Passation de service au Ministère du Tourisme et des Loisirs entre Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre sortant, et Madame Hermela Destinée DOUKAGA, Ministre entrant.

Passation de service ce vendredi 21 mai 2021, entre Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, Ministre en Charge du Tourisme et des Loisirs sortant, et Madame Hermela Destinée DOUKAGA, Ministre du Tourisme et des Loisirs entrant.

Après plus de 5 ans passé à la tête du Ministère en charge du Tourisme et des Loisirs, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, a passé le témoin sa collègue Destiné Hermela DOUKAGA, Ministre du Tourisme et des Loisirs.

Cette passation intervient suite à la mise en place d’une nouvelle équipe gouvernementale, qui accompagnera Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’État, dans la mise en œuvre de son projet de gouvernement  »Ensemble poursuivons la Marche », sous l’impulsion du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Monsieur Anatole Collinet MAKOSSO.

De 2016 à 2021, le secteur du tourisme et des loisirs a connu des avancées significatives grâce au dynamisme apporté par la Ministre sortante.
La Ministre Destinée Hermela DOUKAGA, entend poursuivre l’ensemble des actions amorcées par son prédécesseur.

La journée mondiale de la Biodiversité 2021

Télécharger le discours ici 

Mesdames et Messieurs,
Chers compatriotes,

« Nous faisons partie de la solution » : tel est le thème choisi cette année pour la Journée Internationale de la biodiversité.

Alors que la pandémie due au coronavirus, cet organisme sommaire doté de quelques gênes, nous a mis face à notre fragilité en nous rappelant à quel point nous étions dépendants du vivant, ce rappel à ce que chacun d’entre nous fasse sa part dans le combat pour la préservation de la biodiversité est le bienvenu. Ce combat n’est pas une abstraction, encore moins un luxe de pays riches.

C’est une urgence qui nous concerne toutes et tous. La biodiversité, c’est le socle de notre alimentation, de notre eau pure et de notre énergie. Elle est au cœur non seulement de notre survie, mais aussi de nos cultures, de nos identités et de notre joie de vivre.

Or, ainsi que le répètent inlassablement tous les rapports d’experts et de scientifiques depuis plus de vingt ans, un grand péril menace notre  biodiversité. Au point que certains affirment que la Terre est en train de subir une véritable extinction de masse, sans équivalent depuis la disparition des dinosaures il y a 66 millions d’années. Les disparitions d’espèces de toutes sortes se multiplient : plantes, poissons, mammifères, oiseaux, insectes, reptiles, du fait de la déforestation, de l’agriculture non durable, du surpâturage, des activités minières et extractives incontrôlées, mais aussi bien sûr du fait du réchauffement climatique.

Mesdames et Messieurs,
Chers compatriotes.
De tous les continents du monde, l’Afrique est celui qui résiste le mieux à l’appauvrissement de la biodiversité. Notre continent abrite encore une extraordinaire diversité biologique et c’est le dernier endroit sur terre où vivent de nombreuses espèces de grands mammifères. Mais ne nous y trompons pas : la population africaine est appelée à doubler d’ici à 2050 pour atteindre deux milliards et demi d’âmes et dans aucune autre région du monde les hommes ne sont encore autant dépendants de la nature pour leur survie quotidienne.

Or, ce précieux patrimoine est lui aussi sous pression. Dans tous les pays d’Afrique, la hausse des températures devrait être plus rapide que la hausse mondiale et les changements climatiques pourraient entraîner des pertes importantes d’espèces végétales d’ici à 2050, ainsi que la disparition de plus de 50% des espèces d’oiseaux et de mammifères, et une baisse de 20 à 30 % de la productivité des lacs. Les changements climatiques, mais aussi l’activité humaine puisque nous sommes les premiers responsables de la dégradation des terres et de la déforestation. A ce titre, si les hommes font partie de la solution comme le rappelle l’ONU, ils font aussi partie du problème.

Mesdames et Messieurs,
Chers compatriotes.
Il est encore possible d’enrayer le déclin de la biodiversité. A ce titre – et je le dis avec fierté – notre pays le Congo fait partie de ceux qui montrent la voie à suivre grâce à la vision d’un homme, le Président Denis SASSOU NGUESSO. Cela fait des décennies que le Chef de l’Etat porte la voix de l’Afrique lors des grandes conférences sur la protection de l’environnement, bien seul au début, puis peu à peu rejoint par ses pairs du continent. Il nous l’a rappelé, lors de son discours d’investiture du 16 avril dernier : « notre nature est un don de Dieu que nous devons exploiter et respecter, pour que cette croissance verte soit vertueuse ». Fin de citation. Oui, exploiter et respecter, exploiter tout en respectant. En d’autres termes : trouver le compromis entre le développement économique et la préservation de la nature. Ce sont là des paroles de grande sagesse.

