L’exportation illicite de déchets ménagers vers la Tunisie et le Liberia au cœur de la Réunion du Bureau de la Convention de Bamako présidée par la ministre SOUDAN-NONAULT

L’exportation illicite de déchets ménagers vers la Tunisie et le Liberia au cœur de la Réunion du Bureau de la Convention de Bamako, que préside Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo.
La Convention de Bamako entend apporter son soutien aux deux pays par voie diplomatique, en vue d’une résolution de cette situation devenue un défi international.

Sous la Présidence de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, Présidente du Bureau de la Convention de Bamako sur l’interdiction d’importer en Afrique des déchets dangereux et sur le contrôle des mouvements transfrontaliers et la gestion des déchets dangereux produits en Afrique, il s’est tenu ce 16 mars 2021, par visioconférence, la deuxième réunion du Bureau de ladite convention.

Essentiellement consacrée sur la situation d’importation illicite des déchets ménagers, vers la Tunisie et le Liberia par les sociétés européennes, cette réunion a permis aux participants de définir le plan d’action et d’adopter les recommandations concrètes en vue de garantir le retrait de ces déchets du Continent Africain.

Il s’agit des 282 Conteneurs de déchets plastiques ménagés d’Italie vers la Tunisie et de 119 000 tonnes de déchets plastiques contaminés vers le Liberia par une entreprise grecque.

Pour la Présidente du Bureau de la Convention de Bamako, les options prises par les Etats pour renforcer la protection des territoires des Etats Africains contre les mouvements transfrontaliers illicites des déchets dangereux doivent être diffusées aux Etats Parties à temps pour leur prise en compte. Et les dispositions mises en place pour résoudre ces deux cas d’exportation frauduleuse de déchets dangereux devraient être mise en application au plus vite.
Au terme de cette réunion, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a rappelé d’autres défis auxquels devra faire face la convention, parmi lesquels: le paiement des cotisations statutaires par les Etats parties, la succession du Congo à l’organisation de la COP 4, le transfert du secrétariat à Bamako au Mali, etc…
Enfin, la Ministre a rappelé que la République du Congo a organisé en mars 2020, la COP 3 de la Convention de Bamako, sous le Très Haut Patronage de Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO.

2016 à 2021 : Activités phares réalisées par le Ministère du Tourisme et de l’Environnement

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De 2016 à ce jour, les activités phares ci-après ont été réalisées par le Ministère du Tourisme et de l’Environnement dans le cadre de sa feuille de route :

Dans le domaine du tourisme :

  • L’organisation en juillet 2017 des premières Assises Nationales du Tourisme, avec la première visite d’un Secrétaire Général de l’Organisation Mondiale du Tourisme, Mr Taleb RIFAI ;
  • La célébration en février 2019, en présence du Secrétaire Général de l’Organisation Mondiale du Tourisme Monsieur Zurab POLOLIKASHVILI, de la première édition de la Caravane de la Charte Africaine du Tourisme Durable et Responsable. Il s’agit d’un engagement de notre pays, de développer et de promouvoir un tourisme respectueux, qui tienne compte des équilibres environnementaux ;
  • L’implantation des bureaux d’Informations Touristiques (BIT), dans les aéroports internationaux de Brazzaville et de Pointe-Noire ;
  • L’aménagement en cours du site touristique des Cataractes du Djoué à Brazzaville ;
  • La construction du Gite rural de Sossi dans le département du  Niari ;
  • La création de deux sites web promotionnels de la destination Green Congo ;
  • Le lancement du projet de création du visa touristique, avec l’appui de la Banque Mondiale ;
  • La production régulière des statistiques du tourisme ;
  • Le renforcement des capacités opérationnelles des agents de l’administration Nationale du Tourisme ;
  • La relance du Conseil Supérieur du Tourisme ;
  • La mise en place d’un système de classement des établissements de tourisme ;
  • Le lancement du projet d’aménagement des structures touristiques dans le parc national de Nouabalé Ndoki, avec les partenaires privés (CCC et WCS) ;
  • La création de la Société Congolaise d’Ingénierie Touristique. Organe technique d’aménagement et de développement des sites touristiques ;
  • La création du Guichet Unique du tourisme. Structure d’appui et d’accompagnement des investisseurs privés ;
  • La transformation de l’Office de Promotion de l’Industrie Touristique d’un EPA à un EPIC (Organe de promotion et de commercialisation de la destination Green-Congo) ;
  • L’élaboration de la loi réglementant le secteur du Tourisme ;
  • L’élaboration de la loi portant répartition des compétences entre l’État et les collectivités locales dans le domaine du Tourisme ;
  • La mise en place d’un système de classement des établissements de tourisme ;
  • L’édition et la diffusion de guides touristiques et de spots de promotion ;

