Fonds bleu Bassin du Congo : Communiqué de Presse
Objet : Organisation de l’atelier régional du comité ad ‘hoc du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo dans le cadre de l’élaboration des nouveaux termes de références pour la réalisation de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Sous la Présidence de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, il se tiendra 31 Juillet au 1er août 2018 à l’hôtel Ledger Maya- Maya, la deuxième réunion du Comité régional ad’hoc du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Cette réunion se tient dans le cadre de l’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et a pour objectif d’élaborer des nouveaux termes de référence de l’étude de préfiguration dudit Fonds.La réunion sera rehaussée de la présence des membres du comité ad ‘hoc du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, les ambassadeurs des pays signataires du Mémorandum sur le Fonds Bleu et des représentants des partenaires techniques et financiers.
Le responsable de la Communication
P/O NIATIS-NIATY Grace
#GreenCongo: Excursion de travail sur le Fleuve Congo
Cette excursion prospective qui s’est effectuée en présence de Madame Thérèse SEKAMANA, CEO de société LED-Solutions &Green Energy Rwanda et de Monsieur Philippe POINSOT, représentant Résident du PNUD-Maroc, a eu pour objectif:
- la localisation des zones d’intérêt touristique dans la perspective de développer une activité attractive sur le majestueux fleuve Congo par la société Rwandaise.
- faire découvrir le deuxième fleuve le plus puissant au monde et principale réserve hydraulique du Bassin du Congo, au partenaire PNUD-Maroc qui manifeste sa volonté de soutenir la Commission Climat du Bassin du Congo dans l’opérationalisation du Fonds Bleu.
Au cours de cette visite de travail, la Ministre du Tourisme et de l’Environnement a également fait le constat de l’ampleur des dégâts de l’érosion fluviale causée d’une part par les facteurs naturels et d’autre part par l’activité anthropique.
Cette délégation conduite par la Ministre était composée des cadres de son département, les représentants des Mairies de Brazzaville et Kintélé, le représentant de Banque postale, et le représentant de l’API.
Tourisme -Environnement: Madame la Ministre a tenu une réunion de sensibilisation avec les Administrateurs Maires de la ville
En présence du Préfet du Département de Brazzaville, du représentant du Maire central et des administrateurs maires des arrondissements de la ville de Brazzaville, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a présidé une réunion ce mardi 10 juillet 2018 en vue de les sensibiliser à l‘appropriation et à l’application des textes en vigueur dans les secteurs du Tourisme, l’Environnement, du Développement Durable, les Loisirs et de l’Hôtellerie.
Au cours de cette réunion, Madame la Ministre a rappelé aux autorités locales de Brazzaville leur responsabilité face au non respect des textes des secteurs de son ministère par les populations,les professionnels et autres acteurs… et que dorénavant ils devraient travailler en étroite collaboration avec le Ministère pour faire appliquer toutes dispositions prises, afin d’atteindre les objectifs fixés par Son Excellence Monsieur Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat.
C’est avec satisfaction que ces autorités locales ont reçu le mot d’ordre de Madame la Ministre et se sont dit prêts à travailler pour relever le défi.
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Coopération : le Congo signe un protocole d’entente avec l’Agence française de développement
L’accord entre les deux parties a été signé, la semaine dernière dans la capitale congolaise, par la ministre du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan-Nonault, l’ambassadeur de France au Congo, Bertrand Cochery, et le directeur de l’Agence française de développement (AFD) à Brazzaville, Lionel Cafférini.
En effet, les incidences du changement climatique font porter un risque majeur sur la réduction de la pauvreté et la prospérité des sociétés. Dès lors, il y a urgence à agir en faveur d’un développement sobre en carbone, et à tout mettre en oeuvre pour stabiliser la température mondiale et adapter les économies ainsi que les sociétés aux effets d’un climat mondial déréglé. L’accord de Paris sur le climat a marqué, de façon historique, en décembre 2015, la reconnaissance par les pays du Nord et du Sud de la nécessité de faire évoluer des modèles de développement actuels.
C’est dans cet esprit que l’AFD a créé la Facilité adapt’action, pour un montant total de trente millions d’euros, afin d’accompagner une quinzaine de pays, dont le Congo, dans l’opérationnalisation par la mise en œuvre de la contribution déterminée au niveau national.
