ECOFAC6 : Appel à candidature pour les Bourses d’études financé par l’Union Européenne et le gouvernement allemand au cycle B de l’Ecole de faune de Garoua (EFG), Garoua, Cameroun Promotion 2020-2022
Contexte
Les forêts du Bassin du Congo s‘étendent sur plus de 200 millions d’hectares et constituent le second massif forestier tropical du monde après le Bassin de l’Amazonie avec une biodiversité très riche et unique.
Plus de 65 millions d’habitants dépendent directement ou indirectement des ressources forestières. Les bois précieux tropicaux du Bassin du Congo font partie des exportations régionales les plus importantes. Ainsi, ces forêts avec leur riche biodiversité constituent pour les pays de l’Afrique Centrale un secteur économique essentiel : elles pourvoient des emplois ; elles sont une base importante pour l’exportation des produits des écosystèmes forestiers et génèrent de ce fait les devises et les recettes fiscales.
A côté de leur fonction traditionnelle qui consiste à assurer la subsistance à une immense population, les forêts du Bassin du Congo jouent un rôle important à l’échelle planétaire, celui de la conservation de la biodiversité et de la régulation du climat mondial.
Néanmoins, le manque de personnel qualitativement formé pour la conservation et la gestion durable de ces forêts et leur biodiversité, l’utilisation des méthodes qui ne favorisent pas une exploitation durable des forêts, l’abattage incontrôlé et très souvent illégal du bois, l’implantation des industries extractives, le braconnage massif, la poussée démographique, la pauvreté, l’absence de sources alternatives de revenus pour les populations rurales et la faible valorisation des ressources forestières sont les causes les plus importantes de la destruction et de la dégradation progressives des forêts ainsi que de la disparition de la biodiversité.
La formation s’avère un élément central pour toute action de développement durable et vu le rôle des forêts et de la biodiversité dans l’économie des pays du Bassin du Congo, un investissement dans le développement durable nécessite aussi un investissement dans la formation forestière et environnementale. Ainsi la formation forestière et environnementale étant au cœur de la gestion durable des forêts et de la biodiversité, le Réseau des Institutions de Formation Forestière et Environnementale en Afrique Centrale (RIFFEAC) créé en 2001 fédère et organise les institutions de formation et soutient la COMIFAC dans sa vision de gestion durable et concertée des ressources forestières de la sous-région pour le bien-être des populations, la conservation de la diversité biologique et la sauvegarde de l’environnement mondial. Le RIFFEAC a ainsi la charge de la mise en œuvre de l’axe transversal 1 du plan de convergence de la COMIFAC qui concerne la formation et le renforcement des capacités. La gestion des aires protégées est une tâche de plus en plus exigeante et diverse.
De nos jours, les directeurs, gestionnaires, le personnel et les intendants des aires protégées sont censés avoir des compétences, aptitudes, connaissances et qualités spécifiques entre autres en :
1. Planification, Gestion et Administration afin d’assurer une gouvernance et gestion efficaces, effectives et équitables
2. Gestion Appliquée des Aires Protégées afin d’appliquer des compétences techniques spécialisées à la gestion d’une aire protégée.
3. Compétences personnelles générales nécessaires pour travailler dans une aire protégée, mais aussi et surtout pour les cadres compétences personnelles avancées afin de pouvoir faire preuve d’aptitudes et de comportement exigés pour une performance et direction efficaces.
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COVID-19 : Circulaire N°1440 sur la gestion des déchets dans les hôtels retenus pour héberger les passagers venant de l’étranger
Dans le cadre de la mise en œuvre du plan national de riposte à la COVID-19 et, dans le contexte de la reprise des vols réguliers internationaux vers le Congo, un certain nombre d’hôtels accueilleront, en collaboration avec le Ministère en Charge de la santé, des passagers en quarantaine.
La Ministre du Tourisme et de l’Environnement a pris la circulaire n°1440/MTE-CAB précisant les dispositions à prendre pour la gestion des déchets dans les hôtels retenus pour l’hébergement des passagers en provenance de l’étranger.
Protocole sanitaire de riposte contre la COVID-19 dans les établissements de Tourisme et de Loisirs
Dans le cadre de la riposte contre le Coronavirus (COVID-19), une série de mesures a été prise par le Gouvernement notamment la fermeture des établissements de tourisme et de loisirs. Cependant, le Gouvernement a procédé à une levée progressive de certaines restrictions qui autorisent la réouverture et le fonctionnement de certains de tourisme et des loisirs.
Cette reprise est assujettie aux mesures sanitaires tendant à limiter au maximum les contacts physiques dans les lieux publics afin de réduire le risque de contamination.
