Arts plastiques : des œuvres de femmes exposées au musée galerie Bassin du Congo

La cérémonie du vernissage de l’exposition des artistes réunies au sein de l’Association des femmes plasticiennes du Congo (AFPC) a eu lieu le 4 mai, en présence de la ministre du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan-Nonault, et du conseiller en charge de la Culture, arts et tourisme du chef de l’Etat, Lydie Pongault.

C’est sur le thème « L’évolution de la femme africaine au cours du temps » que les plasticiennes du Congo exposeront leurs œuvres jusqu’au 4 juillet, au musée galerie du Bassin du Congo des Dépêches de Brazzaville. Cette exposition vente des œuvres de peinture, de sculpture, de l’art batik et de la photographie est aussi un hommage spécial rendu à Tatiana Tsolo, l’une des peintres membres de cette association, décédée en février 2016. Dorénavant, lorsque ces femmes exposeront, Tatiana Tsolo à travers ses œuvres y participera.

« La cérémonie du vernissage de notre exposition est une réussite. Grâce à cette exposition, nombreux ont découvert la plupart des artistes qui n’étaient pas connues, à l’instar de la ministre du Tourisme et de l’environnement, qui a découvert les artistes de Pointe-Noire qu’elle ne connaissait pas au préalable. Dire même qu’elle est surprise de les savoir douées, alors qu’à Pointe-Noire il n’y a pas de structures d’apprentissage de la peinture comme ici à Brazzaville, où il y a l’académie des beaux-arts, l’Ecole de peinture de Poto-Poto, … Elle a promis de nous soutenir dans différents projets. C’est le cas également avec le Centre culturel russe de Brazzaville et l’hôtel Africa », a indiqué Ledy Kouboukoubou, présidente de l’AFPC.

Ravie de découvrir les talents de ces plasticiennes congolaises, la ministère du Tourisme a déclaré: « Nous avons la grande exposition de Marcel Gotène qui n’est plus à présenter, mais nous ne connaissions pas vraiment toute cette gente féminine qui s’est lancée dans ce métier si rare, si dur, où le public n’est pas toujours au rendez-vous, où dans leur métier, c’est une infime élite qui parle en termes d’art. Aujourd’hui, je suis ravie de pouvoir mettre en lumière ce trésor, promouvoir et aider à accompagner ces artistes. J’inviterai le grand public à venir nous rejoindre ici ; la galerie étant ouverte toute la semaine…».

Arlette Soudan-Nonault a ajouté que son ministère a un partenariat avec la conservatrice Lydie Pongault, le conseiller du chef de l’état en charge de la Culture, arts et tourisme. Avec ses équipes, a dit la ministre, il y a sur la table de travail le grand musée de Kiébé-Kiébé dans le département de la Cuvette, précisément à Ngolodoua-lebain« Je pense que nous allons poursuivre cette démarche de vulgarisation, de valorisation, de promotion de nos artistes peintres, plasticiens et autres que nous avons découverts ici. Donc, il n’y a pas de tourisme sans art et il n’y a pas de tourisme sans culture tout simplement », a signifié la ministre en charge du Tourisme.

Source : www.adiac-congo.com

Communiqué de presse : Lancement de l’Evaluation des offres techniques pour la réalisation de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo

COMMISSION CLIMAT DU BASSIN DU CONGO

COMMUNIQUE DE PRESSE

Objet : Lancement de l’Evaluation des offres techniques pour la réalisation de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Sous la Présidence de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, Ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, la Commission d’évaluation des offres techniques et financières relatives à l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo entamera ses travaux le lundi 28 Mai 2018 aux locaux du Bureau du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD-Rabat).
Le lancement des travaux de ladite commission, prévue à 13h00, connaitra également la participation de Madame Nezha El Ouafi, Secrétaire d’Etat chargée du Développement Durable et du Représentant Résident du PNUD-Maroc.
L’évaluation des offres techniques et financières fait suite à l’appel d’offres du 2 avril 2018 du PNUD Maroc et de l’ouverture des offres qui s’est tenue le 4 Mai 2018.
La Commission d’évaluation est constituée des représentants du Secrétariat d’Etat chargé du Développement Durable du Maroc, du Centre de Compétences en Changement Climatique (4C Maroc), du PNUD, de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) ainsi que des représentants du Ministère du Tourisme et de l’Environnement du Congo et de la Société civile.
Au terme de ces travaux, le meilleur cabinet sera sélectionné, pour l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, principal instrument financier de la Commission Climat du Bassin du Congo.

