Au nom de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’État, Président de la Commission Climat du Bassin du Bassin du Congo (CCBC), la Ministre, Coordinatrice Technique de la CCBC Arlette SOUDAN-NONAULT a participé ce 8 juin 2021, à la réunion du CAHOSCC, laquelle a connu la participation de plus de 20 Chefs d’Etat.
Sous la Coordination de Son Excellence Cyril Ramaphosa, Président de l’Afrique du Sud, les pays membres du CAHOSCC, Représentés au plus au niveau, ont pris part à cette réunion tenue par visioconférence.
Cette rencontre de très haut niveau a eu pour objectifs, la présentation des différents rapports et messages des commissions ainsi que des initiatives Africaines sur les Changements Climatiques dans le cadre des préparatifs de la COP 26.
La CCBC par le biais de sa Coordinatrice Technique, a présenté ses avancées, qui sont principalement marquées par la finalisation de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, instrument financier de ladite commission.
A cette même occasion, un plaidoyer a été fait afin d’inviter l’ensemble des parties prenantes à abonder ce Fonds qui concourt au bien-être des populations africaines et à la préservation des écosystèmes du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.
Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable, et du Bassin du Congo, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC), a présidé ce lundi 7 juin 2021, une réunion avec l’ensemble des points focaux, des partenaires et des experts nationaux et internationaux.
La COP 26 qui se tiendra à Glasgow, est considérée comme phase décisive pour la CCBC, laquelle mettra en lumière son instrument financier le Fonds Bleu.
C’est pour préparer les équipes, conformément aux orientations de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de cette commission qui regroupe 16 États d’Afrique subsaharienne et le Maroc, que la Ministre Coordinatrice Technique Arlette SOUDAN-NONAULT, a présidé cette réunion.
Elle a été marquée par la présence de plusieurs partenaires déterminés à accompagner la CCBC sur la problématique du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.
Une feuille route et un agenda de travail de la CCBC, préparatoires à la COP 26 de Glasgow, ont été adoptés au cours de cette réunion.
Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, a assité au Carnaval vert de Brazza, organisé par l’Institut Français du Congo (IFC), ce 5 juin 2021, à l’occasion de la Journée Mondiale de l’Environnement.
Collectés il y a deux ans, sur le site de la patte d’oie, les déchets plastiques de cette opération ont été transformés et valorisés en objet d’art. Marionnettes géantes, Gorille majestueux et chapeaux des festivaliers, sont objets d’art obtenus à l’assue de ce recyclage réalisé par la compagnie Balabala, selectionnée par l’IFC. Cette activité qui s’est déroulée en présence de l’Ambassadeur de l’Union Européenne et des personnalités de l’ambassade de France au Congo, a pour but d’inciter les citoyens à la valorisation des déchets plastiques, lesquels polluent et rendent insalubres nos villes.
En présence du Coordonnateur des systèmes des Nations Unies au Congo, Chris MBURU, la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable, et du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT, a échangé avec les Chefs de Quartiers,les ONG et les Associations de la Société Civile, à l’occasion de Journée Mondiale de l’Environnement.
Partie prenante dans la mise œuvre des projets ambitieux de lutte contre les Changements Climatiques et de préservation de l’environnement, les Chefs de Quartiers et les acteurs de la société civile, n’ont pas été mis à la marge dans le cadre de la célébration de la Journée Mondiale de l’Environnement.
Enthousiastes et déterminés à échanger directement avec Madame la Ministre, sur les questions qui font désormais partie de leur quotidien, ces acteurs ont présenté leurs engagements à soutenir les actions qui concourent à la matérialisation de la vision du premier écologiste congolais, Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République Chef de l’État.
Au cours de cette activité, dans un climat d’étroite collaboration, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a demandé à ses interlocuteurs de faire preuve de responsabilité en respectant les notions de durabilité et les normes environnementales conformément aux textes en vigueur.
Au terme de cette rencontre, les diplômes d’honneur ont été remis à l’IFC et aux associations de la société civile, pour leur dévouement dans la préservation de l’environnement.
