M. Jay Aldous

Jay brings to the Ramsar Secretariat more than two decades of integrated fundraising and communications experience.

For the past four years Jay was the Director, Private Sector Division of the UN World Food Programme, overseeing relationships with businesses, foundations and NGO’s. Previously Jay was Chief Marketing and Communications Officer at the U.S. Fund for UNICEF. At UNICEF he was the creator of the Believe in Zero call-to-action campaign and UNICEF’s award winning clean water initiative, the Tap Project.

Other experience includes advising the Consultative Group for International Agricultural Research (CGIAR) on the development of a global pledging conference to support sustainable and climate smart agriculture, and new innovative funding mechanisms.

UNE ÉTUDE DE FAISABILITÉ AU BASSIN DU CONGO CONFIÉE AU MAROC

Le Maroc et la République du Congo (Brazzaville) ont signé ce lundi 12 mars à Rabat un protocole confiant au Royaume une étude de faisabilité portant sur la préservation du bassin du Congo.

Cette étude sera réalisée à travers le Fonds bleu pour le bassin du Congo. Il s’agit d’un fonds international de développement qui vise à permettre aux États de la sous-région du bassin du Congo de passer d’une économie liée à l’exploitation des forêts à une économie s’appuyant davantage sur les ressources issues de la gestion des eaux, notamment celles des fleuves. L’accord portant création de ce fonds a été signé par douze pays de cette sous-région le 9 mars 2017 à Oyo en République du Congo.

Le Maroc, à l’initiative du roi Mohammed VI, a acté sa contribution pour la réalisation de ce projet lors de la COP22 de Marrakech. C’est ainsi que « l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le bassin du Congo » sera réalisée par le Centre de compétences en changement climatique-Maroc.

L’Allemagne a fait un don de 500.000 euros pour la réalisation de cette étude, selon la secrétaire d’Etat chargée du Développement durable, Nezha El Ouafi, signataire de l’accord au côté de la ministre congolaise du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan-Nonault. Dans une déclaration à le360, cette dernière a salué l’excellence de la coopération entre les deux pays (voir vidéo ci-dessous).

 

Source: fr.le360.ma

Lancement à Rabat de l’étude de pré-figuration du Fonds bleu pour le bassin du Congo

Le secrétariat d’État chargé du Développement durable a organisé, hier à Rabat, un atelier pour valider les termes de référence de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le bassin du Congo. À cette occasion, un mémorandum d’entente a été signé entre Nezha El Ouafi, secrétaire d’État chargée du Développement durable, et Arlette Soudan Nonault, ministre du Tourisme et de l’environnement de la République du Congo et coordinatrice technique de la Commission climat du bassin du Congo, en vue de lancer la réalisation de cette étude.

 Un Mémorandum d’entente a été signe, hier à Rabat, entre Nezha El Ouafi, secrétaire d’État chargée du Développement durable, et Arlette Soudan Nonault, ministre du Tourisme et de l’environnement de la République du Congo et coordinatrice technique de la Commission climat du bassin du Congo, en vue de lancer la réalisation de l’étude de pré-configuration du Fonds bleu pour le bassin du Congo. Cette signature a couronné ainsi les travaux de l’atelier de validation des Termes de référence (TDR) de l’étude.

Les points focaux du Fonds bleu pour le bassin du Congo et les membres de la société civile de la sous-région de l’Afrique centrale ont procédé au cours de cette rencontre à la validation technique des termes de référence de l’étude de pré-figuration du Fonds bleu pour le bassin du Congo.

À cette occasion, Mme Arlette Soudan-Nonault, ministre du Tourisme et de l’environnement et coordinatrice technique de la Commission climat du bassin du Congo, a souligné dans son discours d’ouverture l’importance de cette réunion qui vient à point nommé dans la mesure où la validation technique par les membres du Comité adhoc régional de ces termes de référencement permettra de créer un consensus autour des principaux résultats attendus de l’étude.

Financée à hauteur de 500.000 dollars, comme le souligne Mme Soudan-Nonault, grâce à l’apport du PNUD, la coopération 

allemande (GIZ) et la coopération marocaine, cette étude de pré-configuration du Fonds bleu pour le bassin du Congo permettra d’asseoir les lignes directrices claires qui permettront au bureau d’étude désigné d’élaborer des propositions fiables, susceptibles d’éclairer la décision des Chefs d’État et de gouvernement des pays membres de la Commission climat du bassin du Congo.

  Le lancement de cette étude permettra également de pré-configurer le Fonds bleu pour le bassin du Congo, qui représente, comme le souligne Nezha El Ouafi, un outil opérationnel de la Commission du bassin du Congo, l’une des trois commissions créées ; rappelons-le, lors du sommet des Chefs d’État et de gouvernement africains tenu en novembre 2016 à Marrakech, en marge de la COP22 et présidée actuellement par Denis Sassou Nguesso, Président de la République du Congo.