Vous pouvez télécharger la version pdf en cliquant ici 

www.ccbc-cbcc.org

La Biodiversité, Element Essentiel pour la Survie de l’Humanité

Le 22 mai de chaque année la communauté internationale célèbre la journée internationale sur la diversité biologique. La célébration de cette année 2018 a été orientée vers une sorte de bilan de 25 ans d’action pour la biodiversité, un quart de siècle d’engagement qui débuta en 1992 avec la signature lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro au Brésil, de la Convention sur la biodiversité.

 Cette Convention sur la biodiversité, a rappelé Arlette SOUDAN NONAULT Ministre du Tourisme et de l’Environnement dans une déclaration lue à Brazzaville le lundi 21 mai 2018, poursuit trois objectifs principaux  à savoir la conservation de la diversité biologique, l’utilisation durable des composantes de la diversité biologique et le partage juste et équitable des avantages découlant de l’utilisation des ressources génétiques.

  La diversité biologique est donc , cela s’entend, un patrimoine commun pour l’humanité, et la ministre rappelle tout le bien fondé de cette convention : « La convention sur la biodiversité biologique est un cadre d’action sur la biodiversité, qui rassemble 193 parties et permet aux différents acteurs impliqués dans la conservation des ressources naturelles , notamment les populations autochtones , les communautés locales de partager leur vision sur la gestion de ce patrimoine commun qu’est la biodiversité ».

   La déclaration met par ailleurs en lumière les actions menées depuis l’entrée en vigueur de la Convention. La ministre cite la tenue tous les deux ans de la Conférence des parties ( la COP) , l’entrée en vigueur du Protocole de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation, l’entrée en vigueur du Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques, l’élaboration d’orientations scientifiques pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité.

 

Quelles actions au niveau national ?

Le Congo est Partie à la Convention sur la biodiversité depuis le 30 octobre 1996, ainsi qu’aux Protocoles de Nagoya et celui de Kuala Lumpur relatif à la responsabilité et à la réparation des risques biotechnologiques. Plusieurs actions ont ainsi été menées au niveau national. Parmi elles , l’élaboration du cadre national sur la prévention des risques biotechnologiques, la sensibilisation des acteurs de la recherches scientifique et technique, de la société civile , des représentants des populations autochtones , des tradipraticiens , des juristes et autres administrations publiques sur le mécanisme d’accès et de partage juste et équitable des avantages découlant de l’utilisation des ressources génétiques

   Par ailleurs, au nom du gouvernement, la Ministre du tourisme et de l’environnement a tenu à « exprimer notre gratitude aux différents partenaires qui ont bien voulu appuyer la réalisation des différentes activités pour le bien de la conservation de la biodiversité », avant de reconnaitre que « beaucoup reste à faire, dans le cadre de la lutte contre l’érosion de la diversité biologique au niveau mondial en général et dans notre pays en particulier. Les liens entre la biodiversité et notre survie sur terre ne sont plus à démontrer.Elle interfère avec des fonctions écologiques essentielles », a martelé Arlette SOUDAN NONAULTet de conclure «  Après 25 ans de mise en œuvre de la Convention sur la diversité biologique et des textes y afférents, la biodiversité dans le monde est toujours en proie a plusieurs menaces, principalement la destruction des habitats, la surexploitation des ressources, la pollution et l’introduction néfaste de plantes envahissantes et d’autres espèces toxiques »

Source : groupecongomedias.com

Allocution de Madame la Ministre, à l’occasion de la Célébration de la 25ème Journée Internationale sur la Diversité Biologique , le 22 mai 2018

Mesdames et Messieurs ;
Chers compatriotes ;
Le 22 mai de chaque année la communauté internationale célèbre la journée internationale sur la diversité biologique.

Cette année, le thème retenu est « Célébrer 25 ans d’action pour la biodiversité ».
En effet, l’année 2018 marque le 25e anniversaire de l’entrée en vigueur de la convention sur la diversité biologique, laquelle avait été ouverte à la signature des pays le 5 juin 1992 lors de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement appelé aussi « Sommet de la Terre » et est entrée en vigueur le 29 décembre 1993.

Cette Convention poursuit 3 objectifs principaux :

  • La conservation de la diversité biologique ;
  •  L’utilisation durable des composantes de la diversité biologique ;
  •  Le partage juste et équitable des avantages découlant de l’utilisation des ressources génétiques.

La convention sur la diversité biologique est un cadre d’action sur la biodiversité, qui rassemble 193 Parties et permet aux différents acteurs impliqués dans la conservation des ressources naturelles, notamment les populations autochtones, les communautés locales de partager leur vision sur la gestion de ce patrimoine commun qu’est la biodiversité.
C’est pourquoi, l’adoption de cette convention à Rio, a traduit l’expression de la communauté internationale de travailler au maintien de l’équilibre écologique planétaire dans la perspective d’un développement durable.