Opération de ramassage des ordures sur les artères de Brazzaville,ce samedi 5 juin 2021, à l’occasion de la célébration de la Journée Mondiale de l’Environnement
C’est sous le thème »Restauration des Écosystèmes », que l’humanité célèbre la 49ème de la Journée Mondiale de l’Environnement. Le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, que dirige la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a organisé plusieurs activités, dans le cadre de cette célébration, afin de rappeler aux populations la nécessité de préserver l’environnement et les enjeux de la problématique du bassin du Congo. Le ramassage des ordures qui s’est déroulé en présence du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, et des Représentants des agences des Nations Unies, a eu pour objectif de lancer un message fort aux populations appelées à respecter la journée nationale de salubrité instaurée en 2019.
La célébration de cette journée revêt une grande importance pour la République du Congo, qui bataille depuis plus en 30 ans par l’entremise de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’État, pour valoriser l’enjeu du Bassin du Congo.
Le 5 juin de chaque année, l’humanité célèbre la journée mondiale de l’environnement et pour sa 49eme édition, l’Organisation des Nations Unies a choisi le thème suivant : ‘’ La restauration des écosystèmes ‘’.
Un écosystème, c’est un équilibre naturel dans lequel les hommes, les animaux, les insectes, les plantes, les arbres, l’eau, coexistent en symbiose et ne peuvent pas vivre les uns sans les autres, car si l’un des maillons de cette chaîne venait à disparaitre, c’est tout l’ensemble qui serait en danger.
Quand on parle d’écosystème chez nous au Congo, on pense tout de suite à cette extraordinaire niche écologique qu’est le Bassin du Congo, à cette exceptionnelle réserve de biodiversité de quatre millions de kilomètres carrés que nous partageons avec nos voisins, à cette seconde forêt primaire au monde après celle de l’Amazonie et qui recouvre 65% de notre territoire national.
On ne le répétera jamais assez : cet écosystème du Bassin du Congo est non seulement vital pour nous, mais pour l’ensemble de la planète. La perte de ces forêts libérerait 80 milliards de tonnes de gaz carbonique dans l’atmosphère et la disparition de nos tourbières de la Cuvette Centrale, 30 milliards de tonnes de plus. Les effets d’une telle catastrophe feraient augmenter la température moyenne mondiale non pas de 1,5 degrés, à l’horizon 2050 mais de 5 degrés, avec des conséquences incalculables pour l’humanité. Nous n’en sommes pas là, fort heureusement. Mais des menaces planent sur notre écosystème. Elles ont pour noms exploitations minières et forestières illégales, agriculture sur brûlis, braconnage, surpêche, érosions, pollutions de toutes sortes. Nous ne devons en aucun cas les négliger. 3
Mesdames et messieurs,
Chers compatriotes.
Sous l’impulsion d’un homme, le Président Denis SASSOU-N’GUESSO, qui sait mieux que personne que la nature est notre passé, notre présent et notre avenir et dont les convictions écologistes ne sont plus à démontrer, notre pays n’a pas attendu la thématique de cette journée pour restaurer ses mangroves et ses forêts. Le vaste programme national d’afforestation et de reboisement lancé il y a dix ans et les multiples opérations de planting d’arbres démontrent que le Congo sait parfaitement comment gérer la forêt de façon durable afin qu’elle puisse se régénérer. Et ce n’est pas un hasard si notre taux de déforestation est l’un des plus faibles en Afrique. Quant à la lutte contre le braconnage, elle se poursuit sans relâche et je tiens à cet égard à saluer notre Justice qui a lourdement condamné il y a un peu moins d’un an un braconnier notoire du parc de Nouabalé Ndoki responsable de l’abattage de plus de cinq cent éléphants en dix ans. Elle a ainsi envoyé un message fort qui montre que les crimes contre les espèces protégées et les crimes contre l’environnement seront poursuivis avec la plus grande rigueur.
De même, la volonté réitérée du Chef de l’Etat de voir s’exercer partout l’autorité d’un Etat qui se veut à la fois un Etat de droit et un Etat protecteur, ne peut qu’inciter le Ministère dont j’ai la charge à exiger la mise en oeuvre systématique, en conformité avec la loi, des études d’impact environnemental et social, ainsi que l’application rigoureuse de leurs recommandations.
Mesdames et messieurs,
Chers compatriotes.
