Le plaidoyer sur la prise en compte de la problématique du Bassin du Congo a été une fois de plus fait à la conférence sur les changements climatiques organisée par la Banque de France, la Fondation pour les Études et Recherche sur le Développement International et l’Agence Française de Développement.

Invitée à cette Conférence, tenue sous le thème  » Face au changement climatique : quels choix financiers pour l’Afrique ? », la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, coordinatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC), Arlette SOUDAN-NONAULT, a repris son bâton de pèlerin pour présenter à ses interlocuteurs le Fonds Bleu, instrument financier de la CCBC, lequel porte plus 240 projets de développement durable, issus des Contributions Déterminées au Niveau National ( CDN) des pays de l’Afrique subsaharienne.

Ces projets qui sont d’un intérêt capital dans la préservation des Forêts du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, et de sa réserve de tourbières, permettront aux pays membres de la CCBC de faire face à la vulnérabilité face aux changements climatiques dont ils font preuve.

C’est dans ce cadre que la Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, a invité les participants à cette table ronde à abonder le Fonds Bleu, outil de l’Union Africaine créée à l’initiative de Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la CCBC.

La République du Congo et la République Fédérale d’Allemagne font le point des dossiers communément suivis dans le domaine de l’Environnement et du Développement Durable.

La Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT, a eu une séance de travail ce mardi 29 juin 2021 avec l’Ambassadeur de l’Allemagne au Congo, Son Excellence Wolfgang Klapper.
L’exécution du projet d’adaptation en Afrique Centrale et de l’Ouest (PACO), lancé le 15 juin 2021, a été principalement abordée au cours de cette audience.

Un enjeu planétaire

Faire en sorte que le Bassin du Congo se trouve au cœur du Sommet mondial sur le climat – COP 26 – qui se tiendra au mois de novembre à Glasgow, capitale de l’Ecosse et troisième plus grande ville du Royaume-Uni, est manifestement l’objectif que se sont fixés à juste titre la Commission climat du Bassin du Congo, le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et la Fondation Brazzaville.

Cet objectif  sera détaillé  cette semaine, le 29 juin précisément, lors d’une table-ronde de haut niveau qui se tiendra en visioconférence et qui réunira de nombreuses personnalités autour des ministres congolaise et rwandaise de l’Environnement – Arlette Soudan Nonault, Jeanne d’Arc Mujawamariya – et du président de la Fondation Brazzaville Jean-Yves Ollivier. Mais il est d’ores et déjà très clair comme en témoigne le titre de cette table-ronde : « De la Cop 22 à la COP 26, le  Fonds Bleu pour le Bassin du Congo un enjeu africain et planétaire ».

Si l’on ne saurait anticiper ce qui se dira lors de cette rencontre numérique, on peut dès à présent avancer l’idée qu’elle démontrera que le Bassin du Congo est bien, aujourd’hui, le premier poumon de la planète et qu’à la différence du Bassin de l’Amazone dont les trafiquants en tout genre dévastent les forêts, il est protégé au plus haut niveau par ses dirigeants, comme par les populations qui y vivent. Avec, comme conséquence, que c’est bien désormais l’Afrique centrale qui devient le principal acteur de la protection de l’environnement et de la lutte contre le dérèglement climatique généré par la surindustrialisation de l’hémisphère nord de la planète.

Faire en sorte que la COP 26 prenne les dispositions nécessaires pour sauver la Terre, notre Terre, du désastre qui menace son existence est très clairement l’enjeu majeur de ce début de millénaire. Car tous les feux se mettent au rouge dans ce domaine comme le démontrent de façon accablante les nombreux rapports publiés ces derniers mois par les scientifiques des cinq continents. Avec, à échéance de quelques décennies, une catastrophe que l’espèce humaine paiera au prix fort si elle continue de ne rien faire sérieusement pour se protéger et qui, peut-être même, provoquera  sa disparition pure et simple.

Comme les grandes puissances industrielles, qui sont les premières responsables de ce crime, discourent plus qu’elles n’agissent, il est de plus en plus clair que ce sont les nations du tiers monde – Amérique latine, Asie du Sud et surtout Afrique – qui doivent maintenant se mobiliser afin d’empêcher  que se produise le pire à plus ou moins brève échéance. Outre le fait que plus de la moitié de l’humanité vit sur ces continents, l’immensité des espaces que ces populations occupent et l’abondance des ressources naturelles qu’elles y détiennent en font aujourd’hui les acteurs incontournables de la lutte contre le dérèglement climatique. D’où l’intérêt majeur que présente la table-ronde qui se tiendra cette semaine et où le Bassin du Congo, région des Grands Lacs et Golfe de Guinée compris, se trouvera au coeur du débat.

Si la COP 26 de Glasgow donne à cette partie du globe qui est devenue le premier poumon de la planète la place qui lui revient de droit dans la préservation de la nature, les lignes bougeront enfin sérieusement sur ce champ stratégique. Convenons-en, l’enjeu est considérable à tous égards !