Mesdames et Messieurs,
Chers compatriotes.
Afin d’éviter le basculement de la biosphère dans un nouvel équilibre dont nul ne sait de quoi il sera fait, tout ce que notre planète compte de scientifiques, de climatologues, d’environnementalistes et de militants écologistes, a les yeux fixés sur cette formidable réserve de biodiversité qu’est le Bassin du Congo. Avec ses forêts, ses fleuves, ses précieuses tourbières, ses sites protégés et ses zones humides, cet immense patrimoine
mondial a la chance d’avoir comme grand conservateur le Président Denis SASSOU NGUESSO, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo. A son initiative et sous son impulsion a été créé il y a quatre ans à Oyo l’instrument financier du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, un fonds désormais opérationnel et décliné en près de 254 projets sectoriels des Etats membres de la Commission Climat du Bassin Congo évalués à dix milliard de dollar américain (10 000 000 000 USD) qui tous prennent en compte les savoirs autochtones, tant il est vrai que la conservation de la biodiversité ne fonctionne que lorsqu’elle intègre les besoins des communautés locales et les associe aux actions entreprises.

Mesdames, Messieurs,
Chers compatriotes.
Dans son discours d’investiture, le Chef de l’Etat a érigé au titre de ses engagements pour son nouveau mandat le fait de donner au Congo la place mondiale qu’il mérite en matière de protection de l’environnement et de la biodiversité. Cet engagement, socle du développement durable, socialement équitable et écologiquement responsable que notre Président appelle de ses vœux, implique que la protection de la biodiversité soit désormais intégrée dans toutes les politiques publiques. Il implique aussi que chaque citoyenne et chaque citoyen de ce pays fasse sa part dans les
efforts de conservation de la nature, tout comme le gouvernement, sous la haute direction du Premier Ministre Anatole Collinet MAKOSSO, entend faire la sienne. Les décisions qui seront prises lors de la prochaine conférence des Nations Unies sur la biodiversité qui se tiendra en octobre de cette année à Kunming en Chine devront enfin permettre à l’humanité de rêver à un avenir plus vert et plus durable. Le Congo notre pays s’y rendra la tête haute, fier du leadership régional qu’incarne en la matière le Président Denis SASSOU NGUESSO et conscient du rôle crucial que joue notre patrimoine naturel pour l’avenir de nos enfants. Car la biodiversité, c’est nous. Nous et tout ce qui vit sur terre.

Vive l’Afrique verte !
Vive le Congo vert !
Je vous remercie.
Arlette SOUDAN-NONAULT.-

 

#JournéeDeLaBiodiversité #BiodiversityDay2021

La Commission Climat du Bassin du Congo partage son expérience et invite les autres communautés à s’approprier le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo a participé par visioconférence, ce 21 mai 2021, au panel inaugural des Green Days Africa 2021, tenu sous le thème « En route pour la COP 26, quel financement de la transition verte, bleu et bas- carbone pour l’Afrique dans un contexte post-covid ».

C’est dans le but de partager des réflexions et des expériences sur l’état des lieux, les enjeux, les défis, et de mettre en perspective des solutions au financement du climat et de l’économie verte pour l’Afrique dans un contexte post-covid, que se sont tenues ces Green Days Africa, à Abidjan en Côte d’Ivoire.

Les avancées de la Commission Climat du Bassin du Congo et de son instrument financier le Fonds Bleu, ont fait partie du contenu de l’expérience partagée par la Coordonnatrice Technique de ladite commission, à ce panel de haut niveau tenu en présentiel et par visioconférence.
Notons que l’Afrique dispose maintenant d’un outil de gouvernance et de finance climatique, grâce à la mise en place du Fonds Bleu, qui n’attend que d’être abondé.

Ces Green Days qui consolident l’agenda Africain pré-Glasgow, ont constitué également une étape de promotion du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

 

La Contribution Déterminée au Niveau National (CDN) Révisée de la République du Congo validée par l’ensemble des parties prenantes

Téléchargez le Communiqué final de l’atelier national de validation de la CDN révisée

Clôture de l’atelier de validation de la CND révisée de la République du Congo, ce jeudi 20 mai 2021, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, présence de Monsieur Maleye DIOP Représentant Résident du PNUD au Congo.

Après trois jours des travaux, les experts nationaux et internationaux, la société civile et les consultants recrutés pour la CDN, ont formulé des suggestions et les recommandations pertinentes, qui constitueront le rapport que la République du Congo soumettra au secrétariat de la convention cadre des nations unies pour les changements climatiques.