Je sais que pour certains d’entre vous, les problèmes écologiques sont avant tout des soucis de pays riches et que la croissance verte, durable et responsable qu’à l’instar du Chef de l’Etat nous appelons de nos voeux est encore parfois perçue à tort comme un frein au 4
développement. Certes, chaque Africain consomme deux fois moins de capital naturel que la moyenne mondiale par habitant. Certes, l’Afrique n’a pas encore franchi la ligne rouge, celle qui fait que l’Europe, l’Amérique et l’Asie vivent six mois de l’année à crédit en consommant leurs ressources plus rapidement qu’elles ne sont capables de se reconstituer. Mais cela ne saurait tarder car notre population est celle qui croît la plus vite au monde et de par ce fait, la pression exercée sur nos écosystèmes va doubler d’ici à 2040. Nous devons donc comprendre qu’avoir de l’eau, des sols, préserver nos forêts et restaurer ce qui doit l’être, c’est aussi vital que de construire des routes, des ponts ou des hôpitaux. Préserver l’environnement, ce n’est pas aller contre le progrès, la croissance et le développement. Ce n’est pas, comme on l’entend parfois du coté de certaines ONG radicales, renoncer aux activités extractives et minières dont nos pays ont tant besoin. Il s’agit simplement de ne pas faire reposer notre développement sur la destruction de la nature et de trouver l’équilibre entre le besoin de croissance et le besoin de la corriger. Préserver l’environnement, c’est aussi favoriser la création de milliers de nouveaux emplois verts au bénéfice des plus vulnérables d’entre nous, tant il est vrai que ce sont les plus démunis qui souffrent le plus des dérèglements climatiques, tant il est vrai aussi qu’il n’y aura pas de justice sociale sans justice environnementale.
D’ores et déjà, l’inclusion dans tous les projets de développement de la dimension verte et sociale ainsi que de l’objectif de développement durable, est une condition incontournable de succès pour tous les pays désireux d’attirer des investisseurs internationaux ou de lancer des emprunts obligataires.
Mesdames et Messieurs,
Chers compatriotes.
Préserver et restaurer nos écosystèmes n’est pas un luxe. C’est une nécessité pour notre survie à tous, car notre santé dépend de celle de notre environnement. Il y a donc urgence à agir. Depuis le 5
sommet de la Terre à Rio en 1992, soit près de 30 ans, le Président Denis SASSOU-N’GUESSO se bat pour faire comprendre à nos partenaires l’enjeu mondial du Bassin du Congo. Il n’est pas normal en effet que la plupart des mécanismes financiers internationaux favorisent toujours les pays à fort taux de déforestation alors que les bons élèves du Bassin du Congo comme nous le sommes n’y ont presque pas accès. Il n’est pas normal qu’alors que nous émettons très peu de gaz à effet de serre et que nous participons grandement à son absorption, nos efforts ne soient ni valorisés, ni récompensés à leur juste mesure.
Oui, le Congo doit bénéficier comme d’autres d’une prime au résultat et oui, le Fonds Bleu pour la Bassin du Congo doit être abondé au plus vite. Dans un appel à un New deal pour l’Afrique, qu’il a cosigné aux côtés de 30 Chefs d’Etats et de gouvernement du monde et que la presse internationale a publié ce 2 juin, le Président Denis SASSOU-N’GUESSO ne dit pas autre chose quand il prône, je cite « un investissement massif dans l’éducation, la santé et la lutte contre le changement climatique, afin d’ouvrir la voie à une réponse panafricaine pour soutenir la reprise économique et les progrès vers les objectifs de développement durable de 2030». Mais dans ce monde où l’altruisme des Etats a pour limites les intérêts de chacun, nous serons d’autant plus crédibles que nous serons exemplaires chez nous. Une approche participative incluant les administrations, l’éducation nationale, la société civile, les médias, la jeunesse mais aussi les partenariats public-privé pour la création d’emplois verts et durables est donc nécessaire.
Mesdames et Messieurs,
Chers compatriotes.
Le Chef de l’Etat, le Président Denis SASSOU-N’GUESSO, l’a dit dans son discours d’investiture du 16 avril et le gouvernement, sous la direction du Premier Ministre Anatole Collinet MAKOSSO nous y incite : la protection de l’environnement concerne aussi chaque congolaise et chaque congolais. Elle commence même par là. Par la 6
façon dont nous participons à la propreté de nos villes sans tout attendre de l’Etat, dont nous traitons nos déchets ménagers et nos véhicules polluants, dont nous respectons la pureté de nos rivières et l’intégrité de nos sols.
A l’instar du colibri de la fable, qui ramène dans son bec quelques gouttelettes d’eau pour éteindre un incendie de forêts, nous devons, chacune et chacun, faire notre part, si minime soit-elle, pour la défense de notre environnement et pour inspirer les autres à nous imiter.
