La lutte contre les changements climatiques et la restauration des écosystèmes, sont les préalables fixés par le PAM pour promouvoir et garantir une sécurité alimentaire et nutritionnelle en République du Congo

Madame Anne Claire MOUILLEZ, Directrice Pays du Programme Alimentaire Mondial (PAM), a été reçue en audience, ce vendredi 13 août 2021, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo .

Dans le cadre de l’objectif   »faim zero », deuxième objectif de développement durable à l’horizon 2030, le PAM développe et soutient plusieurs initiatives dans les domaines de l’agriculture en République du Congo.
Ces activités, parfois gérées de façon non durable, conduisent aux effets liés aux changements climatiques ainsi qu’à la dégradation des écosystèmes.
En vue de faire face à ces conséquences néfastes, le PAM compte apporter un appui multiforme au Ministère de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo.

Tél a été l’objet de l’entretien entre la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT et la diplomate onusienne.

La République du Congo fait désormais partie des 5 Pays de l’Afrique Centrale qui disposent d’une stratégie nationale de gestion de risques et de Catastrophes

L’atelier de validation de la stratégie nationale de gestion des risques et de catastrophes ouvert le 10 août 2021 a été clos ce jeudi 12 Août 2021 par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, en présence de Monsieur Maleye Diop, Représentant Résident du PNUD au Congo .

Exposée aux impacts négatifs des changements climatiques ainsi qu’à ceux causés par les activités anthropiques, la République du Congo a mis en place en place sa stratégie nationale de gestion des risques et catastrophes naturelles afin de prévenir et mieux gérer ces phénomènes qui compromettent le cadre de vie des citoyens.

Cette initiative qui répond aux recommandations du cadre de Sendai ainsi qu’au projet de Gouvernement de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, place le Congo parmi les 5 pays de la sous région disposant de ce document stratégique.
Félicitant et remerciant l’ensemble des parties prenantes et les partenaires PNUD et CEEAC qui ont contribué à l’élaboration de cette stratégie nationale, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT les a également invités à accompagner l’ensemble des actions de sa mise en œuvre.

La COMIFAC et la CCBC mèneront des actions communes quant aux futurs événements internationaux, dans l’intérêt de préserver les écosystèmes du Bassin du Congo

La Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) et la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) mèneront des actions communes quant aux futurs événements internationaux, dans l’intérêt de préserver les écosystèmes du Bassin du Congo .

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, s’est entretenue ce mercredi 11 août 2021 à son cabinet de travail avec Monsieur Hervé Martial MAIDOU, Secrétaire Exécutif de la COMIFAC.

La problématique sur les changements climatiques et d’autres menaces auxquelles est exposée la planète défraie l’actualité au niveau mondial.
Le Bassin du Congo dispose du potentiel essentiel pour contribuer à l’atteinte de l’ensemble des objectifs par l’Accord de Paris sur le Climat.
Cette contribution n’est possible que par l’apport des contributions techniques et financières en faveur des écosystèmes du Bassin du Congo.
Les événements internationaux notamment la conférence sur la biodiversité et la COP 26, se présentent comme opportunité pour les pays du Bassin du Congo de plaider auprès de la communauté internationale pour la préservation de ce deuxième poumon écologique mondial et première réserve mondiale de biodiversité accrue par la présence des tourbières de la cuvette centrale.
La Commission Climat du Bassin du Congo(CCBC), organe de l’Union Africaine que dirige Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République Chef de l’Etat, bataille sous la coordination de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT pour rappeler à la communauté internationale l’urgence de préserver les écosystèmes du Bassin du Congo afin que soient atteints les objectifs de la planète sur les changements climatiques.
La COMIFAC, spécialisée dans la préservation des Forêts de l’Afrique Centrale, l’un des écosystèmes du Bassin du Congo, s’associe à cette bataille et sera aux côtés de la CCBC lors des grands événements pour relever ces défis.

C’est ce qui a été au cœur de l’entretien entre les deux personnalités.

 

Les Experts nationaux et internationaux valident la Stratégie Nationale pour la Gestion des Risques et de Catastrophes

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, a lancé ce mardi 10 août 2021, l’atelier de validation de la Stratégie Nationale pour la Gestion des Risques et de Catastrophes.

En présence de Monsieur Maleye Diop, Représentant Résident du Programme des Nations Unies pour le Développement ( PNUD), la Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, a ouvert cet atelier.