S’agissant de l’importance de ce fonds, elle vient, comme le souligne Mme El Ouafi , du fait qu’il représente un instrument de financement d’un plan d’investissements de très grande envergure, «probablement le plus grand en Afrique et dans les pays du bassin du Congo», ajoute la ministre, visant la mise en place d’une feuille de route de la politique de développement durable de ce bassin.

 

 

Source: lematin.ma

 

Maroc : Atelier de validation des Termes de Référence de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo

Atelier de validation des Termes de Référence de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo
Rabat, le 12 mars 2018

1. Contexte et justification

Les Chefs d’Etat et de Gouvernement Africains ont décidé de créer le 16 novembre 2016 à
Marrakech, en marge de la COP22 à l’initiative de Sa Majesté Mohammed VI, Roi du Maroc,trois commissions pour concilier la lutte contre les changements climatiques et le développement économique pour une émergence de l’Afrique. Cette orientation a été entérinée par une décision adoptée lors de la 28e session des Chefs d’Etat de l’Union Africaine, tenue les 30 et 31 janvier 2017 à Addis Abeba.

Les trois commissions climat de l’Union Africaine sont :
la Commission sahel, présidée par le Niger,
• la Commission du Bassin du Congo, présidée par le Congo,
• la Commission Etats insulaires, présidée par les Seychelles.

Pour les Chefs d’Etat, les trois commissions visent la mise en œuvre des outils politiques principaux suivants :
• l’Accord de Paris
• la Déclaration de Marrakech
• l’Agenda 2030 des Nations Unies sur les Objectifs de Développement Durable
• l’Agenda 2063 de l’Union Africaine
• la Proclamation de Marrakech.

La mission de chaque Commission est d’assurer la coordination et le suivi de toutes les actions et initiatives concourant à la lutte contre les changements climatiques et le développement économique des Etats membres de chaque commission, à travers l’élaboration des plans d’investissement climat.
En marge de la COP22, à Marrakech, le Président de la République du Congo proposait la création d’un fonds bleu pour le Bassin du Congo.

Le Fonds a pour objectifs de mobiliser les ressources nécessaires, auprès des Etats, des contributeurs et investisseurs, en vue du financement de la mise en œuvre des programmes et projets concourant au développement durable et à la promotion de l’économie bleue dans son champ d’intervention.

La République du Congo a organisé à Oyo dans le Nord du Congo, en mars 2017, une Conférence Ministérielle de lancement du Fonds Bleu, couronnée par la signature d’un Mémorandum d’entente pour la création dudit fonds.

Le Mémorandum d’entente portant création du Fonds Bleu a été signé le 09 mars 2017 par les Etats suivants : Angola, Burundi, Congo, Cameroun, Gabon, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Rwanda, Royaume du Maroc, Tchad.

En octobre 2017, Brazzaville a accueilli la Conférence des Ministres de l’Environnement et des Finances de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) et de la Communauté de l’Afrique de l’Est (CAE) sur l’accélération de l’opérationnalisation de la Commission climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et l’adoption de la Position Commune de la CEEAC et la CAE face à la COP23.

La conférence d’octobre 2017 de Brazzaville a débouché sur l’adoption de plusieurs outils ’opérationnalisation de ces deux instruments, la commission climat du bassin du Congo et le fonds bleu pour le bassin du Congo, et d’une déclaration Ministérielle, assortie d’une feuille de route dont le suivi de la mise en œuvre relève de la responsabilité des membres du Comité régional ad ‘hoc, composé des points locaux F2BC des pays membres et des délégués sous régionaux de la société civile du Bassin du Congo, sous la supervision de la conférence ministérielle.

L’une des recommandations de la déclaration de Brazzaville était l’appel fait au Royaume du Maroc, à travers le 4C (Centre de Compétences en Changement Climatique ) pour qu’il apporte son appui nécessaire pour la mise en œuvre du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, notamment rechercher des financements nécessaires à la réalisation de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Pour y parvenir, le 4C a préparé les termes de référence devant guider la réalisation de cette étude.
C’est pourquoi, avant le lancement de cette étude, il est indispensable que les membres du Comité régional ad ‘hoc les examine avant de les valider.

2. OBJECTIFS

L’objectif général de l’atelier de Rabat est de procéder à la validation technique des termes de référence de l’étude de préfiguration du F2BC. Spécifiquement, l’atelier de Rabat vise les objectifs suivants :

  • Obtenir l’appropriation par les points focaux F2BC, des termes de référence de l’étude
    de préfiguration du F2BC de la Commission climat du Bassin du Congo;
  • Obtenir la validation technique desdits termes de référence par les participants.