Oui, il y a urgence à agir. Et agir, c’est d’abord prendre ensemble conscience que la terre ne nous appartient pas mais qu’au contraire nous lui appartenons et nous en dépendons. Agir, c’est aussi prendre ensemble l’engagement de ne plus détruire les conditions d’habitabilité de notre maison commune. Pour notre génération et pour les générations futures, il est temps d’explorer d’autres manières d’être au monde.
La délégation de l’UCESA conduite par Monsieur Younes BENAKKI, Secrétaire Général de cette organisation, a été reçue en audience, jeudi 03 juin 2021, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo.
La République du Congo, qui assure la présidence de plusieurs initiatives continentales et sous régionales en matière de lutte contre les changements climatiques et de développement durable, s’ouvre à tout partenariat qui aura pour but de l’accompagner durant la phase préparatoire de la COP 26 de Glasgow, où elle porte la voix de l’Afrique sur ses questions d’enjeux planétaire et la problématique du Bassin du Congo.
L’UCESA, a manifesté, au cours de cet entretien avec la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, sa volonté d’accompagner la République du Congo et la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) dans la mise en œuvre de l’ensemble des projets qui concourent au bien être de l’Homme et à la préservation du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.
La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT, a reçu, en audience, ce vendredi 4 juin 2021, la délégation de la BAD conduite par Monsieur Serge N’GUESSAN, Directeur Général de la Région Afrique Centrale.
La République du Congo, qui entend poursuivre sa marche vers le développement, en partenariat avec la BAD, dans la réalisation des projets d’agriculture au sens large, est appelée à respecter les notions du durabilité et les normes environnementales, domaines dans lesquels elle joue un rôle de leader au niveau continental et sous régional.
La BAD qui accompagnera le Congo dans ses projets de développement, fait de ces notions et de ces normes des préalables.
C’est ce qui a fait l’objet de l’entretien entre la Ministre de l’Environnement du Développement Durable, et du Bassin du Congo et son hôte. Cet entretien a aussi permis à ces deux personnalités, d’aborder le dossier du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, projet cher à Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’État. Impressionné par la qualité du travail abattu par la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin, dans l’opérationnalisation du Fonds Bleu, Monsieur Serge N’GUESSAN a promis que son institution sera toujours aux côtés de la CCBC afin de faire de mettre en œuvre et de concrétiser cet outil panafricain.
La FAO apportera son appui technique et financier au Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo pour la mise en œuvre des projets.
La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Arlette SOUDAN-NONAULT, a reçu ce 1er juin 2021 à son cabinet de travail, Madame Yannick Ariane Rasoarimana, Représentante de la FAO au Congo.
Le point sur le partenariat entre le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo et la FAO, et les perceptives de nouveau partenariat, pour la mise en œuvre des projets dans le domaine de l’environnement et du développement durable, ont été au centre de l’entretien entre les deux personnalités.
La FAO, qui assiste, depuis 2017, le Ministère que dirige la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, entend consolider et poursuivre ce partenariat en apportant son expertise pour l’accompagner dans la mise en œuvre de ses projets ambitieux sur les changements climatiques, et de l’axe 5 du projet de Gouvernement »ensemble poursuivons la marche ».
La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Arlette SOUDAN-NONAULT, a reçu en audience, ce jeudi 27 mai 2021, Son Excellence Monsieur Georges MASAFU, Ambassadeur du Kenya au Congo ayant pour résidence en RDC.
Dans le cadre des préparatifs de la COP 26 de Glasgow, le Kenya souhaite apporter ses contributions à la CCBC, afin de consolider la position commune de l’Afrique en matière de lutte contre les changements climatiques et du Développement Durable, laquelle sera portée par la République du Congo qui assure la présidence de ladite commission et celle du Forum Régional Africain sur le Développement Durable.
C’est ce qui a fait l’objet de l’échange entre la Coordinatrice Technique de la CCBC et le Diplomate Kenyan. Pour affirmer son engagement qui vise à accompagner l’initiative sur la problématique du Bassin du Congo, la République du Kenya souhaite vivement que cette question soit abordée, au plus haut niveau, lors de la prochaine rencontre à Brazzaville entre le Président Denis SASSOU-N’GUESSO et son homologue le Président Uhuru Kenyatta.