Environnement : 4ème Conférence Ministérielle Afrique Centrale pour la Réduction des risques de catastrophes.

Dans le cadre de l’examen annuel des progrès réalisés au niveau des Communautés Economiques Régionales(CER), la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) a organisé du 30 septembre au 4 octobre 2019, à Kinshasa en République Démocratique du Congo la 8ème palteforme et la 4ème Conférence Ministérielle Afrique Centrale pour la Réduction des risques de catastrophes.
Pour le Congo, ont pris part à la 8ème plateforme, le Point focal national pour la réduction des risques de catastrophe, le Député Membre du Réseau des Parlementaire d’Afrique Centrale pour la Résilience et le Point focal Genre.

La conférence ministérielle a connu la participation de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC).

Cette réunion sous régionale organisée par la CEEAC qui était représentée à son plus haut niveau par Son Excellence Ahmad ALLAM-MI, Secrétaire Général de cette institution, a été une occasion pour les Ministres de la zone CEEAC de définir les mécanismes de renforcement des politiques nationales en matière de lutte contre les risques de catastrophes naturelles, mais aussi de discuter sur la problématique de la préservation des fôrets du Bassin du Congo dont la dégradation pourra conduire à des éventuelles catastrophes.

En marge de cette réunion, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, coordonnatrice technique de la CCBC, a édifié ses paires sur l’importance du bassin du Congo, 2ème poumon écologique du monde après l’Amazonie et l’importance des tourbières.

Elle a ensuite eu un entretien avec son Homologue de la RDC, Maître Claude Nyamugabo Bazibuhe, Ministre de l’Environnement et du Développement Durable.

Au menu de cet échange, l’opérationalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo qui en est à la phase de validation des livrables produits par le consortium dont la deuxième réunion du Comité de pilotage est prévue le 09 octobre 2019 à Brazzaville.

Il est a noté que parmi les recommandations émises, il y a celle portant sur la signature d’un protocole d’accord et d’un plan de contingence multirisques entre la République du Démocratique du Congo et la République du Congo.

Le Congo se dote d’un référentiel pour sa politique touristique

Le conseiller juridique et administratif de la ministre de l’Environnement et du tourisme, Arold Milandou a indiqué que la politique nationale de développement durable et des loisirs répondait à l’élan de diversification de l’économie congolaise.

« Au moment où le Congo est entré dans la phase sa diversification de son économie, il est important que tous les secteurs à l’instar des loisirs et du tourisme qui présentent des opportunités d’affaires sous exploitées dans notre pays, contribue au développement du pays », a expliqué Arold Milandou à la clôture de l’atelier de validation de la politique nationale de développement durable et des loisirs.

Le Congo a donc tout à gagner avec une telle politique qui demeure une véritable alternative pour investir au Congo et créer des emplois dans un secteur très porteur, sous d’autres cieux.

« La politique nationale de développement durable et des loisirs sera dans sa mise en œuvre l’un des facteurs clés à la fois de l’amélioration des conditions de nos populations, du raffermissement des liens de solidarité et d’épanouissement de nos enfants et de la création d’emplois durable », a-t-il renchéri conclu.

De son côté, l’expert international en Tourisme et loisirs Thimotée Tabapssi a relevé que « le document adopté ce jour, relatif à la politique nationale de développement durable et des loisirs sera désormais le guide référentiel, la boussole pour promouvoir et investir dans les loisirs en République du Congo. Il permettra aux investisseurs de découvrir les opportunités d’affaires dans ce secteur mal exploité au Congo».

Il est question pour le ministère en charge de l’Environnement et du tourisme, ainsi que d’autres ministères concernés, à savoir ceux des Sports, de la Culture, de l’Artisanat, de l’Enseignement primaire et secondaire ou de la Jeunesse de mettre à profit ce document qui est appelé à booster le secteur des loisirs en République du Congo.

Source : www.vox.cg

Visite de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT à la Direction Générale de l’Environnement.

Mettre les femmes et les hommes au cœur du développement, en vue de  les convertir à l’adoption et au bon usage des valeurs qui favorisent le développement, comme indiqué dans le pacte social qui lie Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, au  peuple Congolais ‘‘la marche vers le développement », tel était le let-motif de la descente surprise qu’a effectuée Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, ce jeudi 3 octobre 2019 à la Direction Générale de l’Environnement.

Faisant état des présences au poste des agents et cadres de cette direction, des dossiers en instance et des difficultés rencontrées, la Ministre a rappelé à ces fonctionnaires leurs missions, tout en les exhortant à faire preuve d’éthique professionnel dans l’exécution de leurs taches.

