Environnement : le Congo et la Grande Bretagne évoquent la préparation de la COP26

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, coordonnatrice technique de la commission climat du bassin du Congo (CCBC), Arlette Soudan-Nonault, s’est entretenue avec Lord Goldsmith Of Richmond Park, ministre britannique de l’Environnement, Alimentation et Affaires rurales par visio-conférence.

L’entretien entre ces deux personnalités a porté sur la problématique de l’opérationnalisation de la CCBC et de son instrument financier le Fonds bleu, la préparation de la COP26 qui se tiendra à Glasgow ainsi que la problématique des tourbières de la cuvette centrale.

La ministre Arlette Soudan-Nonault a saisi cette opportunité pour présenter à son homologue l’ambition des chefs d’État des pays membres de la CCBC pour concilier les changements climatiques et le développement économique, exprimée par la mise en place du Fonds bleu à l’initiative du président de la République, chef de l’État, président de la CCBC, Denis Sassou N’Guesso.

Quant aux préparatifs de la COP26 qui se tiendra à Glasgow, la coordonnatrice technique de la CCBC, a plaidé pour la prise en compte de la problématique de la CCBC dans l’agenda de ce grand rendez-vous planétaire.

A son tour, le ministre britannique a rassuré Arlette Soudan-Nonault de son implication personnelle afin que soit prise en compte la demande du Congo pour promouvoir le Fonds bleu qui les intéressent vivement.

Lord Goldsmith Of Richmond Park a souhaité également qu’une commission entre États soit mise en place pour un accompagnement par la Grande-Bretagne, en vue d’une gestion durable des tourbières situées au cœur des forêts du bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.

 

Source : adiac-congo.com

Gaz à effet de serre : validation de l’inventaire des émissions du Congo

Les travaux de l’atelier de validation de l’inventaire national des gaz à effet de serre ont été ouverts le week-end dernier à Brazzaville par la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault.

Ils s’inscrivent dans le cadre de la préparation de la troisième communication de la République du Congo à la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). L’objectif étant de finaliser et valider l’inventaire national des gaz à effet de serre.

« Les travaux qui s’achèvent ce jour marque une étape importante, non seulement dans le cadre de la préparation de la troisième communication nationale de notre pays, mais aussi dans le processus de révision de notre contribution déterminée nationale (CDN), laquelle, comme je n’ai cessé de rappeler, doit se fonder sur les conclusions de notre communication nationale », a déclaré la ministre Arlette Soudan Nonault.

Elle a estimé que les résultats de cet atelier « serviront de base pour les projections futures des mesures d’atténuation d’émissions des gaz à effet de serre tant pour la troisième communication nationale que pour la CDN en révision, projections qui inévitablement impliqueront des décisions d’ordre politique ».

Par ailleurs la ministre en charge de l’Environnement a souligné que les conclusions de cette rencontre vont aider à la prise « des décisions éclairées et permettront à notre pays d’honorer ses obligations vis-à-vis de la CCNUCC. ».

En vue de permettre d’utiliser à bon escient les résultats de cet inventaire national des gaz à effet de serre, elle a rappelé aux participants que les conclusions de cet atelier visaient à assurer un contrôle qualité des informations ou données utilisées dans chaque secteur avec la participation des fournisseurs de données ; développer les tendances historiques pour tous les secteurs ; finaliser les rapports sectoriels d’inventaire de gaz à effet de serre ; valider le rapport national avec toutes les parties prenantes nationales.

Notons que cet atelier a été organisé avec l’appui des États-Unis d’Amérique.