Ces travaux ont été sanctionnés par une cérémonie de clôture, marquée par la lecture d’un communiqué final des travaux, lu par Madame Nadège Mfoutou Banga de la société civile, puis le mot de clôture de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT.

Le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo signe un nouveau Programme de Travail Annuel (PTA) avec le PNUD

Signature ce mercredi 19 mai 2021, du PTA entre Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement,du Développement Durable et du Bassin du Congo, et Monsieur Maleye Diop, Représentant Résident du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) au Congo .

C’est en vue de poursuivre leur partenariat sur de nouvelles perspectives, que les deux parties ont entrepris cette initiative afin de relever les défis en matière d’environnement, du climat et sur la problématique du Bassin du Congo.

Grâce à ce PTA, le PNUD apportera au Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin Congo, un appui technique et financier pour l’accompagner dans la réalisation et l’aboutissement des projets liés à ce département, qui porte l’axe 5 du projet de gouvernement du Président Denis SASSOU-N’GUESSO  » Ensemble poursuivant la marche ».
Également, cet accompagnement permettra au Ministère que dirige la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, de promouvoir le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, instrument financier de la Commission Climat du Bassin du Congo,
à l’échelle Internationale.

Le Congo va recevoir 45 millions d’euros de l’initiative CAFI

Cet argent va pour soutenir la République Congo dans ses stratégies d’aménagement du territoire et de préservation des ressources naturelles.

L’initiative CAFI va mobiliser 45 millions d’euros pour soutenir le Congo dans ses stratégies d’aménagement du territoire et de préservation des ressources naturelles.

C’est ce qu’a déclaré le directeur de l’Agence française de développement (AFD) au Congo, Lionel Cafferini, à l’issue d’un échange avec la ministre du de l’Environnement, du développement Durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault. Lionel Cafferini a indiqué que son agence était en train de finaliser l’instruction d’un programme d’utilisation des terres durables au Congo avec des financements de l’initiative CAFI qui appuie les forêts dans le bassin du Congo et les fonds propres de l’AFD.

Il s’agit d’accompagner et de soutenir les différents jalons de la note d’intention que le président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso a signée avec le président de la République française, Emmanuel Macron, en octobre 2019 pour mettre en place une politique nationale d’aménagement du territoire au Congo qui préserve les ressources naturelles et lutte contre le changement climatique. « Nous avons fait le point avec la ministre sur les activités que nous pourrions soutenir pour accompagner cette stratégie de préservation des tourbières, des zonages tout en accompagnant une activité économique agricole durable dans la proximité de ces zones-là », a déclaré le directeur de l’AFD au Congo. Quant aux montants financiers, a-t-il poursuivi, il y a deux phases dans ce programme d’utilisation des terres. Une première où le Fonds CAFI a délégué des ressources à l’AFD pour un montant de quinze millions de dollars, et où l’AFD pour le compte de l’État français va mobiliser sept millions d’euros de financement complémentaire.

Une deuxième phase qui est également en cours d’instruction, devrait mobiliser quinze à vingt-cinq millions de dollars de la part de l’initiative CAFI auxquels s’ajouteront huit millions d’euros de ressources en don de l’État français via l’AFD.

« C’est un programme haut global que nous instruisons pour un montant d’environ quarante-cinq millions d’euros en don pour soutenir le Congo dans sa stratégie d’aménagement du territoire et dans sa stratégie de préservation des ressources naturelles », a confié Lionel Cafferini.

La ministre du Tourisme et de l’Environnement a fait part à ses partenaires de son impatience par rapport aux procédures et aux délais de mise en œuvre des programmes. Lionel Cafferini lui a indiqué que l’objectif était de pouvoir signer les conventions de financements d’ici octobre 2021 pour une mise en œuvre effective de ce programme à l’horizon du début 2022. « Le Congo a exprimé un ensemble d’orientations, de stratégies, d’objectifs, et nous avons considéré que ces objectifs de lutte contre le changement climatique, de préservation des ressources naturelles, et du développement économique rencontraient les grandes orientations de l’État français. On sait que le bassin du Congo est une zone géographique qui apporte beaucoup à l’humanité… », a-t-il ajouté.

La République du Congo lance la phase de finalisation du processus de révision de sa Contribution Déterminée au Niveau National (CDN)

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo a lancé ce 18 mai 2021, l’atelier de validation de la CDN de la République du Congo.