 

Dans le domaine des loisirs :

  • L’élaboration avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), d’une politique nationale de développement durable et responsable des loisirs en République du Congo.

 

Dans le domaine du Développement Durable :

  • La création de trois Commissions dédiées au climat par les Chefs d’Etat et de Gouvernement à Marrakech en novembre 2016 en marge de la COP 22 ;
  • L’annonce de la création d’un Fonds Bleu par Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat en marge de la COP 22 à Marrakech ;
  • La signature en mars 2017 à Oyo en République du Congo par 10 pays du mémorandum portant création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ;
  • L’organisation à Brazzaville en octobre 2017 de la Conférence des Ministres de l’Environnement et des Finances de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale et de la Communauté de l’Afrique de l’Est, sur l’accélération de l’opérationnalisation de la Commission du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ;
  • La publication en 2017 dans la revue « Nature » de la découverte des tourbières dans la Cuvette centrale du Bassin du Congo ;
  • L’organisation en mars 2018 de la Troisième réunion des partenaires de l’initiative Mondiale sur les Tourbières suite à la découverte par une équipe de chercheurs de l’Université de LEEDS et de l’Université Marien NGOUABI des tourbières sur une superficie de 15 500 km2 entre la République du Congo et la République Démocratique du Congo et qui séquestrent près de 30 milliards de tonnes de carbone ;

Cette  réunion a abouti à la signature par l’Indonésie, la République du Congo et la République Démocratique du Congo de la déclaration de Brazzaville sur la gestion durable des  tourbières ;