 

Source : adiac-congo.com

La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a échangé sur l’écologie à l’occasion de la présentation du livre de l’abbé Gracias Martial sur un mode de vie Eco-responsable

« Écologie et santé humaine. Plaider pour un mode de vie Eco-responsable », c’est l’intitulé de l’ouvrage qui a été présenté et dédicacé, ce 4 décembre 2020, dans la salle polyvalente de la cathédrale sacré cœur de Brazzaville, par l’abbé Gracias Martial, son auteur.
Invitée à cette cérémonie de présentation et de dédicace, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.
Le message véhiculé par l’auteur dans ce livre, est celui du rapport interactif existant entre l’Homme et son milieu de vie, c’est-à-dire l’Environnement, qui est considéré comme cet espace naturel dont il dépend totalement et sans lequel il ne peut exister. Et l’action de l’Homme sur l’Environnement a pour conséquence la destruction des conditions de bases (l’eau et l’air) qui assurent son existence.
Aussi, l’auteur lance un appel à un changement d’habitudes dans nos milieux de vie, et nous invite à une éco-conscientisation, une éco-médiatisation et une éco-socialisation  afin que soit préservé notre biotope.
Au cours des échanges, la Ministre du Tourisme et l’Environnement a félicité l’auteur pour le travail de constat, d’interprétation et d’éveil de conscience. Mais elle a relevé le fait que ne soit pas pris en compte, la sensibilisation sur les sujets importants que porte la République du Congo dans domaine de l’environnement.

La coordinatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo remercie vivement le Maroc pour son soutien indéfectible

Source : magexpress

Rabat- La ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, et coordinatrice technique de la Commission climat pour le Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault à remercié vivement le Royaume du Maroc pour son soutien indéfectible.

Lors d’une réunion ministérielle virtuelle de la Commission Climat du Bassin du Congo, qu’elle présidait mercredi, Mme Soudan-Nonault a tenu à remercier vivement le Royaume du Maroc pour son soutien indéfectible, à travers le Centre de compétences en changement climatique (4C Maroc), dans la réalisation de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, indique un communiqué du ministère de l’Energie, des Mines et de l’Environnement.

Cette réunion, à laquelle a pris part le ministre de l’Energie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah, avait pour objectif de présenter et valider l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Selon le communiqué, l’appui de la mise en place du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, s’inscrit dans le cadre de l’opérationnalisation de la Commission Climat du Bassin du Congo, une des trois commissions climat créées à l’initiative de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, à l’occasion du Sommet africain de l’Action, tenu le 16 novembre 2016 à Marrakech, en marge de la COP22.

Cette étude a permis également la définition d’un plan d’investissement comportant 254 projets pour un montant estimé à 8 milliards USD.

De son côté, M. Rabbah s’est félicité des résultats de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, réalisée avec l’appui du 4C Maroc.

Il a également souligné que, l’atteinte des objectifs escomptés, à travers la mise en place de ce fonds nécessite, une mobilisation collective de tous les acteurs concernés, aussi bien au niveau des États, du secteur privé, qu’au niveau des bailleurs de fonds, dans le cadre d’une coopération internationale et régionale résolument engagées.

M. Rabbah a, aussi, réaffirmé que le Maroc, en tant que membre associé de la Commission climat du Bassin du Congo, restera engagé aux côtés de ses pays frères de la sous-région du Bassin du Congo, dans le cadre de ce projet.

Cette réunion a vu la participation des ministres africains de l’environnement des pays de la Région du Bassin du Congo, des représentants des organisations régionales telles que la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) et la Commission des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC), ainsi que des représentants du PNUD, du PNUE, de la Banque africaine pour le développement, du Fonds vert pour le climat et du 4C Maroc.

Economie bleue/CCBC-F2BC : les ministres ont validé le rapport final de l’étude de préfiguration du Fonds bleu

Source : afriquenvironnementplus.info

 

Brazzaville a abrité, par présentiel et visioconférence, du 1 au 2 décembre dernier, la 4ème réunion du Comité de pilotage de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le Bassin du Congo (F2BC) et segment ministériel au cours desquels ont été présentés les résultats de l’étude et de la feuille de route pour l’opération dudit Fonds bleu pour validation par les ministres en charge de l’environnement des pays de la CCBC-F2BC.

