptiles qui sont peu susceptibles de se reproduire ailleurs (bien que des efforts supplémentaires en matière de recherche scientifique soient nécessaires pour découvrir la valeur de cette biodiversité).

La forêt de ce paysage constitue une importante frayère permettant la reproduction des poissons pour le paysage et probablement au-delà, car les zones de pêche exploitées atteignent les principales rivières telles que l’Oubangui. En tant que tel, le maintien de cet habitat est non seulement essentiel pour la valeur de la biodiversité, mais également pour garantir l’accès durable des sources de protéines aux communautés locales… plus d’informations

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Les membres du Comité de pilotage du Projet « Renforcement des capacités d’adaptation aux changements climatiques des communautés vulnérables vivant dans le Bassin du Fleuve Congo » valident les documents stratégiques de mise en œuvre du projet

Développement Durable : les membres du Comité de pilotage du Projet « Renforcement des capacités d’adaptation aux changements climatiques des communautés vulnérables vivant dans le Bassin du Fleuve Congo » valident les documents stratégiques de mise en œuvre du projet
Valider les documents stratégiques de mise en œuvre du projet, tel a été l’objectif de la première réunion du comité de pilotage du Projet « Renforcement des capacités d’adaptation aux changements climatiques des communautés vulnérables vivant dans le Bassin du Fleuve Congo » tenu ce vendredi 22 avril 2022, à l’Hôtel PEFACO de Brazzaville. L’ouverture des travaux a été présidée par Madame Arlette SOUDAN- NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du bassin du Congo, en présence de Madame Anne Claire MOUILLIEZ, Représentante du Programme Alimentaire Mondial (PAM) en République du Congo, et de M. Chris MBURU, Coordonnateur résident du système des Nations Unies en République du Congo.
Selon la Représentante du PAM, ce projet est une occasion pour la République du Congo de redynamiser les politiques de mise en œuvre de ses programmes à travers le pays et de renforcer les partenariats visant le déploiement d’actions d’adaptation concrètes pour améliorer les conditions des populations les plus impactées par les changements climatiques. Elle a souligné à propos : «  Notre responsabilité est grande, mais je ne doute pas un seul instant de notre détermination et de notre habileté à faire de ce projet une référence parmi les 7 projets financés par le Fonds d’adaptation bénéficiant de l’appui du PAM sur le continent africain ». La Ministre de l’Environnement a pour sa part déclaré dans son allocution « Nous devons être rigoureux et exhaustifs dans nos travaux pour apprécier toutes les orientations et les appuis nécessaires pour que le projet atteigne les résultats escomptés ».
En tant qu’organe de décision le plus élevé du Projet, le comité de pilotage valide les orientations de la mise en œuvre globale du projet. C’est dans ce cadre que ses membres, après avoir passé au crible les documents stratégiques du projet pendant les travaux, ont procédé à la validation du règlement intérieur. Ils ont en outre pris connaissance sur la structure de gouvernance et le cadre opérationnel du Projet, du plan de travail et des dépenses de la première année. Les membres du comité ont été également sensibilisés sur l’importance et la portée des Accords de partenariats publics avant de procédé à l’examen des résultats de l’Atelier de démarrage.Au terme d’une journée de travaux, les membres du comité de pilotage ont formulé des recommandations dont la principale demeure la révision budgétaire dans le cadre de mise en œuvre des activités du projet. En rappel, le projet vise l’amélioration de la résilience des populations en matière de sécurité alimentaire et de nutrition grâce à des mesures d’adaptation au changement climatique. Il cible particulièrement les populations vulnérables vivant dans les départements de la Bouenza, la Likouala et la Sangha.

Développement Durable : Le Programme CAFI se dit favorable à un accompagnement du Congo à la prochaine COP 27

La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du bassin du Congo, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, a reçu en audience ce jeudi 17 mars 2022, à son Cabinet de travail, Son Excellence Jan Age OYSLEBO, Ambassadeur du Royaume de Norvège en RDC, accompagné de M. Olav LUNDSTOL, chargé du climat à l’ambassade et de Madame Christine LANGEVIN, Conseillère technique à la programmation du programme Initiative pour la Forêt de d’Afrique Centrale (CAFI).

« Je parle au nom de nos partenaires, pour souligner que le CAFI est prêt à accompagner votre gouvernement dans la valorisation de l’initiative phare de la mise en œuvre de la CDN dans le secteur forêt et utilisation durable des terres ». Ces propos sont ceux tenus par l’Ambassadeur de Norvège au cours de l’entretien que lui a accordé la Ministre de l’environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo. Les échanges entre la Ministre et la délégation norvégienne ont été essentiellement consacrés à la mise en œuvre du Programme  Initiative pour la Forêt de l’Afrique Centrale en République du Congo, un des pays bénéficiaires.

La Norvège, partenaire du Congo et un des bailleurs du Programme CAFI, a toujours fait de la lutte contre les effets du changement climatique une grande priorité.
Pour l’Ambassadeur « Le CAFI est notre empreinte la plus importante et la plus visible ici ».