Par la richesse de leur diversité biologique et grâce à des conditions uniques, de sols, de climat et d’hydrologie, les écosystèmes du Bassin du Congo constituent l’un des instruments les plus puissants de régulation du climat de la planète. Pour cela, ils doivent être préservés. Cette facilité permettra de consolider la gouvernance climat du Congo ; d’appuyer l’élaboration d’un plan national d’action et d’investissement climat (Plan climat) concret et opérationnel ; de soutenir les mécanismes de coordination nationale sur le
climat ; de renforcer les capacités du ministère de l’Environnement en diplomatie climatique. Elle permettra aussi de décliner la contribution déterminée nationale en une ou deux politiques sectorielles adossées à des plans d’actions concrets.
Il s’agira notamment d’appuyer l’élaboration d’un plan d’action et d’investissement agricole ; d’un schéma directeur de gestion des inondations et de l’assainissement dans une ou plusieurs villes congolaises. Enfin, elle permettra de préparer des programmes structurants en finançant plusieurs études de faisabilité.
Celles-ci restent encore à définir mais elles pourront, par exemple, concerner la formulation d’un programme prioritaire dans le secteur agricole ; la préparation d’un programme de lutte contre les érosions côtières et urbaines ; l’appui à la stratégie nationale forestière ; la modernisation des services météorologiques.
L’objectif étant d’outiller le Congo pour la mobilisation des financements climat, indispensables au déploiement d’une trajectoire de croissance et de développement bas carbone et résiliente aux changements climatiques.
Notons que cette nouvelle initiative vient compléter les appuis déjà mobilisés par la France auprès du gouvernement du Congo, à travers notamment les appuis bilatéraux de l’AFD sur la conservation de la biodiversité, la gestion des forêts, l’accompagnement d’une agriculture durable et la lutte contre les inondations ; son engagement dans l’initiative pour les forêts d’Afrique centrale dont elle assure la présidence depuis novembre 2017.
Pour l’ambassadeur de France, le Congo passe de la situation d’enjeu à la situation d’acteur de la lutte contre le dérèglement climatique. « Vos défis sont les nôtres, c’est le principe de responsabilité qui est au cœur de la démarche de la COP21 de 2015, avec toujours le volet atténuation et adaptation. La solidarité entre la France et le Congo ainsi que la volonté de jouer un rôle catalyseur pour permettre au Congo de saisir les opportunités de l’économie verte, ainsi que ses financements dans le cadre du Fonds bleu porté par le président Denis Sassou N’Guesso », a-t-il précisé.
Source: www.adiac-congo.com
Environnement : Madame la Ministre a reçu en audience la délégation du Groupe Ilea Ecologic Additives for Petroleum Industry.
Ce samedi 07 juillet 2018, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience la délégation du Groupe ILEA ECOLGIC ADDITIVES FOR PETROLEUM INDUSTRY.
Au cours de cet entretien, la délégation dudit Groupe a présenté à Madame la Ministre leur projet qui vise à investir dans la gestion et le traitement des déchets issus du pétrole et ses dérivés. Madame la Ministre, à son tour a remercié ces investisseurs pour le choix porté à la République du Congo pour réaliser ce grand projet qui contribuera à la préservation de notre environnement conformément à la vision de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat.
Changement climatique : Brazzaville parmi les bénéficiaires d’un fonds français
Le Congo fera partie des 15 pays qui bénéficieront des 30 millions d’euros dégagés par la France à travers l’Agence française de développement(AFD) pour soutenir l’Accord de Paris (France) dans la lutte contre le changement climatique, a appris APA mercredi de source médiatique.
Selon la radio nationale congolaise, un protocole d’accord d’entente relative à ce financement a été signé, mardi dernier, entre le ministre congolais du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan Nonault et l’ambassadeur de France au Congo, Bertrand Chochery.
« La signature de ce protocole d’entente va permettre au Congo de bénéficier les 30 millions d’euros mobilisés par l’Agence Française de Développement (AFD) valable pour une quinzaine de pays et faire que le Congo passe de sa position d’enjeu à la position d’acteur dans la lutte contre le changement climatique », a fait savoir Bertrand Cochery.