  • L’organisation en avril 2018 du Premier Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement sur l’opérationnalisation de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour la Bassin du Congo ;
  • La signature entre la Ministre du Tourisme et de l’Environnement et l’Agence Française de Développement de la Facilité Adapt’Action pour la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur la Climat en juin 2018 ;
  • La participation en novembre 2017 à la COP23 de Bonn ;
  • La participation en décembre 2018 à la COP 24 à Katowice où le plaidoyer pour un appui à l’effort de préservation des forêts du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique de la planète, a été soutenu par la Ministre du Tourisme et de l’Environnement ;
  • Le lancement en janvier 2019 du projet Congo Peat 2 avec l’appui de l’Université de Leeds, dans le cadre d’un approfondissement  de connaissance sur les tourbières ;
  • Le lancement en avril 2019 de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour la Bassin du Congo afin de doter les pays membres d’un pipeline des projets et d’un mécanisme de gouvernance ;
  • La signature en septembre 2019, de la lettre d’intention avec l’Initiative pour les Forêts d’Afrique Centrale dans le cadre d’un engagement soutenu pour une gestion durable des écosystèmes forestiers dont les tourbières ;
  • La signature du protocole de coopération entre la République du Congo et la République Française dans le domaine de l’environnement et du climat ;
  • L’approbation par le Secrétariat du Fonds d’Adaptation en octobre 2019 de la Note Conceptuelle du Projet « Renforcement des capacités d’adaptation aux changements climatiques des communautés vulnérables vivant dans le Bassin du Fleuve Congo » qui a permis à notre pays de bénéficier d’un financement de 10 millions de dollars afin de permettre aux petits producteurs agricoles sur trois départements à savoir la Bouenza, la Sangha et la Likouala de mieux s’adapter  aux changements climatiques et ainsi d’assurer la sécurité alimentaire ;
  • La participation en décembre 2019 à la COP 25 à Madrid. Evénement parallèle sur la CCBC et l’étude de préfiguration du Fonds Bleu sous le très haut patronage de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat ;
  • L’élaboration d’une  étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, principal outil financier de la CCBC dont  le rapport d’initialisation a été adopté en septembre  2019, lors de la première réunion du Comité de Pilotage du Fonds Bleu ;
  • La signature en septembre 2019, de la lettre d’intention avec l’Initiative pour les Forêts d’Afrique Centrale dans le cadre d’un engagement soutenu pour une gestion durable des écosystèmes forestiers dont les tourbières, ainsi que le lancement en janvier 2019, du projet Congo Peat 2 avec l’appui de l’Université de Leeds, dans le cadre d’un approfondissement  de connaissance sur cet écosystème fragile ;
  • L’approbation par le Secrétariat du Fonds d’Adaptation en octobre 2019 de la Note Conceptuelle du Projet « Renforcement des capacités d’adaptation aux changements climatiques des communautés vulnérables vivant dans le Bassin du Fleuve Congo » qui permettra à notre pays de bénéficier d’un financement de 10 millions de dollars afin de permettre aux petits producteurs agricoles de mieux s’adapter  aux changements climatiques et ainsi assurer la sécurité alimentaire.
  • La validation le 02 décembre 2020 par les Ministres des pays membres de la CCBC de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, principal outil financier de la CCBC. Un Sommet de Chefs d’Etat pour l’approbation du Plan d’Investissement et une conférence des bailleurs de Fonds pour la mobilisation des financements nécessaires à la mise en œuvre des projets retenus dans le plan d’Investissement sera organisé  en  2021 ;
  • La finalisation en cours de la Troisième Communication Nationale sur les changements climatiques ;
  • Le lancement en octobre 2020 avec l’appui du PNUD de la révision de la Contribution Déterminée au niveau National de la République du Congo ;
  • Le lancement en février 2021 du projet Biodev2030 dont l’objectif est d’enrayer l’érosion de la biodiversité en s’attaquant aux principaux moteurs de cette érosion ;
  • L’organisation du 1er au 4 mars 2021 du 7ième Forum Régional Africain sur le Développement    La République  du Congo  portera  la  voix  de  l’Afrique  tout  au long  de l’année 2021 sur les questions de Développement Durable, notamment la mise en œuvre du programme 2030 des Nations Unies.

 

Dans le domaine de l’Environnement :

  • La systématisation du suivi et contrôle des Installations Classées qui, a abouti à la mise en demeure de certaines sociétés et à l’accélération du processus d’élaboration des Plans de Gestion Environnementale et Sociale (PGES) liés à leurs activités ;
  • La systématisation du contrôle des produits chimiques et des substances qui appauvrissent la couche d’Ozone ;
  • La réalisation des inventaires complémentaires des transformateurs à huiles contaminées de PCB dans tous les départements du Congo, en vue de l’élimination des polychlorobiphényles (PCB) ;
  • La célébration annuelle de la Journée Mondiale de l’Environnement
  • La révision de la loi n°003/91 du 23 avril 1991 sur la protection de l’Environnement, pour tenir compte du nouveau contexte national et prendre en compte les nouvelles préoccupations en matière d’environnement au niveau mondial, notamment : les changements climatiques, le processus REDD+, le marché du carbone, l’accès aux ressources génétiques et le partage des bénéfices issus de leur exploitation ;
  • L’initiative CAFI : participation à l’élaboration de la lettre d’intention avec l’Ambassade de France, à la signature des chefs d’Etat du Congo et de la France.
  • L’exécution des projets ci-après :
  • Projet ‘’Gestion écologiquement rationnelle de substances chimiques organiques de synthèse (PCB) et leur élimination (finale), en République du Congo’ ;
  • Projet ‘’Plan d’action national pour l’extraction minière artisanale et à petite échelle de l’or (ou projet PAN)’’ ;
  • Agence Nationale pour le Développement de l’Information Environnementale (ADIE) pour la promotion de la coopération en matière de production, de développement, d’échange, de diffusion et d’usage des informations environnementales entre les membres des réseaux nationaux d’information environnementale (RNIE).
  • La participation en Mai 2017, au segment de haut niveau, organisé par le secrétariat exécutif des Conventions de Bâle, Rotterdam et Stockholm relatifs aux produits chimiques et déchets dangereux, à Genève en Suisse.
  • La participation en Décembre 2017 à la troisième session de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement (ANUE-3) à Nairobi, au Kenya, sous le thème général «Vers une planète sans pollution».
  • La participation en Janvier 2018 à la réunion régionale relative au Programme FEM-7 sur les Paysages Durables du Bassin du Congo, à Libreville au Gabon.
  • La participation en Juin 2018 à la Cinquante quatrième Assemblée du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) à Da NANG au Vietnam.
  • La participation en Mars 2018 à la troisième Réunion des Partenaires de l’Initiative Mondiale sur les Tourbières (IMT), à Brazzaville.
  • La participation en Novembre 2018 à la Troisième conférence interministérielle sur la santé et l’environnement en Afrique, organisée à Libreville au Gabon, conjointement par L’ONU Environnement, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), et l’Etat Gabonais.
  • La participation en Novembre 2018 à la Conférence de haut niveau sur l’économie bleue durable, à Nairobi au Kenya.
  • La participation en Mars 2019 à la Quatrième session de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement (ANUE-4), à Nairobi au Kenya, sur le thème «Solutions innovantes pour les défis environnementaux, la consommation et la production durables».
  • La ratification de la Convention de Minamata sur le Mercure (Loi N°11-2019 du 17 Mai 2019 autorisant la ratification de la convention de Minamata sur le Mercure). Dans le cadre de la mise en œuvre de cette convention, il a exécuté les projets « Evaluation Initiale du mercure (MIA III) » et « Elaboration du plan d’action national pour l’extraction minière artisanale et à petite échelle de l’or (PAN) » ;
  • La signature en juillet 2019, dans le cadre la convention d’Abidjan sur la protection du milieu marin et des zones côtières, de quatre protocoles dont celui dit de Pointe-Noire sur la gestion intégrée des zones côtières ;
  • L’adhésion du Congo à l’Accord Cadre portant création de l’Alliance Solaire Internationale (ASI) par loi n° 13-2019 de Mai 2019, dans l’atténuation des Changements Climatiques ;
  • La ratification de l’amendement de Kigali dans le champ du protocole de Montréal sur les substances qui appauvrissent la couche d’Ozone (Loi N°02-2020 du 11 Février 2020 sur la ratification de l’amendement de Kigali du protocole de Montréal sur les substances qui appauvrissent la couche d’Ozone (SAO)) ;
  • Le Congo a abrité du 12 au 14 Février 2020, la Troisième Conférence des Parties (COP 3) de la Convention de Bamako sur l’interdiction d’importer en Afrique des déchets dangereux et sur le contrôle des mouvements transfrontières et la gestion des déchets dangereux produits en Afrique ;
  • La révision du 24 au 26 Novembre 2020 du Plan National d’Action pour l’Environnement (PNAE) approuvé par le Gouvernement en 1996.

La République du Congo prend la présidence du Forum Africain sur le Développement Durable

7ème forum sur le développement durable

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, en charge du développement durable de la République du Congo, succède au Professeur Paul MAVIMA, Ministre de la Fonction Publique et du Dialogue  Social du Zimbabwe, à la tête du Forum Africain sur le Développement Durable.

Tenue le 1er mars 2021 par visioconférence et en présentiel, la session inaugurale du 7ème Forum Africain sur le Développement Durable, qu’abrite Brazzaville jusqu’au 4 mars 2021, placé sous le Très Haut Patronage de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, a été marquée par la passation de mandat entre le Zimbabwe et le Congo qui dirigera pendant un an le Bureau de ce forum.

Ce bureau dont la Présidence est assurée par le Congo, est composé de quatre autres États, représentants les différentes sous régions de l’Afrique.

Grâce à son leadership sur le continent en matière de Développement Durable, la République du Congo portera la voix de l’Afrique à la prochaine Assemblée Générale des Nations Unies, en vue de faire le point des progrès et des défis dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de l’Agenda 2063 de l’Union africaine.

Sitôt investie, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a présidé le panel de Haut Niveau, qui a eu pour thème «  l’action transformatrice pour mieux bâtir à partir de la crise de Covid 19: Vers une Afrique résiliente et verte pour assurer la réalisation du programme 2030 et de l’agenda 2063« , lequel a été suivi par plus de 3000 personnes en ligne.

Dans son propos, la Présidente du 7ème Forum Africain sur le Développement Durable a indiqué que la récession économique engendrée par la COVID 19 pourrait compromettre si nous n’y prenons garde l’atteinte des objectifs de développement durable, particulièrement dans les pays les moins avancés.

Elle a également rappelé, le rôle important que joue l’Afrique en général et l’Afrique Centrale en particulier dans la sauvegarde de la planète grâce à la forêt du Bassin du Congo qu’elle abrite et qui représente le deuxième poumon écologique mondial.

La découverte récente de tourbières qui s’étendent sur près de 145 500 km2 entre notre pays et la RDC et séquestrent environ 30 milliards de tonnes de carbone, représente un défi supplémentaire en terme de gestion durable si nous voulons bâtir une Afrique résiliente et verte. Le développement d’une économie verte doit s’appuyer sur la préservation, la gestion durable et la valorisation de notre capital naturel, a aussi indiqué la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT.

Mme Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre en charge du Développement Durable a procédé au lancement officiel du Projet Biodev 2030

Partie prenante à la 14eme Conférence des Parties sur la biodiversité, tenue en 2018 à Sham el Sheick, en Egypte, au cours de laquelle a été adopté le processus de préparation pour l’élaboration du cadre Mondial de la Biodiversité pour l’après 2020, la République du Congo, sous l’égide de son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, participe activement à ce processus.

C’est dans ce cadre qu’il est mis en place le projet Biodev 2030, financé par l’AFD et mis en œuvre par WWF, lancé ce 23 février 2021, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.

Ce projet consiste à apporter au gouvernement , les moyens d’identifier et d’engager conjointement avec le secteur privé et la société civile, des mutations profondes dans les secteurs de l’économie ayant une incidence stratégique sur le développement et sur la biodiversité du pays.

 

La Ministre SOUDAN-NONAULT a porté le message Congo à la 5ème Assemblée Générale du Programme des Nations Unies pour l’Environnement

La 5ème Assemblée Générale du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, tenue du 22 au 23 février 2021 par visioconférence, a connu la participation de la République du Congo, représentée par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement.

Cette Assemblée Générale a porté sur l’approbation de la stratégie à moyen terme du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, période 2022-2025, sur le programme des travaux et le budget pour 2022-2023 ainsi que sur le dialogue virtuel de leadership sur la contribution de la dimension environnementale du Développement solaire à la construction d’un monde post-pandémique résilient et inclusif. Le message du Congo a été porté par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT.

Dans son intervention, la Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a rappelé que grâce aux efforts consentis dans la gestion durable des écosystèmes forestiers, sous l’égide de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, le Congo figure parmi les pays à fort couvert forestier et à faible taux de déforestation.
La gestion durable des tourbières du Bassin du Congo, qui s’étendent sur 145 500 km2 et qui séquestrent environ 30 milliards de tonne de carbone, se trouve au cœur des préoccupations de la République du Congo dans le but d’atteindre les objectifs de l’Accord de Paris sur les Changements Climatiques.
Elle a également rappelé les nombreuses initiatives prises pour lutter contre le réchauffement climatique.

 

Bootcamp des jeunes innovateurs 2021: Mme Arlette Soudan-Nonault, a reçu Mme Marega Fatoumata, Représentante de l’UNESCO au Congo

Ce vendredi 19 février 2021, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement, a accordé une audience à Madame Marega Fatoumata, Représentante de l’UNESCO au Congo.
Au centre de cet entretien, les préparatifs du Bootcamp,qui débutera le 22 février 2021, dans les salles multimédias du lycée de la Révolution et l’Université Marien N’Gouabi, en prélude au Forum Régional Afrique sur les Sciences et Technologies et au 7ème Forum Régional Afrique sur le Développement Durable qui se tiendront à Brazzaville, respectivement du 25 au 26 février 2021 et du 1er au 4 mars 2021, activités organisées par le Ministère du Tourisme et de l’Environnement en partenariat avec la Commission Économique Afrique des Nations Unies, placées sous le très Haut Patronage de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat.

Ce Bootcamp a pour objectif principal de former les élèves et étudiants sur l’intelligence artificielle et la robotique.

Inscription au Bootcamp : http://www.developpement-durable.gouv.cg/7fradd/bootcamp-des-jeunes-innovateurs-2021/

En séjour de travail à Pointe-Noire, la Ministre SOUDAN-NONAULT effectue des descentes sur différents espaces et zones pollués

En séjour de travail à Pointe-Noire, capitale économique de la République du Congo, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a effectué, ce 17 février 2021, des descentes sur différents espaces et zones pollués par les activités que mènent certaines sociétés dans cette ville côtière, dans le but de faire appliquer les textes en vigueur en matière d’environnement conformément à la vision de Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat.
L’état des lieux de l’impact environnemental du déversement en mer des hydrocarbures, observé le long de la côte sauvage et d’autres sites en mer, a constitué la première étape de ces descentes. 
Vu l’ampleur des dégâts, la Ministre du Tourisme et de l’Environnement a indiqué que les parties prenantes devaient agir dans l’urgence afin de ne pas exposer les populations qui fréquentent ces lieux, mais aussi de conserver les écosystèmes marins et côtiers. 
La seconde étape de ces descentes a été la visite du chantier de réparation du pipeline endommagé pendant l’exécution des travaux d’aménagement urbain sur l’avenue des voiliers dans la zone industrielle de Pointe-Noire. 
L’entrepôt des déchets hydrocarburés dangereux, du port autonome de Pointe-Noire, a bouclé cette série de visites. 

La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a eu une séance de travail avec les grands opérateurs pétroliers, la Direction Générale du Port Autonome de Pointe-Noire et les industries installées à Pointe-Noire, en présence des autorités préfectorales. 
La dépollution urgente des zones contaminées par le déversement des hydrocarbures, le traitement dans le respect des normes environnementales des déchets hydrocarburés dangereux du port, et le rappel au respect des textes en vigueurs en matière d’environnement, ont été au centre de cette séance de travail. 
Autre point saillant de cette séance, la mise en demeure de la société CCI, productrice de sacs en plastique, pour non-conformité aux textes en vigueur.

 

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7ème FRADD : séance de travail entre la Ministre SOUDAN-NONAULT et le bureau sortant dirigé par le Ministre zimbabwéen, Monsieur Paul MAVIMA.

Prélude au 7ème Forum Régional Afrique sur le Développement Durable (FRADD) qui se tiendra à Brazzaville, du 1èr au 4 mars 2021, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a eu une séance de travail, ce 4 février 2021,avec le bureau de la 6ème édition que dirige Monsieur Paul MAVIMA, Ministre de la Fonction Publique, du Travail et de la Protection Sociale du Zimbabwe.

Cette séance de travail à permis aux deux parties de s’imprégner du fonctionnement du bureau du FRADD, d’une part, et de passer en revue les perspectives, d’autre part.

Le Congo qui succédera le Zimbabwe à la tête de cette instance à l’issue de ce 7ème Forum, exprimera la voix de l’Afrique quant aux progrès réalisés par le continent en matière des ODD à la prochaine Assemblée Générale des Nations.