Dès l’entame de l’entretien, Madame la Ministre a fait le tour d’horizon des différentes initiatives lancées par le Congo avec ses partenaires. Puis s’en est suivi un plaidoyer en matière de politique de lutte contre le réchauffement climatique et pour le développement durable. De la nécessité de la prise en compte du carbone séquestré des tourbières, à la participation du Congo à la COP 27, en passant par le renforcement du partenariat au niveau national, toutes les préoccupations pour lesquelles le Congo cherche encore un appui financier ont été exposées.

De son côté, Monsieur l’Ambassadeur de Norvège a pris l’engagement d’informer ses pairs pour la prise en compte des priorités du Congo à travers le CAFI. Le CAFI apportera notamment un soutien financier au gouvernement congolais pour sa participation à la COP 27, en Egypte.

En guise de rappel, le CAFI vise à lutter contre le changement climatique, protéger les forêts, réduire la pauvreté et contribuer au développement durable.

Le Groupe de la Banque mondiale prêt à maximiser l’impact du financement climatique au Congo

Le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du bassin du Congo, en collaboration avec le groupe de la Banque mondiale a organisé le mardi 08 mars 2022, une réunion en visioconférence pour poursuivre les échanges sur la nouvelle initiative du Groupe Banque mondiale qui consiste à aider les pays d’Afrique de l’ouest et centrale, ainsi que le secteur privé à maximiser l’impact du financement climatique, en visant des améliorations mesurables de l’adaptation, de la résilience et des réductions mesurables des émissions des Gaz à Effet de serre (GES).

Présidée par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre l’Environnement, du Développement Durable et du bassin du Congo, cette réunion est le prolongement des échanges déjà amorcés par M. Siméon Ehui, Directeur Régional pour le Développement Durable du Groupe Banque mondiale, lors de sa visite le 04 mars dernier à Brazzaville. La réunion a eu pour objet les échanges sur les moyens et mécanismes mis en œuvre pour promouvoir le développement vert, résilient et inclusif tout en préservant le capital naturel. La rencontre a été également l’occasion pour le Groupe de la Banque mondiale d’informer l’autorité congolaise sur le plan d’action pour le changement climatique (PACC) et sa déclinaison en région de l’Afrique de l’ouest et centrale.

En effet, le PACC vise à faire progresser les aspects liés au changement climatique avec une approche de développement vert, résilient et inclusif, l’éradication de la pauvreté et la prospérité partagée dans une optique de durabilité. A ce titre, il est d’une importance vitale pour la biodiversité et les services écosystémiques du Congo, parce qu’il offre une opportunité pour financer les projets identifiés dans le cadre de la mise en œuvre de sa Contribution déterminée nationale (CDN). Ce sont de grandes opportunités d’atténuation et d’adaptation pour stimuler le financement climatique et mobiliser les capitaux privés.

Par ailleurs, dans une optique de prioriser les besoins de financement du Congo dans le domaine du changement climatique, le Groupe de la Banque mondiale a envisagé d’envoyer une équipe technique qui mènera d’abord une étude complémentaire. Les résultats de cette étude serviront de base pour planifier les actions et les mesures d’accompagnement.

Aussi sur la base de la politique de planification des Contributions déterminées nationales (CDN) du Congo, le Groupe de la Banque mondiale, à travers son équipe d’étude, identifiera les projets qui cadrent avec sa stratégie de lutte contre les effets du changement climatique.
Abordant le point relatif à la taxe carbone, le Groupe de la Banque mondiale, à travers le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du bassin du Congo, est disposé à accompagner le Congo dans le renforcement des capacités de ses cadres en matière de maîtrise du prix du carbone.

Enfin, les deux parties ont convenu de poursuivre les échanges au cours d’une prochaine réunion dont la date sera communiquée ultérieurement.

En rappel, le groupe de la Banque mondiale joue un rôle essentiel dans les efforts déployés dans le monde pour mettre fin à l’extrême pauvreté et favoriser une prospérité partagée.

 

La Déclaration de Kigali réaffirme le soutien de l’Afrique Centrale au Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Retrouvez la déclaration en pdf ici 

Adoptée à l’issue de la 8e session du FRADD ( Forum régional sur le développement durable), tenue à Kigali du 3 au 5 mars 2022 sous la présidence du Chef de l’état Rwandais Paul Kagame et en présence de la Ministre de l’environnement, du développement durable et du Bassin du Congo présidente sortante du 7ème FRADD Arlette Soudan-Nonault, la « Déclaration de Kigali » réaffirme un soutien régional fort à l’initiative pionnière lancée par SE le Président Denis Sassou Nguesso.
Les signataires « appellent les entités du système des Nations Unies à aider les pays du Bassin du Congo à mobiliser les fonds nécessaires à leur développement durable à travers le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et à aider ces pays dans la mise en œuvre de leurs contributions nationales déterminées, dans l’évaluation de leur capacité de séquestration du carbone et dans le développement de modes de vie en relation avec le capital naturel unique de cette sous- region. »
La Déclaration de Kigali rappelle et réaffirme par ailleurs la teneur de la Déclaration de Brazzaville, adoptée lors de la 7e FRADD tenue dans la capitale congolaise en mars 2021.