Durant 3 jours les experts développeront et aligneront la stratégie nationale de Réduction de Risques de Catastrophes au cadre de Sendai conformément au programme d’action Africain, à la stratégie et au plan d’action Afrique centrale.

Cette stratégie permettra à la République du Congo de réduire et de gérer les impacts des futurs risques découlant des catastrophes naturelles et anthropiques, en vue d’améliorer le cadre de vie des congolais conformément au projet de gouvernement de son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat.

La Ministre SOUDAN-NONAULT, présidente du Bureau du 7ème FRADD fait le point avec la CEA

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo Présidente du Bureau du 7ème FRADD fait le point avec la Commission Économique pour l’Afrique des Nations Unies (CEA).

Monsieur Jean Paul Adam, Directeur, Division de la technologie, des changements climatiques et de la gestion des ressources naturelles à la CEA, a été reçu en audience ce mardi 3 août 2021, par la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, Présidente du Bureau du 7ème FRADD.

Le bilan et les perceptives du bureau du 7ème Forum Régional Africain sur le Développement Durable, ont fait l’objet de l’entretien entre ces deux personnalités.

La République du Congo, porte parole de l’Afrique sur les questions de développement durable, se prépare pour les grands événements internationaux afin d’assurer pleinement son rôle comme ce fut le cas lors du Dialogue de Haut Niveau sur le Développement Durable organisé par les Nations Unies en juillet 2021.

La collaboration entre l’Union Européenne et le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, va bon train.

La Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT, a accordé ce lundi 2 août 2021, une audience à Son Excellence Monsieur Mateus Paula, Ambassadeur de l’Union Européenne au Congo, en fin de mission.

Axée sur la gestion durable des écosystèmes fragiles du Bassin du Congo que sont les tourbières, la protection de l’environnement, la mise en œuvre des 17 Objectifs de Développement Durable, etc…, la collaboration entre l’Union Européenne et le Ministère que dirige Madame Arlette SOUDAN-NONAULT présente un bilan satisfaisant et un avenir prometteur.
C’est dans ce cadre que le diplomate européen a eu cet entretien avec la Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo.
Satisfait de la bonne collaboration avec ce Ministère et du dynamisme dont fait preuve la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, Son Excellence Mateurs Paula a vivement souhaité que ce partenariat qui va bon train, se poursuive avec son successeur.

La COMIFAC et la Commission Climat du Bassin du Congo, parleront d’une seule voix à la COP 26 de Glasgow

Monsieur Chouaibou NCHOUTPOUEN, Secrétaire Exécutif Adjoint de la Commission de Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) a été reçu en audience ce lundi 3 août 2021, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo.

Institution sous-régionale, spécialisée dans la conservation, la gestion durable et concertée des écosystèmes forestiers d’Afrique centrale, la COMIFAC se joint à la CCBC en vue de mener des actions communes au profit du Bassin du Congo à la COP26 de Glasgow.

Cette COP, jugé très opportune pour les pays de la sous-région, permettra aux pays de la CCBC de mettre en lumière de nombreuses initiatives et engagements pris sur le continent pour lutter contre les changements climatiques.
Le plaidoyer en faveur du Bassin du Congo et du Fonds Bleu, sera l’une des actions communes des pays Africains à cette COP.
La CCBC qui a lancé les préparatifs de cet événement de la Convention Cadre des Nations Unies pour les Changements Climatiques, par l’entremise de la Ministre Coordonnatrice Technique de la CCBC et conservatrice du patrimoine naturel du Congo, organisera conjointement avec la COMIFAC des sessions parallèles lors de la COP Glasgow.

Cet entretien a aussi permis au représentant de la COMIFAC, de rappeler à la Ministre la situation des contributions statutaires du Congo auprès de cette institution.

Les Communicateurs de l’Environnement de la sous-région, membres du RECEIAC, mettent en place la Stratégie de Communication de la COMIFAC.

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, a mis fin aux travaux de la réunion d’accompagnement de la mise en œuvre de la stratégie de communication de la COMIFAC, de ses pays membres et partenaires dans le cadre des grands évènements internationaux, tenue du 26 au 30 juillet 2021.

Le Congrès Mondial pour la Nature de l’UICN qui se tiendra à Marseille, la 15e conférence des parties sur la diversité biologique à Kumming et la COP26 de Glasgow, sont les évènements faisant objet de cette stratégie de communication.