Ces assises, ultimes avant d’autres sommets à venir, notamment des Chefs d’Etat, de bailleurs de Fonds prévu en 2021, ont été présidées par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre congolais du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo (F2BC). Cette rencontre a permis aux ministres des pays membres de la CCBC-F2BC de s’imprégner des résultats et de la feuille de route pour l’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ainsi que valider le rapport final de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le Bassin du Congo, une étape indispensable pour slmise en œuvre de cet outil de développement pour les populations comme souhaité par le Chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, président de la Commission Climat pour le Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Après un parcours entamé à Rabat, au Maroc, le 17 mars 2018, pour le lancement de ce long processus, avec la première réunion du comité ad ’hoc  pour la validation des termes de référence de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo afin de baliser le chemin, Mme Arlette Soudan Nonault, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, dans son discours de clôture. a reconnu le long parcours fait, « Nous avons au bout de plusieurs mois de dur labeur atteint les objectifs de la mission qu’ils nous ont confié, celle de faire du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo une réalité. Avec l’étude de préfiguration, nous disposons d’un outil de gouvernance et d’un pipeline de projets bancables issus de nos contributions Déterminées au niveau National ».

Confiante et optimiste, Mme Arlette Soudan-Nonault pense déjà de la faisabilité de ce projet : « Nous serons donc à même à travers la mise en œuvre de ces projets de concilier le développement économique et la lutte contre les changements climatiques, l’une des principales missions assignées aux trois Commissions. »

Ne voulant pas jouer au triomphalisme, Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre congolais du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, mesure  le travail combien ardu qui reste à faire pour parachever complètement ce projet avant d’annoncer les différentes étapes à franchir : « Notre travail, cependant, n’est pas complétement achevé car nous devons encore ».  La prochaine étape étant, bien sûr, l’approbation de cette étude par nos présidents lors du deuxième Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et l’organisation de la Conférence des Bailleurs pour lever des Fonds au profit du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Quid aux recommandations

Au registre des recommandations figurent, la signature, pour les pays qui ne l’ont pas encore fait, du protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo et le Mémorandum portant création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et la ratification du protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo afin de permettre aux Etats de lever leurs contributions pour le fonctionnement de la Commission Climat du Bassin du Congo. Aussi, aux pays concernés, de s’acquitter de leurs contributions, fixées à hauteur de 370.000 dollars US, pour la mise en place de l’unité de démarrage du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, afin de permettre à la Commission Climat du Bassin du Congo de poursuivre l’identification des projets pays à inscrire dans le pipeline des projets à financer par le Fonds.

« Les prochaines étapes sont donc cruciales. Notre engagement doit être constant et soutenu si nous voulons rendre définitivement opérationnels la Commission Climat du Bassin du Congo et le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ». a rappelé Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre congolais du Tourisme et de l’environnement, Coordonnatrice technique de la CCBC-F2BC.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’occasion aussi pour Mme Arlette Soudan-Nonault de rappeler aux personnes qui ne croyaient pas à l’aboutissement de ce projet que l’action et la vision sont le maître-mot pour arriver au bout de toute entreprise : « Quant à ceux qui regardaient avec scepticisme le Fonds Bleu lors de sa création, en lui prédisant un destin de projet chimérique, qu’ils doivent aujourd’hui se rendre à l’évidence : lorsqu’action et vision se conjuguent, Tout devient possible ».

Enfin, Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre du Tourisme et de l’Environnement du Congo, Coordonnatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo a fait savoir qu’elle effectuera, en février 2021, une tournée dans les pays concernés par la signature du protocole, du Mémorandum portant création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, le 9 Mars 2017 à Oyo (Congo) ainsi que la ratification du protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo.

Fonds bleu pour le Bassin du Congo : l’étude de préfiguration et la feuille de route rendues disponibles

Source : adiac-congo.com

La réunion de présentation aux ministres de la Commission climat du Bassin du Congo (CCBC) des résultats de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le bassin du Congo et de la feuille de route pour son opérationnalisation, s’est tenue le 2 décembre à Brazzaville en visioconférence et en présentiel.

Elle a été précédée le 1er décembre par la quatrième réunion du comité de pilotage de l’étude de préfiguration du fonds bleu pour le Bassin du Congo dont l’objectif était de valider le rapport final de cette étude et la feuille de route pour l’opérationnalisation du fonds.