De tous temps, les ressources biologiques ont été les piliers sur lesquels ont été bâties les civilisations. Les produits de la nature sont à la base des diverses activités telles l’agriculture, les cosmétiques, la pharmacopée, la construction et autres.

Depuis son entrée en vigueur plusieurs actions ont été menées dans le cadre de la convention, nous pouvons citer notamment :

  • l’élaboration d’orientations scientifiques pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité ;
  • l’entrée en vigueur du Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques;
  • l’entrée en vigueur du Protocole de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation;
  • l’élaboration et la mise en œuvre de stratégies et de plans d’action nationaux pour protéger la diversité biologique.
  • la tenue tous les deux ans des Conférences des Parties.

Le Plan stratégique 2011-2020 pour la diversité biologique adopté en 2010 à Nagoya, constitue un cadre flexible pour l’établissement d’objectifs nationaux et régionaux, devant conduire à la réalisation des 20 objectifs, appelés Objectifs d’Aichi pour la biodiversité tout en encourageant la mise en œuvre cohérente et efficace des trois objectifs de la Convention.

La mise en œuvre des stratégies et plans permettra aux Parties et autres acteurs de « prendre des mesures efficaces et urgentes en vue de mettre un terme à l’appauvrissement de la diversité biologique, afin de s’assurer que, d’ici à 2020, les écosystèmes soient résilients et continuent de fournir des services essentiels, préservant ainsi la diversité de la vie sur Terre, et contribuant au bien-être humain et à l’élimination de la pauvreté. »

Mesdames et Messieurs,
Chers compatriotes,
Le Congo, notre pays est Partie à la Convention sur la Diversité Biologique depuis le 30 octobre 1996. Il est aussi partie au Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques, au Protocole de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation ainsi qu’au Protocole de Nagoya Kuala-Lumpur sur la responsabilité et la réparation des risques biotechnologiques.
A ce titre, plusieurs actions ont été entreprises en vue de traduire au niveau national les dispositions de ces accords multilatéraux relatives à la gestion durable de la diversité biologique. Il s’agit par exemple de :

  • La rédaction des stratégies, plans d’actions et rapports nationaux sur la biodiversité ;
  • L’élaboration de la stratégie nationale et le plan d’action sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation ;
  • L’élaboration des projets de décrets réglementant l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation. Ce régime réglementaire sur les ressources génétiques complétera les dispositions de la loi N°003/91 du 23 Avril 1991 sur la protection de l’Environnement, en cours de révision.
  • L’élaboration du cadre national sur la prévention des risques biotechnologiques ;
  • La sensibilisation des acteurs de la recherche scientifique et technique, de la société civile, des représentants des populations autochtones, des tradipraticiens, des juristes ainsi que des administrations publiques sur le mécanisme d’accès et de partage juste et équitables des avantages découlant de l’utilisation des ressources génétiques ;
  • La sensibilisation des acteurs impliqués dans la prévention des risques biotechnologiques ;

C’est l’occasion pour moi, au nom du Gouvernement d’exprimer notre gratitude aux différents partenaires qui ont bien voulu appuyer la réalisation des différentes activités pour le bien de la conservation de la biodiversité.
Beaucoup reste à faire, dans le cadre de la lutte contre l’érosion de la diversité biologique au niveau mondial en général et dans notre pays en particulier.
C’est le combat dans lequel est engagé le Président de la République, Chef de l’Etat, son Excellence Monsieur Denis SASSOU NGUESSO, dans le cadre de la Commission Climat du Bassin du Congo qui vise la gestion durable des écosystèmes naturels en vue de contribuer à la préservation de l’Environnement au niveau mondial.

Mesdames et Messieurs,
Les liens entre la biodiversité et notre survie sur terre ne sont plus à démontrer. Elle interfère avec des fonctions écologiques essentielles.
L’interaction entre les différents éléments de la diversité biologique rend la planète habitable par toutes les espèces, y compris l’espèce humaine.
Après 25 ans de mise en œuvre de la Convention sur la Diversité Biologique et des textes y afférents, la biodiversité dans le monde est toujours en proie à plusieurs menaces, principalement la destruction des habitats, la surexploitation des ressources, la pollution et l’introduction néfaste de plantes envahissantes et d’autres espèces toxiques.

Ensemble, nous sommes engagés à prendre des actions urgentes et décisives pour préserver et conserver les gènes, les espèces et les écosystèmes, en vue de la gestion et l’utilisation durables des ressources biologiques.

Je vous remercie.