A la cérémonie de clôture de ces assises, les participants ont lu une motion de soutien à Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République du Congo, Chef de l’État, pour ses efforts soutenus dans la conservation de la biodiversité en Afrique Centrale, et dans le monde notamment par la création du Fonds bleu et ses initiatives en faveur de l’environnement.

Les remerciements ont été adressés à la République Fédérale d’Allemagne et à la COMIFAC pour avoir permis la tenue de cette réunion.

Par ailleurs, les recommandations suivantes ont été formulées :

  • Une plus grande implication des bailleurs de fonds, des institutions publiques et privées pour sauver la biodiversité du bassin du Congo.
  •  L’intégration des visites de terrain dans l’agenda des futures rencontres du RECEIAC ;
  •  La redynamisation des pôles pays et diaspora du RECEIAC dans la recherche des partenaires;
  •  La diffusion des résolutions de l’atelier auprès des partenaires techniques et financiers ;
  •  L’organisation des réunions de restitution dans chaque pays ;
  •  La mise en œuvre immédiate de la stratégie de communication adoptée avec l’implication active des membres du RECEIAC;
  •  L’organisation annuelle des rencontres du RECEIAC ;
  •  La participation des chargés de la communication des ministères et membres du RECEIAC à tous les événements de la COMIFAC et autres ;
  •  L’animation des causeries thématiques mensuelles en milieu scolaire et universitaire sur les missions de la COMIFAC.

CCBC- COP26 : Clôture de la réunion des points focaux et partenaires techniques et financiers tenue du 28 au 29 juillet 2021

Les livrables de la Réunion des Ministres de la Commission Climat du Bassin du Congo produits par les Points Focaux et les partenaires techniques et financiers l’issue de la réunion du 28 au 29 juillet 2021.

Après deux jours de travail entre points focaux et partenaires techniques et financiers de la Commission Climat du Bassin du Congo, la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT, a procédé ce jeudi 29 juillet 2021 à la clôture de cette rencontre tenue en présentiel et par visioconférence .

Les présentations, les partages d’expression et les amendements, font partie de la démarche adoptée par les participants pour atteindre les objectifs de la réunion.
Ces documents qui feront l’objet de la réunion des Ministres dans un mois, définissent les stratégies, les agendas, les cibles potentielles, les recommandations, etc…, de la Commission Climat du Bassin du Congo avant, pendant et après la Cop 26 de Glasgow, en vue d’obtenir les financements pour la préservation du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.

Au terme des travaux de cette réunion, les participants ont exprimé leur profonde gratitude à l’endroit de Son Excellence, Monsieur Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République du Congo, Chef de l’Etat, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo, au Gouvernement, à la Coordinatrice Technique, au PNUD et au 4 C Maroc pour avoir permis l’organisation de cette rencontre dans un contexte marqué par la Covid-19.

 

 

Pourquoi le monde a besoin du Congo. Et pourquoi il doit payer pour cela

Dans moins de cent jours, du 1er au 12 novembre prochain, se tiendra à Glasgow en Ecosse la 26e édition de la COP sur le climat. Une COP cruciale, que John Kerry, l’envoyé spécial pour le climat du président américain Joe Biden n’hésite pas à qualifier de « dernier espoir » si l’humanité veut atteindre les objectifs qu’elle s’est fixée il y a six ans à Paris.

A savoir, limiter la hausse globale de la température terrestre à 2°, idéalement à 1,5°. On constatera à Glasgow que le compte est loin d’y être. Au rythme actuel, la plupart des spécialistes estiment en effet que l’augmentation due au réchauffement climatique devrait atteindre les 2,5°, voire les 3° dans les scénarios les plus pessimistes, à l’horizon 2040.

Pour le Congo, notre pays, un tel cauchemar climatique se traduirait par une température annuelle moyenne d’environ 28° (contre 25° aujourd’hui) avec des pics à plus de 40 degrés et, d’ici là, une multiplication des pluies d’intensité extrême, causes d’inondations et d’érosions majeures, ainsi qu’une augmentation progressive du niveau de la mer à Pointe-Noire allant jusqu’à 1,5 mètre, engloutissant une partie de notre littoral.

On peut, on doit espérer que les pays industrialisés gros émetteurs de gaz à effet de serre, qui du Canada à la Chine en passant par l’Europe du
Nord et la Russie ont connu ces dernières semaines des catastrophes climatiques meurtrières, prendront enfin conscience de leurs responsabilités et ..  de leurs promesses non tenues. Car sur ce plan aussi, le compte n’y est pas.