Présidée par la ministre Arlette Soudan-Nonault, coordonnatrice technique de la CCBC, cette rencontre a réuni les ministres et ambassadeurs ou représentants des pays de la CCBC ci-après : Angola, Burundi, Congo, Gabon, Guinée Equatoriale, République démocratique du Congo (RDC), Rwanda, et Sao Tomé et Principe.

Y ont également pris part, les points focaux Fonds bleu des pays membres de la CCBC et des organisations régionales et sous régionales ; des représentants des organisations internationales et régionales ; des représentants des partenaires techniques et financiers ; des représentants du Consortium EY-INNPACT.

A l’issue des travaux, les recommandations et suggestions suivantes ont formulées : tenir le deuxième sommet des chefs d’État et de gouvernement des pays de la CCBC en juin 2021 ; ratifier le protocole instituant la CCBC, en ce qui concerne les pays qui ne l’ont pas encore fait ; signer le mémorandum d’entente portant création du Fonds bleu pour le Bassin du Congo, en ce qui concerne les pays de la CCBC qui ne l’ont pas encore fait.

La coordonnatrice technique effectuera une tournée à cette fin dans les pays concernés en février 2021. Il a également été demandé de s’acquitter de la contribution étatique, à hauteur de 370.000 dollars, pour la mise en place de l’unité de démarrage du Fonds bleu, en ce qui concerne les pays de la CCBC qui ne l’ont pas encore fait ; poursuivre l’identification des projets pays à inscrire dans le pipeline des projets à financer par le fonds ; assurer la diffusion du rapport final de l’étude auprès des autres ministres au niveau national (les ministres en charge des Finances, du Plan, de l’ Économie et des Affaires étrangères) ; finaliser le processus de sélection de la banque de développement chargée d’héberger la ligne de financement du Fonds bleu pour le Bassin du Congo ; solliciter du gouvernement de la République du Congo la dotation d’un siège au profit de la CCBC au plus tard mars 2021 et la signature d’un accord de siège avec cette institution.

S’agissant de l’état d’avancement du projet régional Readiness Fonds bleu pour le Bassin du Congo, la ministre a donné lecture de l’évolution de ce projet et relevé, entre autres, le point des contributions des États… La coordonnatrice technique de la CCBC a également plaidé pour que ce projet soit validé d’ici la fin de l’année 2021 afin de permettre d’une part le recrutement des experts chargés d’accompagner la banque de développement dans la gestion du fonds et d’autre part le fonctionnement du secrétariat permanent de la CCBC.

Le Rwanda a relevé la nécessité de disposer de la version anglaise corrigée du protocole instituant la CCBC afin de pouvoir la soumettre au conseil des ministres, et ensuite au parlement pour ratification, les fonds ne pouvant être engagés qu’après cette ratification.

S’agissant du point sur la feuille de route (prochaines étapes) le représentant du consortium EY-INNPA, Patrice Lefeu, a défini comme prioritaires les étapes suivantes : sélection de la banque de développement chargée d’héberger la ligne de financement Fonds bleu pour le Bassin du Congo, le délai de soumission des offres le 4 janvier 2021 ; l’approbation par le Fonds vert pour le climat du projet régional Readiness Fonds bleu pour le Bassin du Congo d’ici fin décembre 2020 ; le recrutement de l’équipe d’experts devant avec la banque de développement sur le processus de gouvernance du fonds et l’élaboration des différents textes règlementaires de gestion du fonds ; l’organisation des rendez-vous avec les différents bailleurs pour la levée de la première partie des fonds à hauteur de 400 millions de francs CFA au plus tard en mai 2021.

L’approbation de l’étude par les chefs d’État prochaine étape de la CCBC

La tenue de cette réunion marque un tournant décisif dans le processus d’opérationnalisation du Fonds bleu pour le Bassin du Congo. L’étude de préfiguration du Fonds bleu souhaitée par tous est désormais disponible. « Votre participation active au débat et les échanges fructueux qui ont été les nôtres ont permis d’amender les documents validés par nos experts », a déclaré la coordonnatrice technique de la BBCB.