Pour respecter ses engagements vis à vis de l’accord de Paris sur le climat, la République du Congo, à travers le Ministère en charge de l’environnement, du développement durable et du Bassin du Congo, en partenariat avec le PNUD, avait lancé en 2020 le processus de révision de la Contribution Déterminée au Niveau National (CDN).

Dans le cadre de la finalisation de ce processus, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a procédé à l’ouverture de l’atelier de validation de cette CDN en présence du Représentant Résident du PNUD au Congo, Monsieur Maleye Diop, et d’autres Représentants des agents des Nations Unies, des ambassades et des administrations, partenaires pour la réalisation de ce projet ambitieux qui rentre dans le cadre de la lutte contre les changements climatiques.

Cet atelier qui se tiendra en présentiel et par visioconférence, consistera à valider le document final de la REDD+, cohérent et adapté aux attentes de la promesse climatique en vue du rehaussement de l’ambition climatique de la République du Congo.

Vous pouvez consulter le discours d’ouverture de Madame la Ministre SOUDAN-NONAULT en cliquant ici.

 

 

 

Concertation entre l’Agence Française de Développement (AFD) et le Ministère du Tourisme et de l’Environnement pour la mise en œuvre du cadre de programmation CAFI

La délégation des experts de l’AFD conduite par Monsieur Lionel CAFFERINI, a été reçue, en audience, ce mercredi 12 mai 2021, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.

Le Cadre de programmation CAFI, qui fixe les axes de développement des programmes, les objectifs et les résultats attendus, dans le cadre de la mise en œuvre de la Lettre d’Intention signée en septembre 2019,entre le Président Denis SASSOU-N’GUESSO et Son Homologue le Président Emmanuel Macron, a été au cœur de cet entretien.
Ce programme financé à hauteur de 35 M€ sur 5 ans, vise la préservation des forêts en vue d’atténuer les changements climatiques, la réduction de la pauvreté et le développement durable.
Aussi concernée par la problématique du Bassin du Congo, la délégation de l’AFD a, au cours de cette audience, émis le souhait d’accompagner le Congo et la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC), dans les préparatifs de la COP 26 de Glasgow, qui sera la phase déterminante de mise en lumière du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Le Bassin du Congo, un enjeu planétaire crucial, selon Jeffrey Sachs

Le mercredi 12 mai 2021, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement en charge du développement durable, a eu une séance de travail par visioconférence avec le célèbre économiste et Professeur Américain Jeffrey Sachs, Directeur de l’Institut de la Terre (Earth Institute) de l’Université de Columbia et conseiller du Secrétaire Général des Nations Unies, en présence du Représentant Résident du PNUD au Congo, Maleye Diop.

Grâce à la forte communication entreprise par la Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, la problématique du Bassin du Congo deuxième poumon écologique mondial est devenue une préoccupation à l’échelle internationale. Après les partenaires bilatéraux et multilatéraux, les personnalités internationales adhérent à cette vision panafricaine portée par Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’État. C’est dans ce cadre que le Professeur Jeffrey David Sachs, s’est entretenu avec la Ministre du Tourisme et de l’Environnement Arlette SOUDAN-NONAULT, en vue de la mise en oeuvre d’un cadre de partenariat en faveur de la promotion du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Vivement intéressé par la problématique du deuxième poumon écologique mondial, l’économiste américain, s’est engagé à en faire le plaidoyer tant auprès de l’Envoyé Spécial du Président Américain pour le Climat John KERRY, que du Secrétaire Général de l’ONU Antonio GUTERRES et du Pape François qu’il doit rencontrer bientôt au Vatican.

L’agence Allemande de Coopération (GIZ) apporte son appui technique et financier à la Commission Climat du Bassin du Congo

La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, s’est entretenue ce mardi 11 mai 2021 avec une délégation Allemande, conduite par Monsieur Jonas WIESENECKER, Chargé d’Affaire de l’Ambassade d’Allemagne au Congo, accompagné de Monsieur Andreas KALK, Directeur Résident de la GIZ, pour discuter du calendrier de la phase préparatoire du projet d’appui scientifique aux processus de plans nationaux d’adaptation.

Plus d’1 million d’Euro seront affectés par la GIZ pour accompagner les pays de l’Afrique Subsaharienne dans la mise en œuvre des plans nationaux d’adaptation. La République du Congo qui assure la Présidence de la CCBC, sera le pays pilote pour la mise en œuvre de ces projets, grâce à son leadership sur le continent en matière de lutte contre les changements climatiques. C’est dans le but de consolider les informations et de préparer les différents mécanismes d’exécution de ces projets que la Ministre du Tourisme et de l’Environnement s’est entretenue avec la partie allemande.