Tourisme-Loisirs : Atelier national de validation de la politique et de la stratégie durable et responsable des Loisirs

Dans le cadre de la mise en oeuvre du programme de gouvernement la marche vers le développement et du PND-2017-2019, le Ministère du Tourisme et de l’Environnement ayant en charge le secteur des Loisirs, sous la houlette de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, en présence de Monsieur Maley DIOP, Représentant Résidant du PNUD au Congo, a lancé mardi 01 octobre 2019, l’atelier national de validation de la politique et de la stratégie durable et responsable des Loisirs.

Cet atelier qui s’est étalé sur deux journées a permis aux cadres des secteurs transversaux venus des 12 départements du Congo, de s’imprégner et du travail réalisé par les experts Congolais et ceux de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) et , au bon besoin, de l’amender.

Célébration de la 40e Journée Mondiale du Tourisme (JMT) : Allocution de Madame Arlette Soudan-Nonault

Télécharger ici, l’allocution de Madame la Ministre  du Tourisme et de l’Environnement

Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,

Le tourisme, dans de nombreux pays dont le nôtre, représente l’option de développement économique durable la plus fiable, et l’une des principales sources d’épargne potentielle en devises étrangères. Si le tourisme met l’accent sur la réduction de la pauvreté, il est  en mesure de bénéficier directement  aux groupes les plus pauvres,  grâce à l’emploi des populations locales dans les entreprises touristiques, à l’approvisionnement en biens et services aux touristes, ou par la création de petites entreprises communautaires locales. Son impact sur les niveaux de réduction de la pauvreté est donc largement  positif.

Le tourisme est un secteur de main-d’œuvre important, formé traditionnellement par des petites et micro entreprises. De nombreuses activités touristiques sont particulièrement vouées aux femmes, aux jeunes et aux groupes de populations marginales telles que les minorités ethniques. Un nombre non négligeable d’emplois touristiques est facilement accessible aux plus démunis,  car ces emplois requièrent de faibles capacités et de petits investissements. Certains peuvent être à temps partiel et servir ainsi de revenus complémentaires à d’autres activités…

Lire la suite ici.

Sommet de l’ONU sur le climat : la République du Congo au sommet de l’action sur les changements climatiques, tenu ce 23 septembre 2019 à New York

Le sommet de l’action sur les changements climatiques qui s’est tenu le 23 septembre 2019 à New-York, a connu la participation de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, coordinatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC).

Ces assises de très haut niveau sur le climat, ont été l’occasion pour les Pays membres de Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) et de la CEEAC, de parler d’une seule voix comme recommandé lors la réunion des ministres du 07 septembre 2019 à Brazzaville.

Signalons qu’au cours d’un side event du 22 septembre, qui a également connu la participation de la Ministre du Congo en charge des questions environnementales, le gouvernement coréen a annoncé une contribution de 2 milliards de Dollars à l’Initiative des Forêts pour l’Afrique Centrale (CAFI) à compter de 2020 dans l’optique d’aider les pays membres de la CCBC à élaborer et mettre en œuvre les politiques de gestion durable des forêts du deuxième poumon écologique mondial.

En marge de ce sommet, la Ministre Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, a également eu des entretiens avec plusieurs partenaires au développement souhaitant accompagner l’action de la République du Congo et de la Commission dont elle assure la Présidence, dans la préservation des écosystèmes fragiles et pour l’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

PNUD – CPD 2020-2024 : Mme Arlette SOUDAN-NONAULT a reçu la mission d’opérationnalisation, conduite par Monsieur Maleye DIOP

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement a reçu en audience ce mardi 17 septembre 2019, la mission d’operationnalisation du Cadre de Coopération Pays (CPD) 2020-2024, conduite par Monsieur Maleye DIOP, Représentant Résident du PNUD au Congo.

Cette mission qui séjournera en République du Congo du 16 au 21 septembre 2019, travaille avec le PNUD Congo dans le cadre du processus d’élaboration de ce CPD avec les Ministères sectoriels.

Avec le Ministère du Tourisme et de l’Environnement, l’appui souhaité a été sur les projets d’operationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, de lutte contre les changement Climatique et de développement de écotourisme.