La prochaine étape, a-t-elle souligné, est l’approbation de cette étude par les chefs d’État et de gouvernement et l’organisation de la conférence des bailleurs de fonds. « Nous avons au bout de plusieurs mois de dur labeur atteint les objectifs de la mission qu’ils nous ont confié, celle de faire du Fonds bleu pour le Bassin du Congo une réalité. Avec l’étude de préfiguration, nous disposons d’un outil de gouvernance et d’un pipeline de projets bancables issus de nos contributions déterminées au niveau national. Nous serons donc à même à travers la mise en œuvre de ces projets de concilier le développement économique et la lutte contre les changements climatiques, l’une des principales missions assignées aux trois commissions », a renchéri Arlette Soudan-Nonault.

CONGO/CCBC: UNE GRANDE ÉTAPE FRANCHIE DANS LE PROCESSUS D’OPÉRATIONNALISATION DU FONDS BLEU

Source : groupecongomedias.com

Les résultats de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et la feuille route pour l’opérationnalisation dudit fonds sont désormais disponibles.. La quatrième réunion du comité de pilotage de cette étude tenue du mardi 1er au mercredi 2 décembre 2020 à Brazzaville, était consacrée à la validation et la présentation de ses résultats aux ministres des Etats membres de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC). Validées par les experts, l’étude de préfiguration et la feuille de route approuvées au cours du segment ministériel est un grand pas marqué dans le processus d’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Cet objectif atteint permet aux parties prenantes de se pencher sur les prochaines étapes constituées, entre autres, de « l’approbation cette étude par les Chefs d’Etat et de Gouvernement et l’organisation de la Conférence des Bailleurs de fonds ».

L’étape de validation et de présentation de l’étude de préfiguration et de la feuille de route pour l’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo a été franchie lors de la réunion des ministres de la CCBC tenue par Visio-conférence et en présentiel à Brazzaville.

Placée sous le patronage de Dénis SASSOU NGUESSO, Président de la République du Congo, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo, la réunion de présentation des résultats de cette étude réalisée par le consortium Ernst & Young and Innpact aux ministres des Etats membres de la CCBC a permis aux participants d’amender les documents validés un jour avant la tenue ce segment ministériel par les experts.

L’objectif étant de rendre disponible une étude de préfiguration souhaitée par tous, la rencontre dont l’ouverture et la clôture des travaux ont été faites en lieu et place du Président de la CCBC par Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du tourisme et de l’environnement, Coordonnatrice technique de ladite commission a permis fixé les parties prenantes sur les grandes étapes qui vont suivre après la réussite de cette phasequi a duré plusieurs mois.

Un travail de dur labeur qui a permis de doter la CCBC d’un important « Outil de gouvernance et d’un pipeline de projets bancables issus de nos contributions Déterminées au niveau National » grâce auquel « Nous serons donc à même à travers la mise en œuvre de ces projets de concilier le développement économique et la lutte contre les changements climatiques, l’une des principales missions assignées aux trois Commissions », aprécisé la Coordonnatrice technique.

La coordonnatrice technique de la CCBC lisant son discours de clôture

Saluant la participation active des parties impliquées dans ce processus, Arlette SOUDAN-NONAULT invité les participants à maintenir ce dynamisme pour faire aboutir la prochaine étape qui passe par l’approbation de cette étude par les Chefs d’Etat et de Gouvernement et l’organisation de la Conférence des Bailleurs de fonds.

Des étapes cruciales à venir…

Consciente de la nécessité d’atteindre les objectifs des futures étapes, la Coordonnatrice technique a invité ses collègues ministres à faire preuve d’un engagement constant et soutenu pour rendre définitivement opérationnels la Commission Climat du Bassin du Congo et le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Les parties prenantes devront œuvrer pour: « Organiser le deuxième sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ; organiser la Conférence des Bailleurs pour lever des Fonds au profit du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ; signer pour les pays qui ne l’ont pas encore fait le protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo et le Mémorandum portant création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ; ratifier le protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo afin de permettre aux Etats de lever leurs contributions pour le fonctionnement de la Commission Climat du Bassin du Congo », a -t-elle énuméré.