Tourisme-Environnement : Renforcement des capacités des cadres du ministère
Dans le cadre du programme national de développement 2018-2022 qui met l’accent sur le renforcement des capacités des cadres de l’Etat, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a entrepris de former les membres de son Cabinet et les membres de ses Directions rattachées.
Une série d’ateliers de formations axées autour de sept (7) modules, parmi lesquels :
-La gestion du courrier : qui avait pour objectif de renforcer les capacités des agents du secrétariat central sur les techniques d’enregistrement, le traitement et la gestion du courrier dans une administration publique.
-L’éthique et la déontologie administrative dans les lieux de travail : ce module avait pour objectif de permettre aux agents et cadres, l’acquisition des connaissances et des règles de la morale professionnelle, des obligations déontologiques et du régime disciplinaire en vigueur dans la fonction publique Congolaise.
-La technique de rédaction administrative : ce module avait pour objectif de permettre aux agents et cadres d’acquérir des notions pratiques sur le style administratif, la rédaction des documents administratifs.
C’est à l’issue de cette formation que la Ministre du Tourisme et de l’environnement a procédé le 17 août 2020 à la remise des attestations cosignées avec le Cabinet ECIFORM-SERVICE.
Rappelons qu’ECIFORM-SERVICE est un Cabinet spécialisé dans la formation professionnelle de renforcement des capacités des agents et cadres des administrations publiques et privées.
Session extraordinaire des Ministres en charge de l’Environnement et des Forêts des pays membres de la COMIFAC
Ce 20 août 2020, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a représenté la République du Congo à la session extraordinaire des Ministres en charge de l’Environnement et des Forêts des pays membres de la COMIFAC, tenue à Douala au Cameroun, par visioconférence.
Cette session convoquée par le Président en exercice de la COMIFAC, le Ministre camerounais des forêts et de la faune Monsieur Jules Doret Ndongo, a eu à son ordre du jour deux principaux points à savoir : le mandat du personnel statutaire et le recrutement d’Experts permanents de la Catégorie technique du Secrétariat Exécutif.
L’ordre du jour de cette session de haut niveau, a été amendé par la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, vice présidente de ces assises, qui a inscrit les points relatifs à la problématique des tourbières du Bassin du Congo et de la dépression de Bodélé du Lac Tchad, qui ont été approuvés par l’ensemble des Ministres pour intégration dans l’ordre du jour du prochain sommet des Chefs d’Etat de la COMIFAC.
Mise au point de la Ministre du Tourisme et de l’Environnement
Un site internet spécialisé dans la diffamation et les fake news, comme il en existe hélas un certain nombre au sein d’une toile congolaise ouverte à tous les vents de la manipulation rémunérée et du repli ethnique, vient de publier un « article » courageusement signé d’un pseudonyme, selon lequel la Ministre du Tourisme et de l’Environnement que je suis se livrerait au « racket » (sic) à l’encontre du patronat congolais. A l’appui : une lettre de l’organisation Unicongo se plaignant de devoir payer des « frais de mission » aux agents d’inspection et de contrôle de trois ministères, dont celui du Tourisme et de l’Environnement, qui curieusement est le seul épinglé.
Outre le fait qu’Unicongo ne m’a, à aucun moment, saisie d’une demande de modification de l’arrêté incriminé, pris en 1999 par le Ministre de l’Industrie minière et de l’Environnement de l’époque, M. Michel Mampouya, il est significatif de constater que l’exploitation diffamatoire qui est faite de cette lettre vise une Ministre reconnue pour sa rigueur, sa probité et sa volonté de faire respecter les lois. Chacun sait au Congo que les agents délictueux de mon ministère sont sanctionnés dès lors que leurs agissements sont avérés . Chacun sait aussi que les entreprises et sociétés qui ne respectent pas les normes légales et/ou environnementales sont susceptibles de mises en demeure, d’amendes voire de fermeture temporaire.
Il suffit pour s’en rendre compte de prendre connaissance du site du MTE, voire de regarder la télévision. Bref, d’être de bonne foi.
En réalité, ceci explique sans doute cela. Le travail accompli par mon équipe et moi même, la lutte permanente contre les antivaleurs dans notre domaine de compétence et ma loyauté envers le Chef de l’Etat S.E Denis Sassou Nguesso, posent problème dans la mesure où ils contreviennent à certains intérêts. Ces intérêts sont à la fois corporatistes, financiers, identitaires et politiques. Ils se nichent tant au sein d’une opposition ethnicisée que parmi la petite minorité d’opérateurs économiques soucieux de s’affranchir des règles.