Environnement: Déclaration du Gouvernement de la République du Congo à l’occasion de la commémoration de la Journée Internationale de la protection de la couche d’Ozone

Mesdames et Messieurs,
Chers Compatriotes,

L’humanité célèbre le 16 septembre de chaque année, la journée internationale de la protection de la couche d’ozone. Cette journée a été instituée en 1994 par l’Assemblée Générale de l‘Organisation des Nations Unies (ONU) pour commémorer la signature d’un accord historique, le Protocole de Montréal relatif aux substances qui appauvrissent la couche d’ozone.
Depuis lors, cette journée est devenue l’un des principaux moyens par lesquels les Nations Unies stimulent la sensibilisation sur la problématique de la protection de la couche d’ozone en encourageant l’action ainsi que l’attention politique.
Chaque année, un enjeu spécifique important concernant la couche d’ozone est mis en valeur en vue de la célébration de l’événement. Cette année, la journée internationale pour la protection de la couche d’ozone est placée sous le slogan ‘’25 ans et en voie de guérison’’.
Ce thème commémore près de trois décennies de coopération internationale dynamique en vue de la protection de la couche d’ozone et du climat au titre du Protocole de Montréal.

Mesdames et Messieurs,
La couche d’ozone est un bouclier dans la haute atmosphère (la stratosphère). Elle protège la vie sur terre contre certains rayonnements ultraviolets. Compte tenu de son appauvrissement observé au début des années 70, deux traités internationaux ont été négociés et signés sous l’égide du Programme des Nations Unies pour l’Environnement en 1985 et en 1987.

Il s’agit respectivement de la Convention de Vienne pour la protection de la couche d’ozone et du Protocole de Montréal relatif aux substances appauvrissant la couche d’ozone.
Ces traités ont été ratifiés par plus de 191 pays, dont le Congo, notre pays.
Vingt ans après, les 191 parties au Protocole de Montréal avaient éliminé plus de 95% des substances qui appauvrissent la couche d’ozone, les ramenant de 1,8 millions de tonnes annuelles en 1987 à quelques 83 000 tonnes en 2005.
Aujourd’hui, le Protocole de Montréal a été ratifié universellement et il a atteint ses objectifs plus tôt que prévu. A ce titre, il peut être considéré comme le traité de l’ONU le plus abouti.

Mes chers Compatriotes,
La problématique sur la protection de la couche d’ozone est devenue depuis 1994 une préoccupation gouvernementale au Congo, avec la ratification de ces accords et des amendements y afférant.
La mise en place du Bureau Ozone, ainsi que l’élaboration en 1995 du ‘’Programme de Pays’’, document de base contenant la politique et les stratégies nationales dans le cadre de la protection de la couche d’Ozone, confirment une fois de plus, la volonté du Congo de résoudre les problèmes environnementaux qui se posent à l’échelle planétaire.
Notre pays n’étant pas producteur de substances qui appauvrissent la couche d’Ozone, son attention est portée sur les importations desdites substances. Pour être en conformité avec l’amendement de Montréal qui impose des barrières douanières dans chaque pays membre dudit protocole, le Congo a mis en place en 2002, un dispositif juridique contraignant. Ce dispositif comprend les textes ci-après :
– l’arrêté du 13 mai 2002 réglementant les importations, les exportations et réexportations des substances qui appauvrissent la couche d’ozone, des produits et équipements contenant des telles substances ;
– l’arrêté du 22 mars 2002 réglementant l’utilisation de certaines substances dans les équipements frigorifiques, la climatisation et l’industrie ;
– l’arrêté du 8 août 2002 interdisant la production des substances qui appauvrissent la couche d’ozone et des équipements à base de ces substances ;
Ces efforts louables témoignent de l’intérêt que le Congo accorde à la recherche des solutions pour relever les défis environnementaux auxquels est confrontée la communauté internationale.
C’est au prix de ces efforts, faut-il le rappeler, que le Congo a été élu aux financements du Fond Multilatéral du Protocole de Montréal destinés aux pays dits ‘’de l’article 5’’ ou pays en voie de développement, en vue de la mise en œuvre des Plans et Programmes de gestion de l’élimination des substances appauvrissant la Couche d’Ozone. Au nombre desquels l’on peut citer :
– le programme de Récupération et de recyclage du R12 (2000-2002), achevé ;
– le Plan de Gestion des Fluides Frigorigènes (2004-2006), achevé ;
– le Plan Final d’Elimination des Chlorofluorocarbures ou CFC (2007- 2010), achevé ;
– le Plan de Gestion d’Elimination des Hydro-chlorofluorocarbures ou PGEH (2013-2040), en cours d’exécution.