L’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, principal outil financier de la Commission Climat du Bassin du Congo, pour la mobilisation de ressources nécessaires, à la mise en œuvre des programmes et projets concourant au développement durable et à la promotion de l’économie bleue dans son champ d’intervention devrait répondre aux aspirations des populations locales, et surtout aux enjeux planétaires de la lutte contre le changement climatique. Ces objectifs sont orientés vers l’amélioration des conditions de vie des populations et la lutte contre le réchauffement climatique.

A noter que l’organisation d’une tournée de la coordonnatrice technique a été annoncée en février 2021 dans les pays concernés.

Environnement : Lancement de l’atelier de finalisation et de validation des inventaires d’émission de Gaz à Effet de Serre de la République du Congo

Lancement de l’atelier de finalisation et de validation des inventaires d’émission de Gaz à Effet de Serre de la République du Congo, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.

La République du Congo, à travers le Ministère du Tourisme et de l’Environnement, ne ménage aucun effort pour faire face à ses obligations vis-à-vis de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CNUCC).

Parmi ces obligations figure l’inventaire des émissions de Gaz à Effet de serre dont l’atelier de Finalisation et de validation a été ouvert, ce 4 décembre 2020, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement.

L’objectif principal de ces travaux est de finaliser la comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre pour la Troisième Communication Nationale et de valider le rapport national y relatif, suivant la vision de Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’État, dans la lutte contre les changements climatiques.
La Contributions Déterminée au Niveau National ( CDN ) de la République du Congo, en cours de révision, s’appuiera sur le rapport des travaux de cette réunion.

Congo : 14 millions de dollars pour développer l’écotourisme dans le parc national de Nouabalé Ndoki

Source : lesechos-Congo brazza.com

La ministre du Tourisme et l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, a signé jeudi à Brazzaville, avec le groupe Congo Concervation Company (CCC), représentée par Elza Gillman, un protocole d’accord d’investissement de développement du tourisme dans le parc national de Nouabalé-Ndoki, une aire protégée de la République du Congo situé dans le nord du pays. Ce projet d’investissement de développement de l’écotourisme s’élève à 14 millions de dollars, obtenus grâce au protocole d’accord signé en octobre 2018, entre l’USAID et le Congo.

La valorisation et la promotion du potentiel touristique du Congo, s’inscrit parmi les défis à relever pour le développement de ce secteur, qui est l’un des piliers de la diversification de l’économie Congolaise.

Cette activité d’ecotourisme similaire à celle que mène CCC dans le Parc d’Odzala Kokoua, augmentera l’offre touristique de la destination GreenCongo, conformément aux directives du Président congolais, Denis Sassou N’Guesso.

Vous avez beau explorer de nombreux sites à travers le monde, mais le parc national de Nouabalé-Ndoki laissera dans vos pensées un souvenir inoubliable. Il représente une mosaïque d’écosystèmes forestiers entièrement vierge et rare dans le monde. Vous y remarquerez une richesse florale et faunistique impressionnante. Les amoureux de la nature et les observateurs des animaux ne donneront de lui que de bonnes appréciations.

Vous découvrirez dans les zones marécageuses les trois espèces de crocodiles du continent africain et des tortues d’eau douce, les céphalophes bleus à front noir et à dos jaune, les éléphants, les potamochères, les gorilles de plaines de l’ouest, les panthères, les buffles, les chimpanzés… Il suffit de lever les yeux vers le ciel pour repérer plus de 300 sortes d’oiseaux.

Ce merveilleux parc, célèbre par son lac, s’étend sur une vaste zone marécageuse au nord du Congo. Cette retenue d’eau favorise les activités comme la pêche, la pharmacopée et l’agriculture. Le site couvre une superficie d’environ 4500 km². À en croire une légende, un dinosaure aurait vécu à cet endroit.

Avec ou sans ce monstre, vous passerez d’agréables moments. Dans tous les cas, vous ne regretterez pas ce voyage.