Satisfait de la signature de cet accord qui vient couronner les efforts déployés par le Congo dans la lutte contre le changement climatique, le ministre Arlette Soudan Nonault a salué cette facilité financière de la France qui viendra renforcer la gouvernance du Congo dans la lutte contre ce fléau.
Source :www.apanews.net
Lutte contre la désertification : Le Congo se dit engagé
Le gouvernement du Congo a publié un message dans lequel, Arlette SOUDAN NONAULT, ministre du tourisme et de l’environnement , s’appuyant sur la douzième session de la Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification tenue à Ankara en Turquie en octobre 2015, qui recommande d’ici à 2030, une lutte contre la désertification en restaurant les terres et les sols dégradés et en s’efforçant de parvenir à un monde sans dégradation des terres , indiqué : « Notre Pays, qui a adhéré à ce programme, a formulé ses cibles volontaires pour atteindre la neutralité en matière de dégradation des terres qui devront permettre d’assurer une gestion durable des forêts , de lutter contre la désertification , de mettre fin et inverser la dégradation des terres et la perte de la biodiversité. La réalisation du programme présente des avantages importants dans le cadre de l’atténuation et de l’adaptation aux changements climatiques car il joue un rôle clé dans le renforcement de la résilience des communautés rurales contre les chocs et aléas climatiques. Il est donc impératif de promouvoir l’intégration du concept de Neutralité en matière de Dégradation des Terres dans les politiques, stratégies, plans et cadres juridiques de notre pays ».
Par ailleurs, la ministre du tourisme et de l’environnement a ajouté : « Nous devons nous donner les moyens de restaurer nos terres dégradées, de les remettre en production et de renforcer ainsi notre résilience face aux changements climatiques. Nous sommes en mesure de développer de nouvelles filières vertes, respectueuses de la nature et capable de nourrir une population de plus en plus nombreuses, grâce à des investissements appropriés dans l’exploitation des terres, les infrastructures rurales et le développement des compétences ».
Source :www.groupecongomedias.com
Congo : Une action écologique contre les déchets en plastiques à Brazzaville
Cette opération de ramassage des déchets plastiques s’est faite conformément au thème de cette 46 ème Edition de la journée mondiale de l’environnement à savoir « combattre la pollution plastique’’. C’est à cœur joie que ces écolos sont livrés au ramassage des plastiques pour rendre l’environnement plus moins pollué.
En rappel, la Journée Mondiale de l’Environnement est l’occasion par laquelle l’Organisation des Nations Unies pour l’Environnement et les pays membres s’engagent à sensibiliser l’humanité sur les questions environnementales tout en soutenant les initiatives œuvrant pour une prise de conscience sur les questions liées à la préservation de la nature.
Partie du pont de la rivière Tsiémé, la caravane des écologistes a eu comme point de chute le siège de la maire de Ouénzé où une
de brèves allocutions ont été prononcés, et où un apéritif des plus conviviales a été partagé.
Le Ministère du Tourisme et de l’Environnement espère que grâce à cette action les mentalités des Brazzavillois, tout au moins ceux de Ouénzé peuvent changer vis-à-vis de la protection de l’environnement. Notons qu’ au Congo, un décret présidentiel réglemente la production, la commercialisation et l’utilisation des sacs, sachets et films en plastique.
Signalons que cette opération a connu l’implication d’une brasserie implantée à Brazzaville et qui met sur le marché des produits conditionnés dans des bouteilles en plastique justement. Un signe d’engagement ? Tout porte à y croire.
Source: www.groupecongomedias.com
Journée Mondiale de l’environnement : Brazzaville réaffirme son combat contre le plastique.
Source : www.mediaterre.org
La ministre de l’environnement de la République du Congo, Arlette Soudan Nounault appelle tous les Congolais à la conscience afin de mettre en application les dispositions du décret du 20 juillet 2011 sur les sacs, sachets et films en plastique. Au cours de la célébration de la Journée Mondiale de l’Environnement le 5 juin 2018 sous le thème « combattre la pollution plastique»
Le thème choisi pour cette année, fait ressortir implicitement l’existante d’interaction entre la production, la consommation des objets plastiques et la préservation de l’environnement, il exhorte les gouvernements, les industriels, les communautés et individus à explorer ensemble les alternatives durables, pour réduire de toute urgence la production et l’utilisation excessive des plastique à usage unique, responsables de la pollution des sols, des cours d’eau , des océans, des mers et de l’air, dégradant ainsi les paysages urbains et menaçant la santé.