 

Source : www.adiac-congo.com

 

L’Office des Nations Unies Contre la Drogue et le Crime (l’ONUDC) renforcera le cadre de partenariat avec le Congo pour préserver le patrimoine naturel du Bassin du Congo

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, a eu une séance de travail ce vendredi 25 juin 2021, avec la délégation des Experts de l’ONUDC.

Spécialisée dans la lutte contre les infractions fauniques et la flore, ainsi que l’exploitation illégale des ressources naturelles, la délégation de l’ONUDC a au cours de cette séance de travail échangé avec la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, en charge de la conservation du patrimoine naturel, sur les questions qui lient cette agence des Nations Unies et le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin Congo, essentiellement la préservation de la biodiversité du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.

La délégation de l’Union Européenne au Congo, inscrit la problématique du Bassin du Congo et de la gestion durable des tourbières de la cuvette centrale dans son agenda préparatoire de la COP 26

Séance de travail ce 24  juin 2021, entre Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo et Son Excellence Mateus Paula, Ambassadeur de l’Union Européenne au Congo.

Prélude, au dialogue politique sur les questions de gestion durable des écosystèmes fragiles et de la préservation des forêts du Congo, qu’organisera la délégation de l’Union Européenne au Congo, l’ambassadeur Mateus Paula s’est invité au Cabinet de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT pour discuter de ces questions qui font partie des attributions du Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo.
Ces sujets d’enjeux planétaire, ont été abordés par les autorités en vue d’une préparation mutuelle de la Cop 26.

Par la même occasion, les deux personnalités ont procédé à la revue de l’ensemble des dossiers traités en Commun avec le MEDDBC.

Réseau des Parlementaires pour la Gestion Durable des Écosystèmes Forestiers d’Afrique Centrale (REPAR) prêt pour un partenariat avec la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC)

La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Basin du Congo (CCBC),  Arlette SOUDAN-NONAULT, a reçu, ce 23 juin 2021 à son cabinet de travail, le bureau du REPAR.

Conduite par Monsieur Jean Jacques ZAM, Coordonnateur Régional du REPAR, la délégation constituée des parlementaires de la sous Région, a présenté à la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, au cours de cette audience, sa structure mise en place depuis 2012.

Participer à la conservation et à la gestion durable et bénéfique des écosystèmes de forêts denses et humides d’Afrique Centrale, est le principal objectif de cette plateforme, qui s’allie désormais à la CCBC, organe de l’Union Africaine que dirige le Président Denis SASSOU-N’GUESSO, en vue de la prise en compte des recommandations des parlementaires dans les résolutions de la problématique du Bassin du Congo.

Signalons que le partenariat entre la CCBC et le REPAR, sera matérialisé par la signature d’un accord de partenariat dans les jours à venir.

Table ronde à haut niveau sur le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo

En préparation de la COP 26 de Glasgow en novembre 2021, et sous l’égide de la Commission Climat du Bassin du Congo, la Fondation Brazzaville organise une table ronde à haut niveau en ligne « De la COP 22 à la COP 26 : Le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, un enjeu africain et planétaire ».

S’inscrire

Cette table ronde réunira des intervenants de haut niveau le mardi 29 juin à 14h00 GMT+1. Interprétation en français et en anglais. Découvrez ci-dessous le programme :

Suivez en direct la table ronde sur Twitter avec #BFCBBF, des publications seront postées pendant l’événement.

En attendant, n’hésitez pas à télécharger le rapport quinquennal de la Fondation Brazzaville pour avoir plus d’informations sur ses actions en faveur de l’environnement.

 

L’axe 1 du projet Adapt’Action en phase de mise en œuvre

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, a reçu, ce 15 juin 2021, une délégation des experts recrutés dans le cadre de la mise en œuvre de ce projet.

Exécuté conjointement entre la République du Congo et l’Agence Français de Développement (AFD), ce projet qui vise à accompagner les pays vulnérables face à l’impact des changements climatiques dans leurs stratégies d’adaptation.
L’axe 1 de ce projet triaxial, consiste à consolider la gouvernance climatique.

La Commission Climat du Bassin du Congo participe au lancement de la phase de mise en œuvre du projet d’adaptation en Afrique Centrale et de l’Ouest

La Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) participe au lancement de la phase de mise en œuvre du projet d’adaptation en Afrique Centrale et de l’Ouest (PACO).

La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, coordonnatrice technique de la CCBC, a pris part, ce mardi 15 juin 2021, à la réunion de lancement de la phase d’implémentation du projet PACO, tenue par visioconférence.

La coopération allemande GIZ, partenaire de la Commission Climat du Bassin du Congo, laquelle apporte plus d’un million d’Euro aux pays d’Afrique subaérienne pour la mise en œuvre des projets d’adaptation, a procédé au lancement dudit projet que le Congo pilotera pour le compte des 16 pays membres de la CCBC.

C’est dans ce cadre que la coordonnatrice technique de la CCBC a été invitée à cette réunion à laquelle ont participé l’ensemble des instances de décision de la GIZ.