Il y a six ans, à Paris, les pays membres du G7 s’étaient engagés à mobiliser 100 milliards de dollars par an à partir de 2020 pour aider les pays en voie de développement à faire face aux conséquences d’une situation dont les premiers sont les responsables et les secondes, les principales victimes
(n’oublions pas que l’Afrique dans sa globalité ne représente que 2 à 3 % des émissions de gaz de la planète). Ces cent milliards sont considérés comme un montant plancher, lequel est loin, très loin d’être atteint.

En tant que pays leader de la Commission Climat du Bassin du Congo, que préside le chef de l’Etat Denis Sassou N’Guesso, la République du Congo se rendra à Glasgow la tête haute, forte de sa contribution nationale déterminée révisée et consciente de ses responsabilités, mais aussi avec un cahier de doléances qu’elle entend bien voir satisfaites. La tête haute ? Comment en serait-il autrement quand on sait que le Bassin du Congo représente un quart de la forêt tropicale du monde, avec le plus bas taux de déforestation de toutes les zones forestières majeures.

Comment en serait-il autrement quand on sait que depuis que le Bassin de l’Amazonie est devenu un émetteur net de gaz à effet de serre à cause des incendies et de la déforestation, le Bassin du Congo est aujourd’hui le plus gros capteur net de CO2 de la planète, jouant ainsi un rôle vital dans la
lutte contre le réchauffement climatique. Comment en serait-il autrement quand on sait qu’outre ses deux millions de kilomètres carrés de forêts, notre région dispose, à cheval entre le Congo et la RDC, d’une zone de tourbières qui à elle seule capture 31 gigatonnes de gaz, soit l’équivalent de cinq
années d’émissions des Etats-Unis d’Amérique. Cela, nous le rappellerons au monde à la COP 26 de Glasgow. Car si ce monde respire encore, c’est en partie grâce au Bassin du Congo.

La tête haute donc, mais aussi avec nos propres exigences, lesquelles se résument en une phrase, aidez nous à vous aider ! Il n’est pas normal en effet d’entendre encore, parmi les pays riches, certains nous dire : « mais pourquoi vous payez pour un processus naturel qui se fait sans vous ? », alors que
ce processus est le fruit de 40 ans de politique de conservation, le résultat de choix délibérés et surtout le produit de la vision des chefs d’Etats des pays du Bassin du Congo, en particulier de celle du président Denis Sassou N’Guesso, Il n’est pas normal non plus que le processus REDD, censé vérifier les réductions d’émissions et déboucher sur des financements, favorise les pays qui les réduisent le plus parce qu’ils ont en réalité déboisé massivement, au détriment de ceux qui, comme le Congo, affichent de faibles taux de réduction pour la bonne raison qu’ils ont su maintenir presque intact leur couvert forestier et donc émettent très peu de gaz à effet de serre.

La vertu ne doit plus être pénalisée et être payée pour le carbone que nous piégeons est la moindre des justices ! Il n’est pas normal enfin que sur le marché dérégulé des crédits carbone la tonne de carbone soit évaluée entre 30 et 50 dollars en Amérique et en Europe, contre à peine une dizaine de dollars en Afrique.

Tout cela doit changer. Tout comme doit cesser le discours accusatoire de certaines ONG, car on ne peut exiger de nous d’arrêter notre développement industriel, infrastructurel, minier sous prétexte que les pays riches et développés ont mené la planète au bord de la catastrophe ! Certes, le gouvernement de la République du Congo est conscient du fait que, comme le dit le président Denis Sassou N’Guesso, « notre développement sera durable ou ne sera pas ».

Nous savons que l’économie verte sera la « success story » de la décennie, avec 35 millions d’emplois liés dans le monde à l’horizon 2030 et que plus aucun investissement digne de ce nom ne se fera chez nous sans prendre en compte les exigences de la durabilité. C’est justement pour cela qu’a été lancé il y a un peu plus de quatre ans à Oyo le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Ce véhicule financier désormais opérationnel, validé par un cabinet d’audit international et doté de près de trois cents projets précis de développement local et régional issus des contributions de ses douze Etats membres, sera présenté à la COP 26 de Glasgow à des fins d’abondement. De sa réussite dépend une partie de l’avenir de notre planète.

Arlette Soudan-Nonault
Ministre de l’Environnement, du Développement durable
et du Bassin du Congo

 

Source : www.adiac-congo.com