Le décret ci-haut cité Le décret ci-haut cité pris par Denis Sassou NGUESSO en 2011, réglemente la production, l’importation, la commercialisation et l’utilisation au Congo des sacs, sachets et films en plastique. Il vise à réduire considérablement la production des déchets plastiques sur le territoire national en l’absence de dispositif adéquat de gestion écologiquement rationnel de ces déchets a précise le ministre Arlette qui a terminé son a dresse à la nation par l’une exhortation : la richesse ou la priorité des nations ne devrait pas se faire au détriment de notre bien commun qu’est la planète. L’humanité devrait donc repenser ses modes de production et de consommation, de manière à favoriser les possibilités de suivie de notre planète »
Pour se souvenir de la conférence historique des nations unis tenue en 1972 à stochholm, en suède, cette journée représente une opportunité pour sensibiliser les populations aux préoccupations environnementales du moment afin de susciter une véritable conscience citoyenne en faveur de l’environnement
Les pays africains sont en instance de conjuguer des grands efforts pour éradiquer la pollution due par les matières plastique. En république démocratique du Congo par exemple, le gouvernement a récemment pris la décision de bannir les sachets plastiques non-biodégradables au plus tard à la fin de ce mois de juin.
Quant au Ruanda, l’usage des emballages plastiques est presque vaincu : dès l’aéroport, tous les emballages plastiques sont retenus et déclassés ; tandis que dans les magasins, le papier a remplacé le plastique.
La ministre de l’environnement de la République du Congo, Arlette Soudan Nounault appelle tous les Congolais à la conscience afin de mettre en application les dispositions du décret du 20 juillet 2011 sur les sacs, sachets et films en plastique. Au cours de la célébration de la Journée Mondiale de l’Environnement le 5 juin 2018 sous le thème « combattre la pollution plastique»
Le thème choisi pour cette année, fait ressortir implicitement l’existante d’interaction entre la production, la consommation des objets plastiques et la préservation de l’environnement, il exhorte les gouvernements, les industriels, les communautés et individus à explorer ensemble les alternatives durables, pour réduire de toute urgence la production et l’utilisation excessive des plastique à usage unique, responsables de la pollution des sols, des cours d’eau , des océans, des mers et de l’air, dégradant ainsi les paysages urbains et menaçant la santé.
Le décret ci-haut cité Le décret ci-haut cité pris par Denis Sassou NGUESSO en 2011, réglemente la production, l’importation, la commercialisation et l’utilisation au Congo des sacs, sachets et films en plastique. Il vise à réduire considérablement la production des déchets plastiques sur le territoire national en l’absence de dispositif adéquat de gestion écologiquement rationnel de ces déchets a précise le ministre Arlette qui a terminé son a dresse à la nation par l’une exhortation : la richesse ou la priorité des nations ne devrait pas se faire au détriment de notre bien commun qu’est la planète. L’humanité devrait donc repenser ses modes de production et de consommation, de manière à favoriser les possibilités de suivie de notre planète »
Pour se souvenir de la conférence historique des nations unis tenue en 1972 à stochholm, en suède, cette journée représente une opportunité pour sensibiliser les populations aux préoccupations environnementales du moment afin de susciter une véritable conscience citoyenne en faveur de l’environnement
Les pays africains sont en instance de conjuguer des grands efforts pour éradiquer la pollution due par les matières plastique. En république démocratique du Congo par exemple, le gouvernement a récemment pris la décision de bannir les sachets plastiques non-biodégradables au plus tard à la fin de ce mois de juin.
Quant au Ruanda, l’usage des emballages plastiques est presque vaincu : dès l’aéroport, tous les emballages plastiques sont retenus et déclassés ; tandis que dans les magasins, le papier a remplacé le plastique.
Source : www.mediaterre.org