Economie bleue/CCBC-F2BC : les ministres ont validé le rapport final de l’étude de préfiguration du Fonds bleu

Source : afriquenvironnementplus.info

Brazzaville a abrité, par présentiel et visioconférence, du 1 au 2 décembre dernier, la 4ème réunion du Comité de pilotage de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le Bassin du Congo (F2BC) et segment ministériel au cours desquels ont été présentés les résultats de l’étude et de la feuille de route pour l’opération dudit Fonds bleu pour validation par les ministres en charge de l’environnement des pays de la CCBC-F2BC.

Ces assises, ultimes avant d’autres sommets à venir, notamment des Chefs d’Etat, de bailleurs de Fonds prévu en 2021, ont été présidées par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre congolais du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo (F2BC). Cette rencontre a permis aux ministres des pays membres de la CCBC-F2BC de s’imprégner des résultats et de la feuille de route pour l’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ainsi que valider le rapport final de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le Bassin du Congo, une étape indispensable pour slmise en œuvre de cet outil de développement pour les populations comme souhaité par le Chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, président de la Commission Climat pour le Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Après un parcours entamé à Rabat, au Maroc, le 17 mars 2018, pour le lancement de ce long processus, avec la première réunion du comité ad ’hoc pour la validation des termes de référence de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo afin de baliser le chemin, Mme Arlette Soudan Nonault, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, dans son discours de clôture. a reconnu le long parcours fait, « Nous avons au bout de plusieurs mois de dur labeur atteint les objectifs de la mission qu’ils nous ont confié, celle de faire du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo une réalité. Avec l’étude de préfiguration, nous disposons d’un outil de gouvernance et d’un pipeline de projets bancables issus de nos contributions Déterminées au niveau National ».

Confiante et optimiste, Mme Arlette Soudan-Nonault pense déjà de la faisabilité de ce projet : « Nous serons donc à même à travers la mise en œuvre de ces projets de concilier le développement économique et la lutte contre les changements climatiques, l’une des principales missions assignées aux trois Commissions. »

Ne voulant pas jouer au triomphalisme, Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre congolais du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, mesure le travail combien ardu qui reste à faire pour parachever complètement ce projet avant d’annoncer les différentes étapes à franchir : « Notre travail, cependant, n’est pas complétement achevé car nous devons encore ». La prochaine étape étant, bien sûr, l’approbation de cette étude par nos présidents lors du deuxième Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et l’organisation de la Conférence des Bailleurs pour lever des Fonds au profit du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Quid aux recommandations

Au registre des recommandations figurent, la signature, pour les pays qui ne l’ont pas encore fait, du protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo et le Mémorandum portant création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et la ratification du protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo afin de permettre aux Etats de lever leurs contributions pour le fonctionnement de la Commission Climat du Bassin du Congo. Aussi, aux pays concernés, de s’acquitter de leurs contributions, fixées à hauteur de 370.000 dollars US, pour la mise en place de l’unité de démarrage du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, afin de permettre à la Commission Climat du Bassin du Congo de poursuivre l’identification des projets pays à inscrire dans le pipeline des projets à financer par le Fonds.

« Les prochaines étapes sont donc cruciales. Notre engagement doit être constant et soutenu si nous voulons rendre définitivement opérationnels la Commission Climat du Bassin du Congo et le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ». a rappelé Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre congolais du Tourisme et de l’environnement, Coordonnatrice technique de la CCBC-F2BC.

L’occasion aussi pour Mme Arlette Soudan-Nonault de rappeler aux personnes qui ne croyaient pas à l’aboutissement de ce projet que l’action et la vision sont le maître-mot pour arriver au bout de toute entreprise : « Quant à ceux qui regardaient avec scepticisme le Fonds Bleu lors de sa création, en lui prédisant un destin de projet chimérique, qu’ils doivent aujourd’hui se rendre à l’évidence : lorsqu’action et vision se conjuguent, Tout devient possible ».

Enfin, Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre du Tourisme et de l’Environnement du Congo, Coordonnatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo a fait savoir qu’elle effectuera, en février 2021, une tournée dans les pays concernés par la signature du protocole, du Mémorandum portant création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, le 9 Mars 2017 à Oyo (Congo) ainsi que la ratification du protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo