41ème Journée Mondiale du Tourisme : Message de Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre du tourisme et de l’environnement

Cliquez ici, pour retrouver l’intégralité du Message de Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre du tourisme et de l’environnement, en charge du développement durable à l’occasion de la 41ème Journée Mondiale du Tourisme

MES CHERS COMPATRIOTES,
Le 27 septembre de chaque année, l’humanité entière célèbre la Journée Mondiale du Tourisme (JMT). Cette journée vise à sensibiliser la communauté internationale sur l’importance du tourisme et de ses valeurs socioculturelles, économiques et environnementales.
En cette année 2020, cette journée est célébrée, malgré le contexte difficile que nous impose la COVID-19, sous le thème : « le Tourisme et le Développement Rural ». Ce thème est révélateur de l’importance que revêt, le tourisme dans la lutte contre la pauvreté en milieu rural.
Dans ces zones éloignées des centres urbains, le nombre d’emplois est très limité, le vieillissement de la population et l’exode rural des jeunes posent de graves problèmes.

Par contre, ces départements ou régions ont pu conserver un environnement de qualité et un paysage attrayant. Un tourisme respectueux de l’environnement et de la société est une bonne occasion d’accroître la force économique des espaces ruraux, sans en détruire le capital naturel et culturel.

Ce secteur constitue en effet une source de revenus et un puissant outil de création d’emplois en milieu rural à forte activité touristique. Il est une force motrice de la croissance économique et de la réduction de la pauvreté. Le tourisme peut être une alternative partielle aux emplois dans l’agriculture et l’industrie.

MES CHERS COMPATRIOTES,
Le tourisme rural prend de plus en plus d’ampleur dans la majorité des pays de par son lien avec la nature, qui implique la notion de tourisme vert, aujourd’hui à la mode. A côté du tourisme balnéaire, le tourisme rural séduit de plus en plus de familles et d’amateurs de vacances simples et faciles, liant nature, culture, détente, santé et retour aux sources.
Depuis quelques années, le tourisme rural semble représenter une réelle opportunité de diversification des revenus.
Les organisations paysannes, les bailleurs de fonds et les gouvernements des pays en développement s’intéressent de plus en plus à la diversification des moyens de subsistance dans les zones rurales. En effet, plusieurs enquêtes au niveau mondial montrent que 30 à 45% des revenus moyens des ménages ruraux proviennent d’activités non agricoles locales.
Dans les pays du Sud comme dans les pays du Nord, le tourisme constitue souvent une part importante de ces revenus non agricoles, contribuant non seulement au développement économique mais aussi à une meilleure connaissance des richesses du milieu rural.

MES CHERS COMPATRIOTES,
Comment les paysans peuvent-ils s’intégrer dans le développement de ce tourisme ? Comment les accompagner dans cette démarche ?
Le Gouvernement de la République, dans le cadre de la mise en oeuvre de la Stratégie Nationale de Développement Durable du Tourisme et du Plan National de Développement 2018-2022, fait une place de choix au développement de l’écotourisme et du tourisme communautaire. C’est dans ce contexte qu’il ne cesse de multiplier des initiatives avec les partenaires au développement afin de soutenir la création des entreprises touristiques en milieu urbain et rural.

MES CHERS COMPATRIOTES,
Notre activité touristique est actuellement axée sur le tourisme d’affaires et de congrès. Au vu de la prise d’ampleur de ces formes de tourisme et de la méconnaissance du tourisme rural par un grand public, il apparaît donc nécessaire d’une part de sensibiliser l’opinion public sur l’importance du tourisme rural et de soutenir les différentes initiatives des communautés locales d’autre part.
Cette approche ne peut que bénéficier aux populations rurales grâce aux prestations de services fournis aux touristes ou à la création de petites entreprises communautaires. Le tourisme rural aide à corriger le déséquilibre interdépartemental et à freiner le dépeuplement des régions où s’exerce cette activité.

MES CHERS COMPATRIOTES,
Dans de nombreux pays émergents, le tourisme représente l’option de développement économique durable la plus fiable, et, pour certains de ces pays, la principale source d’épargne en devises étrangères.
Le tourisme est une activité qui met en contact le producteur avec le consommateur. L’interaction entre les touristes et les communautés locales peut fournir des bénéfices intangibles et pratiques. Les valeurs culturelles, environnementales et économiques favorisent la prise de conscience croissante des enjeux dans la stimulation des investissements locaux en matière d’infrastructures.

MES CHERS COMPATRIOTES,
Considéré comme l’une des sources majeures de revenus au niveau mondial, l’industrie touristique offre plusieurs possibilités d’emplois directs, indirects et induits dans les milieux ruraux.
Elle constitue donc un puissant outil d’élimination de la pauvreté sous toutes ses formes et partout dans le monde.
Notre pays s’est engagé résolument à faire du tourisme un secteur d’avenir. C’est pour cette raison qu’il a abrité, le 14 février 2019, à Brazzaville, la première édition de la Caravane de la Charte Africaine du Tourisme Durable et Responsable.
Le tourisme est un efficace catalyseur de développement et de croissance nationale. Ainsi, conscient de cette importance, le Gouvernement de la République oeuvre pour la politique de développement d’un tourisme planifié à forte contribution à la réalisation des objectifs de diversification économique du pays.
Industrialiser le pays par la structuration locale du tourisme c’est lutter contre le chômage, consolider et pérenniser la croissance économique inclusive. Tel est l’un des défis de « la Marche vers le Développement », Projet de Société de son Excellence, Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République du Congo.

C’est dans cette optique que nous devons accorder une attention soutenue au développement responsable et durable du tourisme par des investissements multiformes allant de la construction des infrastructures dans et autour des aires protégées, à la mise en valeur des sites méconnus, et cela dans l’intérêt prioritaire des populations riveraines.
C’est ici plus que jamais l’occasion de le redire : le tourisme est un pétrole qui ne tarit jamais. A nous de savoir l’exploiter.
Vive la destination Green-Congo,
Vive la 41ème Journée Mondiale du Tourisme,
Je vous remercie.
Arlette SOUDAN-NONAULT. –

 

 

Mme Arlette Soudan-Nonault au Dialogue de haut niveau sur le Fonds Vert pour le Climat ( FVC), organisé en marge de la 75e Assemblée Générale des Nations Unies

La Ministre du Tourisme et de l’Environnement en charge du développement durable, Mme Arlette Soudan-Nonault, a participé ce vendredi 18 septembre par visioconférence au Dialogue de haut niveau sur le Fonds Vert pour le Climat ( FVC), organisé en marge de la 75e Assemblée Générale des Nations Unies. Outre Mr Yannick Glemarec, Directeur exécutif du FVC, le President de la république de Colombie SE Ivan Duque Marquez et une dizaine de Ministres dont Mme Soudan- Nonault ont pris la parole dans le cadre des différents panels. Mme la Ministre a une fois de plus mis en avant les atouts et les efforts du Congo dans le domaine de la synergie environnement/ climat.

 

 

 

Mme Arlette Soudan-Nonault a réprésenté la République du Congo à la 112ème session de conseil exécutif de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT)

La 112ème session de conseil exécutif de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT), s’est tenue du 16 au 18 septembre 2020 à Tbilissi en Géorgie, la République du Congo a été représentée à cette session par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement.

La République du Congo qui siège au Conseil  Exécutif de l’OMT depuis 2017, a présenté par le biais de la Ministre du Tourisme et l’Environnement sa stratégie de relance du Tourisme en cette période de pandémie à Coronavirus, suivant les orientations de Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République, Chef de l’État.

L’expérience de relance de ce secteur, partagée par les pays les plus touchés par cette pandémie, a été aussi bénéfique pour la partie congolaise. L’accent a été mis sur le développement du Tourisme interne qui se présente comme moteur du redressement de l’économie en cette période de Covid 19. La Géorgie a déjà emboîté le pas, par le festival de Tsinandali auquel a assisté la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, aux côtés ses homologues en charge du tourisme.

Journée internationale de la Protection de la Couche d’Ozone – 2020 : Déclaration du Gouvernement Congolais lue par la Ministre Soudan-Nonault

Déclaration du Gouvernement de la République du Congo à l’occasion de la commémoration de la Journée internationale de la Protection de la Couche d’Ozone, le 16 septembre 2020, lue par Madame Arlette Soudan-Nonault, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.

Vous pouvez télécharger la déclaration en PDF en cliquant ici 

Mesdames et Messieurs Chers Compatriotes,

Le 16 septembre de chaque année, la communauté internationale commémore sous les auspices des Nations Unies, la Journée Internationale de la protection de la couche d’ozone.

Cette journée rappelle la signature en 1987 de l’historique accord mondial visant à protéger la couche d’Ozone de la Terre en éliminant progressivement les produits chimiques qui l’appauvrissent, j’ai cité le Protocole de Montréal relatif aux substances conduisant à la réduction de la couche d’ozone (SAO).

Conformément aux objectifs de ce Protocole et de ses amendements, les États sont invités à consacrer cette journée spéciale à encourager les activités concrètes sur la protection de la couche d’ozone, ce fragile écran de gaz, qui protège la Terre contre les rayons dangereux du soleil, préservant ainsi la vie sur notre planète.

Pour cette année, le thème choisi est « Ozone pour la vie, 35 ans de protection de la couche d’ozone ».

Chers compatriotes,

Ce thème doit être perçu comme un appel pressant à la poursuite par les Etats parties au Protocole, des efforts menés jusque-là pour la protection de la couche d’ozone, lesquels ont déjà permis :

  • l’élimination, à travers les différents amendements dudit protocole, de plus de 95% des substances qui érodent cette précieuse couche, à savoir notamment les Chlorofluorocarbures et les Halons ;
  • ainsi que la lutte contre le réchauffement climatique en réduisant significativement, puis en éliminant totalement les Hydrofluorocarbones (HFC) à l’horizon 2030, conformément aux objectifs de l’amendement de Kigali. Bien que n’étant pas des substances qui appauvrissent la couche d’ozone, les HFC ont en effet pour propriétés d’être également des gaz à effet de serre, participant au réchauffement global de la planète. Leur utilisation depuis un certain temps pour contribuer à la fermeture du trou d’ozone tant décrié par la communauté scientifique, avait donc des conséquences négatives pour le climat, auxquelles le Protocole de Montréal, initialement préoccupé uniquement par la protection de la couche d’ozone, ne répondait

L’amendement au Protocole de Montréal, adopté le 14 octobre 2016 à Kigali, au Rwanda, lors de la vingt-huitième réunion des Etats parties et entré en vigueur, le 1er janvier 2019 est donc la réponse à ce nouveau défi. L’utilisation, en lieu et place des HFC, des gaz naturels ou hydrocarburés permettra d’atténuer une augmentation des températures d’environ un demi degré avant la fin du siècle.

Chers Compatriotes,

Le Congo a ratifié la Convention de Vienne pour la protection de la couche d’ozone le 16 novembre 1994, en même temps que le Protocole de Montréal relatif aux substances qui appauvrissent la couche d’ozone et tous ses amendements y afférents à savoir Montréal, Copenhague, Londres et Beijing en 2001.

Le cinquième et dernier amendement pour l’heure, est celui de Kigali, qui vient d’être adopté par notre Parlement.

La ratification de tous ces instruments juridiques montre que notre pays, dans le cadre de la politique environnementale voulue et impulsée par Son Excellence Denis SASSOU-NGUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, a toujours œuvré aux côtés des autres Nations pour la recherche des solutions aux menaces qui guettent notre Planète.

Plus que jamais, le Congo se veut à l’avant-garde des combats existentiels pour notre avenir et celui de nos enfants.

Vive la destination Green Congo ; Vive le Congo ;

Je vous remercie.

Arlette SOUDAN-NONAULT.-

Opportunités – CDN : Appels à candidature

Location :CONGO
Application Deadline :20-Sep-20 (Midnight New York, USA)
Time left :5d 20h 53m
Type of Contract :Individual Contract
Post Level :National Consultant
Languages Required :
English   French
Starting Date :
(date when the selected candidate is expected to start)
25-Sep-2020
Duration of Initial Contract :4 mois
Expected Duration of Assignment :4 mois

 

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Contexte

Les changements climatiques représentent l’une des plus grandes menaces à laquelle l’humanité est confronté de nos jours. Ils se caractérisent par une accentuation des phénomènes climatiques extrêmes tel que les ouragans, les tsunamis, les sécheresses, les plus diluviennes qui engendrent des inondations, des érosions ou des glissements de terrain.

Ces phénomènes extrêmes ont des conséquences néfastes sur les populations et les écosystèmes et menacent à terme non seulement le cadre de vie et la sécurité alimentaire mais en définitive la survie même des hommes sur terre. Dans la perspective de lutter efficacement contre les changements climatiques, la Communauté Internationale réuni à Rio de Janeiro en 1992, au Brésil, à l’occasion du Sommet des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement a mis en place trois Conventions dite Convention de Rio parmi lesquelles figure la Convention Cadre de Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC).

La République du Congo a ratifié la Convention Cadre des Nations sur les Changements Climatiques en 1996 et le Protocole de Kyoto visant la réduction des Gaz à effet de Serre en 2007.

Couvert à plus de 65% de Forêts, le Congo s’est très tôt engagé dans la gestion durable de ses ressources naturelles et de son environnement à travers la mise en place d’une législation et de politique en la matière. Ainsi, grace à l’aménagement forestier le Congo figure parmi les pays à faible taux de déforestation de l’ordre de 0,052% et compte 17 aires protégées représentant 13% du territoire national.

Adopté en 1996, le Plan National d’Action pour l’Environnement (PNAE) constitue le cadre référentiel pour la gestion durable de son patrimoine environnemental. Cet exercice de planification a joué un rôle central dans l’identification de la vulnérabilité du pays face aux effets du changement climatique. Le PNAE a été révisé en 2018 afin de laligner aux nouveaux enjeux nationaux et internationaux dans le domaine.

Ces dernières années, le pays a renforcé les mécanismes de gestion durable de son environnement et de ses écosystèmes forestiers, notamment par l’élaboration de sa stratégie Nationale REDD+ et sa Stratégie Nationale de Développement Durable.

Toutefois, bien qu’il n’émette qu’environ 1,7 T de CO2 par habitant et par an, le Congo subit déjà les effets du changement climatique. Cette vulnérabilité est aggravée par de multiples contraintes biophysiques qui sont des entraves au développement, ainsi que par la faiblesse de ses capacités d’adaptation.

Cliquez ici, pour retrouvez l’intégralité de l’appel à candidature

Location :CONGO
Application Deadline :20-Sep-20 (Midnight New York, USA)
Time left :5d 20h 53m
Type of Contract :Individual Contract
Post Level :National Consultant
Languages Required :
English   French
Starting Date :
(date when the selected candidate is expected to start)
25-Sep-2020
Duration of Initial Contract :4 mois
Expected Duration of Assignment :4 mois
Les changements climatiques représentent l’une des plus grandes menaces à laquelle l’humanité est confronté de nos jours. Ils se caractérisent par une accentuation des phénomènes climatiques extrêmes tel que les ouragans, les tsunamis, les sécheresses, les plus diluviennes qui engendrent des inondations, des érosions ou des glissements de terrain.

Ces phénomènes extrêmes ont des conséquences néfastes sur les populations et les écosystèmes et menacent à terme non seulement le cadre de vie et la sécurité alimentaire mais en définitive la survie même des hommes sur terre. Dans la perspective de lutter efficacement contre les changements climatiques, la Communauté Internationale réuni à Rio de Janeiro en 1992, au Brésil, à l’occasion du Sommet des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement a mis en place trois Conventions dite Convention de Rio parmi lesquelles figure la Convention Cadre de Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC).

La République du Congo a ratifié la Convention Cadre des Nations sur les Changements Climatiques en 1996 et le Protocole de Kyoto visant la réduction des Gaz à effet de Serre en 2007.

Couvert à plus de 65% de Forêts, le Congo s’est très tôt engagé dans la gestion durable de ses ressources naturelles et de son environnement à travers la mise en place d’une législation et de politique en la matière. Ainsi, grace à l’aménagement forestier le Congo figure parmi les pays à faible taux de déforestation de l’ordre de 0,052% et compte 17 aires protégées représentant 13% du territoire national.

Adopté en 1996, le Plan National d’Action pour l’Environnement (PNAE) constitue le cadre référentiel pour la gestion durable de son patrimoine environnemental. Cet exercice de planification a joué un rôle central dans l’identification de la vulnérabilité du pays face aux effets du changement climatique. Le PNAE a été révisé en 2018 afin de laligner aux nouveaux enjeux nationaux et internationaux dans le domaine.

Ces dernières années, le pays a renforcé les mécanismes de gestion durable de son environnement et de ses écosystèmes forestiers, notamment par l’élaboration de sa stratégie Nationale REDD+ et sa Stratégie Nationale de Développement Durable.

Toutefois, bien qu’il n’émette qu’environ 1,7 T de CO2 par habitant et par an, le Congo subit déjà les effets du changement climatique. Cette vulnérabilité est aggravée par de multiples contraintes biophysiques qui sont des entraves au développement, ainsi que par la faiblesse de ses capacités d’adaptation.

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La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a présidé la réunion du bureau de la Convention de Bamako

Sous la Présidence de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement, Présidente de la Convention de Bamako, le Bureau de ladite convention s’est réuni ce 10 septembre 2020 par visioconférence, pour faire le point de la 3ème Conférence des Parties à cette convention tenue à Brazzaville du 12 au 14 février 2020.Les questions stratégiques, techniques, institutionnelles et financières relatives à cette convention ont été également abordées au cours de cette réunion à laquelle ont participé différents Ministères en charge de l’environnement des pays membres de la convention de Bamako et des représentants l’ONU Environnement.Un programme d’action et une feuille de route  du Bureau dont la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT assure la présidence depuis la COP de Brazzaville, ont été adoptés par l’ensemble des participants à cette visioconférence.

Il est signalé que le Libéria qui a participé à cette réunion en qualité d’observateur a informé le Bureau du déversement illégal, dans ce pays, de 119 tonnes des déchets plastiques contaminés par une société basée en Grèce.
Sur cette question,  le Bureau prendra toutes les dispositions afin d’y faire face, a indiqué la Présidente de la convention de Bamako.
Rappelons que, la convention de Bamako porte sur les questions relatives à l’interdiction d’importer en Afrique des déchets dangereux et sur le contrôle des mouvements transfrontières et la gestion des déchets dangereux produits en Afrique.

La Ministre du Tourisme et l’Environnement Madame Arlette SOUDAN-NONAULT a visité les travaux d’atelier du Carnaval Vert à l’Institut Français du Congo

Diversification de l’économie et politique de gestion durable du biotope Brazzavillois, la transversalité entre les secteurs du tourisme et de l’environnement s’est illustrée par la visite des travaux d’atelier du carnaval vert initié par l’Institut Français du Congo en partenariat avec le Ministère du Tourisme et de l’Environnement et l’Union Européenne, qu’a effectuée la Ministre du Tourisme et l’Environnement Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, à l’IFC ce mardi 01 septembre 2020, en présence du Maire de la ville de Brazzaville Dieudonné BANTSIMBA.

 

Collectés en février dernier au cours d’un Forest Clean up, organisé dans la forêt de la patte d’oie, en présence de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT et de l’ambassadeur de l’Union Européenne Raul MATEUS, ces déchets ont été transformés et valorisés en objet d’art comme marionnettes géantes afin de démontrer aux Congolais ce que peuvent devenir ces déchets qui rendent quelques fois insalubre la ville de Brazzaville.

Ces œuvres d’art feront objet d’un carnaval et d’un spectacle qui se tiendront sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire liée à la COVID 19, le 8 décembre 2020 à l’occasion de journée mondiale du climat.

Une démonstration de ce que seront ce Carnaval et ce spectacle de décembre a été faite par une déambulation de ces marionnettes géantes fabriquées par le marionnettiste Burkinabé Zoubeir Aïdara, dans le hall du Centre Culturel Français.

