La République du Congo sur la voie de produire son premier rapport biennal de transparence de l’action climatique (BUR 1)
C’est sous le patronage de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT que s’est ouvert ce 22 octobre 2024 à Brazzaville, l’atelier de lancement de la préparation du rapport biennal de transparence (BTR) et du premier rapport biennal actualisé ( BUR 1) pour la mise à jour et la clarification sur le cadre de transparence renforcé.
En tant qu’ Etat partie de la Convention Cadre des Nations-Unies sur le Changement Climatique, la République du Congo est tenue de fournir périodiquement des rapports sur les émissions de gaz à effet de serre et les mesures pour les atténuer, a-t-elle rappelé avant de repréciser le rôle crucial que jouent le BUR et BTR 1 dans ce processus.
En outre la Ministre a encouragé les parties prenantes à faire preuve d’un esprit de collaboration, d’ouverture et de pragmatisme tout au long de cet atelier afin de soumettre des rapports de grande qualité, en phase avec les ambitions nationales et les exigences internationales.
Pour sa part, le Coordonnateur du projet TCN/BTR et BUR 1, Monsieur Félix KOUBOUANA, a déclaré que l’année 2024 constitue un moment charnière pour la mise en œuvre du cadre de transparence renforcé (ETF) au titre de l’accord de Paris, puisque les pays de la CEEAC devront soumettre leurs premiers rapports biennaux de transparence (BTR) et les rapports d’inventaire nationaux au plus tard le 31 décembre 2024.
Le BTR et le BUR 1 permettent de faire le point sur les émissions de gaz à effet de serre et les efforts d’atténuation, mais aussi d’attirer l’attention sur les besoins financiers, techniques et humains nécessaires à la mise en oeuvre de nos engagements climatiques.










La République du Congo réaffirme son devoir de protéger la vie humaine, les biens et l’environnement
C’est le message délivré au nom du Gouvernement par la Ministre de l’environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan Nonault, à l’occasion de la célébration de la journée internationale pour la réduction des risques de catastrophes, le 13 octobre 2024.
Le gouvernement poursuivra ses efforts pour garantir aux générations futures un environnement sain, sûr, prospère et résilient.
La formation et l’éducation ont été présentées par le Gouvernement comme les piliers d’une génération prête à affronter les défis du futur. A cet effet, il faut éduquer et sensibiliser les jeunes aux enjeux climatiques et aux risques de catastrophe afin de les préparer à anticiper à prévenir et à réagir face aux crises.
Par ailleurs, la stratégie nationale pour la préservation et la réduction des risques de catastrophes en cours de finalisation avec l’appui technique et financier du PNUD, vise à renforcer la résilience des communautés locales.
Face aux catastrophes, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT appelle aussi à une solidarité nationale et internationale renforcée.
Les Etats africains face aux défis environnementaux et de développement durable
Débutée le 8 octobre 2024 à Brazzaville sous le haut patronage du Premier Ministre, Chef du gouvernement, Monsieur Anatole Collinet Makosso, l’Assemblée générale ordinaire de l’Union des Conseils Économiques et sociaux des institutions similaires d’Afrique (UCESA), couplée à la conférence sur les enjeux environnementaux et développement durable en Afrique, a servi de cadre d’expression le 9 octobre à Madame la Ministre de l’environnement, du développement durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, Madame #Arlette SOUDAN-NONAULT, par visioconférence, afin d’identifier des solutions pour un avenir résilient.
Dans son adresse, la Ministre a rappelé que, face aux graves crises environnementales et climatiques, les Etats Africains doivent s’interroger sur comment parvenir à l’atteinte des objectifs du développement durable à l’horizon 2030? Comment réaliser l’agenda 2063 de l’Union Africaine ?.
Elle a en Outre rappelé les efforts déployés par la République du Congo en matière de développement durable à travers une politique qui s’applique à travers les parcs nationaux, les aires protégées, les concessions forestières , les écosystèmes des tourbières, la promotion de l’écotourisme, la lutte contre les catastrophes naturelles, la contribution déterminée au niveau national (CDN), la liste n’est pas exhaustive.