Ils se situent aussi parmi ceux qui, tout en servant le Chef de l’Etat le jour, jouent la nuit leur carte personnelle. Le fait que ces intérêts contradictoires se conjuguent pour tenter de déstabiliser une Ministre qui ne relève d’aucun clan et n’a d’autre agenda que de servir l’Etat et son Chef, n’est donc à la réflexion guère surprenant.
Mieux vaut le savoir: tant que le Président de la République me conservera sa confiance et sous la direction du Premier Ministre, je continuerai d’agir comme je le fais, avec abnégation, détermination, fidélité et honnêteté.
Quant aux sites-poubelle, ils sont prévenus : je n’ai pas hésité par le passé à acter contre eux en justice au nom de la salubrité publique. Et je n’hésiterai pas à récidiver.
Arlette Soudan – Nonault, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.
Environnement – Niari : Interpellée en mai dernier, FORSPAK a été félicitée par Mme Arlette Soudan-Nonault pour les progrès constatés avec la construction du pont
La Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, a poursuivi son séjour de travail dans le département du Niari par la visite du pont en construction par la société FORSPAK.
La construction de ce pont relève des recommandations du respect du cahier des charges évoqué suite à l’interpellation de la société FORSPAK par Madame la Ministre lors de sa récente mission au mois de mai dernier dans ce département. La Ministre a tenu à féliciter cette entreprise et s’est dite satisfaite dudit ouvrage. Aussi, la Ministre a signifié revenir dans les plus brefs délais pour assister à l’inauguration dudit pont.
Avant de boucler son séjour de travail la Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a eu une séance de travail avec les autorités administratives, la force publique, les Elus présents à Dolisie et les chefs de quartiers en présence du Préfet du département Monsieur Baron Frédéric BOUZOCK.
Le Grand Hôtel de Dolisie : Mme SOUDAN-NONAULT a signé le contrat de bail et de mise en concession.
En séjour de travail à Dolisie dans le département du Niari, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a procédé ce jeudi 13 août 2020 à la signature du contrat de bail et de la mise en concession d’exploitation du Grand Hôtel de Dolisie.
Cet établissement d’hébergement appartenant à l’Etat Congolais, a été confié pour sa gestion à la Société Gestion Conseil Consulting (GCC) international représentée, au cours de la cérémonie de signature des documents y relatifs, par son Directeur Général, Narcisse VHOUMBY, qui après appel d’offre, accompagne l’État dans la mise en œuvre de son action en matière de tourisme.
Au cours de son allocution la Ministre a remercié particulièrement le Président de la République, Chef de l’Etat, S.E.M Denis SASSOU NGUESSO, fort de son ambition de modernisation et de développement local de notre pays, avait dans le cadre des travaux de la municipalisation accélérée du département du Niari en 2006, réhabilité le Grand Hôtel de Dolisie, haut lieu de notre patrimoine touristique national.
Après la signature des documents de bail et de mise en concession d’exploitation, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, en compagnie du Préfet du Niari, Baron Frédéric BOUZOCK, a procédé à la remise officielle des clés de l’édifice au nouvel exploitant.
La Ministre a également procédé à la remise des clés du gîte rural de Sossi, situé à environ 15 km de Dolisie, dans le district de Louvakou.
A Zoulabouth , La Ministre Arlette Soudan-Nonault a constaté la non-conformité de plusieurs sociétés avec la loi Congolaise sur la protection de l’Environnement
La Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, a bouclé son séjour de travail dans le département de la Sangha le mardi 04 août 2020.
La Ministre est passée notamment à Zoulabouth situé à environ 45km de Ouesso où une intense activité d’exploitation minière est menée par cinq (5) sociétés. Aucune de ces sociétés, comme dans l’ensemble du département de la Sangha, n’est en conformité avec la loi congolaise sur la protection de l’environnement.
Des dégâts sur l’environnement, sur les ressources halieutiques, fauniques et forestières sont considérables et inacceptables avec un impact social néfaste sur les populations riveraines de Zoulabouth qui n’ont pas caché leurs cris de détresse. La Ministre en charge de l’environnement a promis de mettre de l’ordre dans l’immédiat et un délai de trois (3) mois a été donné à toute ces sociétés de se conformer à la loi.
Avant de boucler sa mission de travail dans ce département, la Ministre du Tourisme et de l’Environnement a eu une séance de travail avec les autorités administratives, la force publique, les Elus locaux en présence du préfet du département Monsieur Gilbert MOUANDA-MOUANDA, afin de les exhorter à faire preuve de fermeté face aux destructions de l’environnement tout en leur demandant d’appliquer la loi n° 003/91 du 23 avril 1991 portant protection de l’environnement et de contribuer à la diversification de l’économie nationale.