 

3. RÉSULTATS ATTENDUS

L’atelier de Rabat va déboucher sur les deux principaux résultats suivants :

  • Les points focaux du F2BC se sont appropriés les termes de référence de l’étude de préfiguration du F2BC pour leur permettre de participer à terme au processus de validation technique des livrables de ladite étude;
  •  Les termes de référence de l’étude de préfiguration du F2BC de la Commission climat du Bassin du Congo sont adoptés.

4. METHODE

Le processus de validation technique des termes de référence de l’étude de préfiguration du F2BC suivra la démarche suivante :

  •  Mettre à disposition des participants, la version des termes de référence élaborés par le 4C pour permettre à ces derniers de formuler des suggestions et recommandations en vue de les enrichir, conformément à la lettre et à l’esprit des principaux documents du F2BC, à savoir la Déclaration de Marrakech, le Mémorandum d’Entente d’Oyo et la Déclaration de Brazzaville ainsi que les communiqués finaux des réunions de Brazzaville et de Bonn ;
  • Créer un espace de discussion pendant l’atelier de Rabat après une présentation power point sur les grandes lignes des termes de référence dont il s’agit ;
  • Obtenir à travers la validation technique, un consensus autour du document.

5. PARTICIPANTS

Vont participer à cet atelier:

  • Les points focaux F2BC désignés par les pays membres;
  • Les délégués sous-régionaux des organisations de la société civile ;
  •  Le délégué de la Fondation Brazzaville.

Cop22: Déclaration de Marrakech

Conférence des Parties de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP22) ;Soulignons que :
* l’Afrique, qui a le moins contribué aux émissions mondiales de gaz à
effet de serre, est le continent le plus touché par les changements climatiques et leurs effets sur ses territoires dont les conséquences peuvent représenter une menace pour sa paix, sa sécurité et son développement durable;
* les régions africaines ont volontairement lancé des initiatives en matière d’adaptation et d’atténuation, visant à améliorer leur résilience et à promouvoir un développement durable ;
Réaffirmons :
* l’importance d’une mise en œuvre adéquate des Objectifs de Développement Durable, fondés sur les principes de Rio, en particulier celui de «la responsabilité commune mais différenciée », pour relever le défi du changement climatique ;
* l’engagement concret et substantiel des pays africains à contribuer à l’effort mondial de lutte contre les changements climatiques ;
* notre ambition de faire de l’action pour le climat un levier d’émergence, en vue de construire un modèle de développement inclusif et durable répondant aux aspirations légitimes des populations africaines et préservant les intérêts des générations futures ;
* notre volonté d’œuvrer collectivement et solidairement pour une Afrique résiliente au changement climatique et qui façonne son destin, à travers des approches sous régionales et régionales ;
Nous nous engageons à :
* promouvoir les politiques et les mesures en matière d’adaptation requises, qui soient aussi des catalyseurs pour une transformation structurelle profonde sur les plans économique et social en Afrique ;
* consolider nos engagements respectifs en matière de lutte contre les effets du changement climatique, pour donner davantage de cohérence
à nos stratégies et avancer ensemble ;
* accélérer la réalisation des initiatives déjà identifiées ou lancées, en s’appuyant non seulement sur nos ressources intrinsèques mais également en mobilisant les bailleurs de fonds, multilatéraux et bilatéraux ainsi que les acteurs non étatiques ; à titre d’exemple, il s’agit d’initiatives :
* visant à renforcer la résilience de notre Continent face aux menaces du dérèglement climatique, en particulier « l’Initiative Africaine pour l’Adaptation », l’initiative pour « l’Adaptation de l’Agriculture Africaine », connue sous l’acronyme « Triple A », le projet de la « Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel», l’initiative pour la « Sécurité, la Stabilité et la Soutenabilité », celle pour la « Résilience Rurale », ou encore celle en faveur des « Forêts dans la Région Méditerranée et au Sahel » ;
* en faveur d’une co-émergence durable africaine, notamment «
’Initiative Africaine pour les Energies Renouvelables », celle relative à la« Conservation de l’Ecosystème du Bassin du Lac Tchad », celle pour une « Croissance Bleue », ou encore celle portant sur la réalisation d’un « Couloir Africain de l’Energie Propre » ainsi que le « Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ».
* encourager et faciliter la participation du secteur privé à la mobilisation
de capacités et de financements supplémentaires pour relever le défi du
changement climatique ;
Nous lançons un appel à nos partenaires stratégiques pour :
* renforcer notre coopération dans le sens de l’ambition africaine pour un développement durable et inclusif ;
* fournir un appui efficace et concret à la mise en œuvre de cette l’ambition, à travers notamment, l’augmentation du financement public, la facilitation de l’accès au financement climatique et son rééquilibrage en faveur de l’adaptation, le renforcement des capacités et le transfert de technologies.
Tout en remerciant Sa Majesté Mohammed VI, Roi du Maroc d’avoir pris l’initiative de convoquer ce Sommet de l’Action en faveur de la co-émergence de l’Afrique, Et en relevant la pertinence d’unir la voix du Contient pour mieux
défendre ses intérêts,Invitons Le Roi du Maroc, en relation avec le Président en exercice de l’Union Africaine, à œuvrer pour la mise en œuvre de cette Déclaration, notamment au niveau de la coordination et du suivi des initiatives
prioritaires dans les domaines de la lutte contre les changements climatiques et du développement durable ainsi que de la mobilisation des partenaires du Continent, bilatéraux ou multilatéraux et décidons, dans ce cadre, la création de trois commissions dédiées à :
1. La région du Sahel, présidée par la République du Niger
2. la région du Bassin du Congo, présidée par la République du Congo.
3. les Etats Insulaires, présidée par la République des Seychelles.