 Arlette SOUDAN-NONAULT,

Ministre du Tourisme et de l’Environnement

Discours de Madame Arlette SOUDAN NONAULT Ministre du Tourisme et de l’Environnement au séminaire sur la Classification Hôtelière

Recueil de votre avis sur les normes de classement des EHT au Congo

Madame, Monsieur,

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSduxHk0Ciem37_87ozZPHgoIu2wwWZaVNmUY1KGE2zXErEFKw/viewform

Dans l’objectif de consolider un niveau de standing compétitif de l’hôtellerie congolaise pour lui permettre d’être à niveau en termes de standards internationaux et de développer une réelle culture de la qualité au sein des établissements d’hébergement touristique (EHT), un projet de revue de normes de classement desdits établissements a été lancé par le Gouvernement congolais, représenté par le Ministère du tourisme et de l’environnement (MTE), en collaboration avec l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) et le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD).
La réalisation de cet important projet est tributaire de la collaboration entre l’ensemble des parties prenantes intéressées par l’hôtellerie au Congo. C’est pourquoi Gouvernement Congolais, OMT et PNUD insistent sur l’importance de disposer de l’avis de leurs partenaires, notamment les professionnels, concernant le projet de normes de classement, à travers le présent questionnaire en ligne.
Afin que votre avis soit le plus constructif possible, nous vous invitons à prendre connaissance et lire attentivement le projet de normes de classements mis à votre disposition par le Ministère du Tourisme et de l’Environnement.
Nous vous remercions de votre collaboration et votre avis fort important pour parfaire notre travail.

Pour télécharger le projet de normes de classement, veuillez cliquer ici.

Le dernier délai pour nous faire part de vos propositions est le 05 juin 2018 à minuit.

Donnez votre avis en cliquant sur le lien suivant : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSduxHk0Ciem37_87ozZPHgoIu2wwWZaVNmUY1KGE2zXErEFKw/viewform

Classification hôtelière : la troisième étape du projet lancée à Brazzaville

L’opération a débuté, le 16 mai à Brazzaville, sous les auspices de la ministre du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan-Nonault.

Le gouvernement du Congo, en collaboration avec l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) et le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), est engagé dans un processus de mise en place d’un système de classement des établissements d’hébergement touristique, lancé en janvier 2017. En effet, parmi les recommandations du Plan directeur de développement durable du tourisme dans le pays, figure la revue des normes de classement des établissements d’hébergement touristique. L’objectif de ce projet, étant, entre autres, de consolider le standing compétitif de l’hôtellerie congolaise, afin de lui permettre d’être à niveau en matière de standards internationaux et de développer une réelle culture de la qualité en son sein.

Remerciant tous ceux qui ont accompagné le ministère ainsi que l’ensemble des participants à cet atelier, la ministre Soudan-Nonault a indiqué que cet important chantier ne saurait atteindre son objectif sans l’implication de l’ensemble de ses parties prenantes, notamment les professionnels du tourisme et les administrations partenaires du ministère. Des parties prenantes qui ont toujours répondu favorablement aux sollicitations de la tutelle pour des réunions de concertation ou pour réaliser les visites-terrain de plus de soixante-dix établissements d’hébergement touristique.

La ministre du Tourisme et de l’environnement a annoncé également la tenue d’un séminaire de présentation de l’ensemble des volets du système de classement cible, le 18 mai, auquel toutes les parties prenantes sont conviées.

« En guise de prélude à ce séminaire, nous sommes aujourd’hui réunis pour débattre de l’une des principales composantes de ce système, celle des normes de classement. Notre souhait est d’élaborer un travail concerté et nourri de la collaboration active des professionnels du tourisme. Cet atelier se voulant dynamique, les participants s’impliqueront activement à travers des sessions pratiques de réflexion, animées par l’expert en classification hôtelière, en s’organisant en groupes », a déclaré Arlette Soudan-Nonault.

Le classement des établissements d’hébergement touristique est un processus. A ce titre, il est de l’impérieux devoir de différents partenaires, notamment les professionnels de l’hôtellerie, de garantir une offre touristique (surtout en hébergement) de qualité, conforme aux attentes des touristes et aux tendances actuelles de l’hôtellerie.

Signalons que cette troisième étape a pour objectifs, entre autres,  organiser en faveur des cadres du ministère du Tourisme et de l’environnement une session de présentation des grilles de classement et d’audit mystère ainsi que le manuel d’interprétation des normes de classement ; organiser un atelier de concertation avec les partenaires du ministère et recueillir leurs remarques sur le système de classement ; organiser un séminaire de communication sur le projet, en présence des professionnels du tourisme et autres partenaires du ministère.

 

Source: www.adiac-congo.com