 

 

 

Opportunités-CDN Congo : Recrutement de trois (03) Consultants

Dans le cadre de l’initiative « Climate Promise », ou Promesse Climatique, nous recherchons trois consultants pour coordonner le processus de révision de la CDN du Congo et veiller à ce que les objectifs de la Promesse Climatique soient atteints.

Description des missions :

1- Consultant(e) National(e) Chargé(e) de la Coordination de la révision de la Contribution Déterminée Nationale (CDN) de la République du Congo.

2- Consultant International chargé de la révision de la section relative à l’adaptation aux changements climatiques dans la Contribution Déterminée au niveau Nationale (CDN) de la République du Congo.

3- Consultant International chargé d’aider à la révision la Contribution Déterminée Nationale (CDN) en matière d’atténuation des mesures pour lutter contre les effets du Changement climatique.

Durée des missions : 4 mois.

Les termes de référence de la mission sont disponibles à travers le lien suivant :

Mission 1 : https://jobs.undp.org/cj_view_job.cfm?job_id=93625

Date limite : 15 septembre 2020

Mission 2 : https://jobs.undp.org/cj_view_job.cfm?job_id=93626

Date limite : 21 septembre 2020

Mission 3 : https://jobs.undp.org/cj_view_job.cfm?job_id=93627

Date limite : 15 septembre 2020

Les propositions doivent être soumises en ligne.

Toute demande de clarification devra se faire par écrit. L’unité chargée des achats répondra par écrit ou par courrier électronique standard et des copies de cette réponse seront envoyées à tous les candidats en intégrant les explications faisant suite à la demande de clarification faite sans que la source ne soit précise.

 

Les candidatures féminines sont vivement encouragées.

                                                                                                           

 Brazzaville, le 31 août 2020

 

                                                                                                 

La Ministre SOUDAN-NONAULT, a fait au nom du PCT, une évocation en mémoire du Professeur Pascal LISSOUBA, ancien Chef de l’Etat Congolais

Après la messe à la Basilique Sainte Anne, en présence des membres de sa famille politique et biologique, ainsi que des représentants des institutions et des partis politique, une cérémonie d’hommage a eu lieu au Palais des congrès dans la salle des banquets, où la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a fait au nom du PCT, une évocation en mémoire de l’illustre disparu, l’ancien Chef de l’Etat Congolais, le professeur Pascal LISSOUBA.

Retrouvez ici l’allocution de la Madame Arlette Soudan-Nonault, membre du bureau politique du PCT, à l’occasion de l’inhumation provisoire du Président Pascal Lissouba

 

Retrouvez plus de photos en cliquant ici 

 

Hommage à l’ancien Chef de l’Etat Congolais, le professeur Pascal LISSOUBA : Madame SOUDAN-NONAULT et plusieurs membres du Gouvernement à la Messe en sa mémoire

Une semaine après son décès, le 24 août dernier, l’ancien Chef de l’Etat Congolais, le professeur Pascal LISSOUBA, Président fondateur de l’UPADS, principal parti de l’opposition congolaise, qui a dirigé le Congo de 1992 à 1997, a été inhumé provisoirement ce 31 août 2020 à Perpignan en France. Plusieurs cérémonie d’hommage ont été organisées en sa mémoire.
A Brazzaville, une messe a été dite à la Basilique Sainte Anne, en présence des membres de sa famille politique et biologique, ainsi que des représentants des institutions et des partis politique.
Était présente à cette messe, la Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, membre du Bureau Politique du Parti Congolais du Travail, ancienne collaboratrice du Président LISSOUBA, ainsi que plusieurs membres du Gouvernement. Après la messe, une cérémonie d’hommage a eu lieu au Palais des congrès dans la salle des banquets, où la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a fait au nom du PCT, une évocation en mémoire de l’illustre disparu.
« Le deuil du professeur Pascal LISSOUBA ne doit pas être l’occasion de réécrire l’Histoire dans un sens ou dans un autre encore moins de raviver les braises du passé. Ce doit être au contraire le moment fondateur d’une démocratie qu’il incarnait avec beaucoup d’humilité et d’engagement », a indiqué la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, au cours de cette cérémonie d’hommage.

 

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