Pour la Ministre, notre développement n’attendra pas que l’on sauve le climat et l’Afrique ne restera pas pauvre pour que le monde puisse respirer.
Cette session ouverte par Madame #Emilienne RAOUL, Présidente du CESE du Congo, a été également l’occasion pour le Président de L’UCESA, Monsieur Ahmed Reda CHAMI, de revenir sur les enjeux de cette assemblée et les objectifs à atteindre à court ou long terme afin de co-construire les politiques résilientes et des besoins réels des citoyens africains.
Cette assemblée générale est une initiative de l’UCESA en partenariat avec la fondation MERI et autres partenaires techniques et financiers.





La République du Congo et l’Union Européenne répondront présentes aux grands rendez-vous mondiaux de l’environnement et le climat
A l’approche de la COP 16 sur le biodiversité et la COP 29 sur le climat, ainsi que la 5ème session de négociations sur le futur traité international contre la pollution plastique, qui se tiendront respectivement à Cali en Colombie et Bakou en Azerbaïdjan, courant octobre et novembre 2024, la Ministre de l’Environnement, du développement durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT s’est entretenue le 27 septembre 2024 avec le Chargé d’affaires par intérim de la délégation de l’Union Européenne, Monsieur Torben Nilsson, accompagné des représentants des pays membre de l’Union Européenne, sur les préparatifs de participation à ces grands événements planétaires.
Le Congo et l’Union Européenne ont un objectif commun, à savoir la gestion durable de l’environnement et le développement durable.
C’est dans ce cadre que la délégation de l’Union Européenne a fait part des messages clés des 27 pays membres qui la constituent, comme priorités à mettre en avant aux au cours de ces assises.
Cet échange a été l’occasion de passer en revue les différents mécanismes de financement des projets en faveur de l’environnement et du développement durable en République du Congo.
La protection des tourbières et l’amélioration des conditions de vie des populations locales, au centre de la feuille de route du Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo
C’est le rappel qui a été fait par la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC), Madame #Arlette SOUDAN-NONAULT le 26 septembre 2024 à Brazzaville, à l’occasion de l’ouverture des travaux de l’atelier de restitution des résultats de la recherche sur les options de développement durable pour la protection des tourbières et la préservation des moyens de subsistance des communautés locales et autochtones de la cuvette centrale, dans le cadre du Projet Congopeat.
La Ministre, Secrétaire Exécutive de la CCBC a une fois de plus expliqué dans ce cadre le rôle des tourbières de la cuvette centrale, l’une des plus grandes réserves de carbone au monde, dans la lutte contre le changement climatique, et celui des communautés locales et autochtones.
Mis en œuvre en partenariat avec l’université de Leeds au Royaume-Uni, l’université Marien Ngouabi en République du Congo et l’université de Kisangani en République Démocratique du Congo (RDC), le Projet CongoPeat propose des options concrètes pour la protection des tourbières tout en améliorant les conditions de vie des populations.
La protection des tourbières ne peut se faire au détriment des communautés locales et autochtones qui
vivent de ce trésor écologique inestimable et il est possible de développer des initiatives qui respectent à la fois l’environnement et les droits des communautés a t-elle conclu.





















La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo et la Représentante Résidente de la FAO au Congo ont fait un tour de table des réalisations conjointes des trois dernières années
Plusieurs sujets ont été passés en revue par la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, Madame #Arlette SOUDAN-NONAULT et la Représentante Résidente de l’Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), Madame Yannick Ariane Rasoarimanana, en fin de mission diplomatique en République du Congo après plus de 3 ans de mandat.