M. Erik Solheim

Executive Director of the United Nations Environment Programme (UN Environment). Prior to joining UN Environment in August 2016, Solheim was the chair of the Development Assistance Committee of the Organization for Economic Co-operation and Development (OECD).

From 2007 to 2012, Solheim held the combined portfolio of Norway’s Minister of the Environment and International Development, and from 2005 to 2007 served as Minister of International Development. During his time as Minister, Norwegian aid reached 1%, the highest in the world.
Solheim is also an experienced peace negotiator, having acted as the main facilitator of the peace process in Sri Lanka from 1998 to 2005.

He continued to lead peace efforts in Sri Lanka as Minister, and has contributed to peace processes in Sudan, Nepal, Myanmar and Burundi. In addition to his career as a Minister and at the OECD, Solheim has served as UN Environment’s Special Envoy for Environment, Conflict and Disaster since 2013 and a Patron of Nature for the International Union for the Conservation of Nature (IUCN) since 2012. Solheim holds a degree in history and social studies from the University of Oslo.

M. Erik Solheim

Executive Director of the United Nations Environment Programme (UN Environment). Prior to joining UN Environment in August 2016, Solheim was the chair of the Development Assistance Committee of the Organization for Economic Co-operation and Development (OECD).

From 2007 to 2012, Solheim held the combined portfolio of Norway’s Minister of the Environment and International Development, and from 2005 to 2007 served as Minister of International Development. During his time as Minister, Norwegian aid reached 1%, the highest in the world.
Solheim is also an experienced peace negotiator, having acted as the main facilitator of the peace process in Sri Lanka from 1998 to 2005.

He continued to lead peace efforts in Sri Lanka as Minister, and has contributed to peace processes in Sudan, Nepal, Myanmar and Burundi. In addition to his career as a Minister and at the OECD, Solheim has served as UN Environment’s Special Envoy for Environment, Conflict and Disaster since 2013 and a Patron of Nature for the International Union for the Conservation of Nature (IUCN) since 2012. Solheim holds a degree in history and social studies from the University of Oslo.

M. Jack Major

Jack Major will discuss results of a “Feasibility Study for a Possible Carbon Offset Project to Support and Catalyze Long-Term Sustainable Forest Management in the Lac Télé-Lac Tumba (LTLT) Transboundary Wetland Landscape”. This study was commissioned by United Nations Development Programme (UNDP) Country Office, République du Congo, in cooperation with the Ministry of Tourism and Environment (ROC), the Ministry of Forestry, Economy and Environment (ROC), and the Ministry of the Environment, Nature Conservation and Tourism (DRC), as part of the Conservation & Sustainable Management of Transboundary Wetland LTLT Project

Jack Major (MBA, Finance and International Management, University of Chicago) is an internationally recognized expert in Carbon Finance and Offset, Protected Area Management, and REDD+ Development, and an author and graduate lecturer with more than 20 years’ experience in sustainable development in Africa and Asia. Jack is Executive Director, Carbon & Climate Alternatives, LLC, which provides advisory and direct-access services to developing countries in carbon offset, climate finance, and public finance and debt management. He has extensive experience in Asia and Africa, and in supporting trade development, private sector development, and financial instruments to cover and transfer the risks of climate hazards. Jack has served as a PA Management and Financing Advisor, Carbon Offset Advisor, Municipal Finance Advisor, and Climate Risk Management Advisor for the US Treasury, OECD, DfID, USAID, ADB, and IMF in Asia and Africa.

Jack had an 18 year career in banking, private equity, and finance in Asia and Africa, and lead managed 97 municipal finance, infrastructure finance, and bond transactions. Jack contributed background papers to the Hyogo Framework and was a delegate to Sendai 2015 and Kyoto 1997, and has attended 11 COPs. He has led Aid for Trade, EIF, Climate Finance, and Trade and Export development projects throughout Asia and Africa, and is the author of five books and manuals on Municipal Finance, Climate Finance, and PA Management and Finance.

Thank you for your time and insights.