Ces efforts inlassables, réalisés par la République du Congo pendant ces dernières années, s’inscrivent dans le cadre de la politique de gestion durable de l’environnement, chère à Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République et contenus dans son projet de société ‘’ La marche vers le développement’’

Au plan international, le Protocole de Montréal a permis :

– d’éviter des millions de cas de cancer et de milliards de dollar de dépense dans le domaine de la santé par la réduction et l’élimination des CFC ;
– d’éviter la consommation d’environ 72 milliards de tonnes d’équivalent gaz carbonique d’ici l’an 2050 et de participer au maintien de la hausse de la température globale à moins de 2°C par l’élimination des substances gazeuses, causes directes de Réchauffement.

Mesdames et Messieurs,
Ne nous trompons pas cependant. Ce n’est pas parce que le ciel est bleu que tout va pour le mieux. En dépit des efforts accomplis par la communauté internationale, le trou dans la couche d’ozone ne s’est pas refermé soudainement. Il faut environ 50 à 100 ans pour que la couche d’ozone retrouve sa concentration, à condition qu’on en finisse partout dans le monde avec les gaz destructeurs.
Par ailleurs, la destruction de la couche d’ozone et le changement climatique présentent des similitudes. Il s’agit, pour les deux phénomènes, d’un problème global qui concerne l’humanité toute entière. La destruction de la couche d’ozone et le réchauffement climatique sont les résultats des émissions des gaz liées aux activités humaines, dont les conséquences sont graves pour les sociétés et pour l’environnement.
Il est donc clair que les solutions envisagées pour préserver la couche d’ozone sont identiques à celles devant être mises en œuvre dans la lutte contre le changement climatique.
L’une d’elles est le changement de nos habitudes de production, de consommation, de transport et d’alimentation. Bref, de nos modes de vie.

C’est pourquoi, Nous lançons de nouveau un appel à toutes et à tous pour l’utilisation des réfrigérants dits ‘’ Naturels ’’ ou hydrocarburés ; R-717 ; R-600a et R-290, qui n’ont aucun impact sur la couche d’ozone et le changement climatique.

Mes chers compatriotes,
En dépit de ces aléas, la couche d’ozone est en train de se régénérer. C’est la BONNE NOUVELLE.
A travers l’application du protocole de Montréal, la communauté internationale est en voie de réussir à résoudre un problème majeur. Ce qui prouve à suffisance que l’ensemble des pays, malgré leurs différends, parviennent à s’entendre autour d’une cause commune.
Il ne fait donc l’objet d’aucun doute :
– que les scientifiques sont capables d’identifier les problèmes et d’en imaginer les solutions ;
– que la société civile peut les comprendre et se mobiliser en conséquence ;
– que les politiques peuvent mettre en place des accords internationaux et des réglementations ;
– que les activités économiques peuvent intégrer les nouvelles orientations et s’y adapter, dans certains cas proposer des remèdes et agir préventivement.
La mise en œuvre réussie du Protocole de Montréal nous montre la voie à suivre pour la protection globale de la planète. A nous de faire en sorte que cette histoire se répète sur tous les fronts où notre environnement est menacé.
Vive la coopération internationale !
Vive le Protocole de Montréal !
Vive notre Congo vert, propre et sain !

Je vous remercie.

Arlette SOUDAN-NONAULT.

Visite du site touristique des cataractes par les participants du 5eme Forum « Investir en Afrique »

Le site touristique des cataractes dont les travaux d’aménagement ont été lancés par le Ministère du Tourisme et de l’Environnement, a été visité par de nombreux participants du 5ème Forum Investir en Afrique qui a eu lieu du 10 au 12 septembre 2019 au centre de Conférence de Kintele.
Au cours de cette visite, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement, a présenté aux visiteurs ce vaste chantier dont la gestion sera assurée par le secteur privé.
Ces moments passés sur la plage des cataractes ont été agrémentés par les animations musicales des artistes congolais.

Madame Patricia AUBRAS, Directrice Régionale Afrique Centrale de l’AFD a été reçue par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT

Patricia AUBRAS, Directrice Régionale Afrique Centrale de l’Agence Française de Développement(AFD) a été reçue ce jeudi 12 septembre 2019, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, pour une séance de travail relative au suivi des différents Protocoles d’accord  signés entre la République du Congo et la République Française dans le domaine de l’Environnement et du Climat.

Le dernier protocole d’accord signé entre les deux pays, par les Présidents Denis SASSOU-NGUESSO et Emmanuel MACRON,  date du 03 septembre 2019 .