Les deux personnalités ont noté l’étroite collaboration en matière d’environnement et de climat, à travers les appuis multiformes de la FAO dans la réalisation de plusieurs activités principales telles l’organisation du sommet des 3 bassins, la gestion des tourbières, l’operationalisation de la Radiotélévision du Bassin du Congo et bien d’autres projets.
La Représentante Résidante de la FAO a remercié Madame la Ministre pour sa fructueuse collaboration et son engagement soutenu dans la préservation des écosystèmes naturels du Bassin du Congo. Elle a en outre salué les efforts du Gouvernement, sous la très haute autorité du Président de la République, en matière de gestion durable de l’environnement et de la biodiversité.







La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT invite les populations à multiplier des gestes responsables pour préserver la couche d’ozone
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Au nom du gouvernement, la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo a invité les populations
à multiplier des gestes responsables de préservation de la couche d’ozone, à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la protection de la couche d’ozone, le 16 septembre 2024 sous le thème « Protocole de Montréal: restaurer la couche d’ozone et réduire le changement climatique ».
Cette barrière protectrice et filtrante des rayons ultraviolets du soleil, a t-elle rappelé, est malheureusement affectée par des substances qui l’appauvrissent, d’où l’urgence de la protéger par nos actions responsables, notamment en évitant l’utilisation des aérosols contenant des gaz nocifs comme les hydrofluorocarbures et les halons ainsi que celle du bromure de méthyl dans les pesticides et les produits de traitement du bois.
Aussi, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a précisé que la guérison de la couche d’ozone ne dépend pas que de l’application réussie par 198 pays du protocole de Montréal et de l’amendement de Kigali, mais aussi de la capacité de tous à se comporter en gardiens de l’environnement.
La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo appelle à l’unité commune pour venir à bout de la pollution atmosphérique
Télécharger le texte de la déclaration en cliquant ici
Le gouvernement de la République du Congo a rendu publique sa déclaration lue par la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT à l’occasion de la journée internationale de l’air pur pour des ciels bleus, célébrée le 7 septembre de chaque année. Déclaration au cours de laquelle elle a invité les pouvoirs publics, les communautés locales, les organisations internationales et régionales à s’unir dans le but de venir à bout de la pollution atmosphérique.
Dans son adresse, la Ministre a rappelé que la pollution est un tueur silencieux et un tueur efficace et nuisible à la santé, au climat et un frein au développement durable avant de rappeler les principales causes de cette pollution tant à l’échelle planétaire que nationale.
La République du Congo sous l’impulsion du Président Denis SASSOU N’GUESSO, Premier Écologiste du Bassin du Congo, s’attelle à élaborer des outils en vue de formuler des politiques, des normes, des plans et des réglementations en matière de qualité de l’air, a t-elle conclu.
Avec pour thème « Unissons-nous et investissons dans de l’air pur maintenant pour des changements transformateurs », cette journée instituée en 2019 par l’Assemblée générale des Nations-Unies, est une nouvelle opportunité de sensibilisation des populations sur les problèmes de pollution atmosphérique.
CONGO-MAROC: Signature d’un mémorandum d’entente dans le domaine de l’environnement et du développement durable
A l’occasion de sa tournée dans les pays de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) Madame la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, Envoyée Spéciale du Président de la République, Chef de l’Etat, Président de ladite Commission, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT a signé le 27 août 2024, avec son Homologue la Ministre de la Transition Energétique et du Développement Durable du Maroc, Madame Leila BENALI, un Mémorandum d’entente de coopération dans le domaine de l’environnement et du développement durable .
Ce Mémorandum d’entente entre les Gouvernements de la République du Congo et du Royaume du Maroc permettra notamment de renforcer la gestion intégrée des zones côtières, celle de l’assainissement ainsi que la gestion intégrée des déchets.
La mise en œuvre de ce mémorandum sera assurée par un comité de suivi composé de responsables, d’experts et de personnes ressources désignées conjointement par les deux Gouvernements.
A noter que cette signature du Mémorandum d’entente a été précédée d’une réunion et conférence de presse.











