La République du Congo,assurant la présidence de la Convention des Parties de Bamako sur l’importation des déchets dangereux en Afrique, alerte la Communauté Internationale sur l’urgence environnementale


Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, Présidente de la COP de Bamako, a pris part au Forum de Berlin sur les produits chimiques et le Développement Durable qu’a  organisé la République Fédérale d’Allemagne, ce 7 juillet 2021 par visioconférence.

Victime de nombreuses agressions causées par la mauvaise gestion des substances chimiques d’origine organiques et synthétiques, la planète se trouve face à l’urgence de relever ce défi afin de ne pas compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs besoins.

C’est dans ce sens que s’est tenu ce forum de Berlin, présidé par la Ministre Allemande en charge de l’environnement.
l’Afrique qui est généralement vulnérable à cette situation, a été représentée par la Ministre,Présidente de COP de Bamako Arlette SOUDAN-NONAULT qui dans son intervention à fait entendre la voix des Pays membres de cette convention, en dénonçant les mauvaises pratiques de certains pays développés qui acheminent de façon abusive leurs déchets dangereux vers le continent africain.
Face à cette situation, un appel à été lancé à la communauté internationale afin d’y remédier.
Profitant de ce panel, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a présenté à l’auditoire, les engagements manifestés sur le continent pour résoudre les problèmes environnementaux dont il est victime et la problématique du Bassin du Congo ainsi que l’opérationnalisation du Fonds Bleu, initiative africaine de Développement Durable mise en place par Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République du Congo.

Les journalistes Africains spécialisés en environnement édifiés sur la problématique du Bassin du Congo et le Fonds Bleu

Organisé par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement en partenariat avec le Réseau africain des journalistes de l’environnement (ANEJ), l’atelier virtuel de renforcement des capacités et de sensibilisation des journalistes environnementaux en Afrique sur un certain nombre de questions liées à la gouvernance environnementale, a connu la participation de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo ce mardi 6 juillet 2021.

Au cours de la cérémonie d’ouverture, comme ses Homologues de l’Afrique du Sud, du Sénégal et de la Mauritanie, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, dans son allocution, a édifié les journalistes sur des grands enjeux de la préservation des forêts du Bassin du Congo et des tourbières et sur le Fonds Bleu outil africain de finance climatique mis en place à l’initiative de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République du Congo.

En rapport avec le thème » pollution chimique et ses déchets, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a rappelé à l’auditoire les défis que l’humanité devra relever afin de minimiser les impacts de la mauvaise gestion de l’environnement sur la santé humaine,et elle a invité les journalistes à faire preuve de professionnalisme dans le traitement de l’information,en relevant ce qui ne va pas et en attirant l’attention des pouvoirs publics sur l’urgence environnementale.

La République de Saint Marin se propose d’accompagner le Congo biologique des déchets

La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT a reçu en audience ce mardi 6 juillet 2021 Monsieur Marcello Dela Corte Consul Honoraire de Saint Marin au Congo.

L’échange entre les deux personnalités s’est principalement basé sur les projets dans le domaine de l’Environnement et du Développement Durable. Il a permis au Consul de présenter à Madame la Ministre un procès pour le traitement biologique des déchets déjà en expérimentation à Pointe-Noire.

La Ministre SOUDAN-NONAULT reçoit en audience le Commissaire à l’Environnement, Ressources Naturelles, Agriculture et Développement Rural de la Commission de la CEEAC, Honoré TABUNA

Ce lundi 06 juillet 2021,le Commissaire Honoré TABUNA a été reçu par Madame la Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT.

Cet entretien a permis à ces deux personnalités de faire le point des dossiers et des projets communément suivis par la République du Congo et la CEEAC dans le domaine de l’Environnement et du Développement Durable.

Gestion durable des 165 de km² tourbières de la cuvette centrale au cœur de la Réunion de haut niveau de l’Initiative Mondiale sur les Tourbières ( IMT)

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo, représente la République du Congo à la réunion de haut niveau de l’IMT organisée par le Pérou par visioconférence ce lundi 5 juillet 2021.

Aux côtés de ses Homologues de la République Démocratique du Congo,de l’Indonésie, et du Pérou, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, a rappelé à ses interlocuteurs l’urgence de préserver les tourbières du Bassin du Congo lesquelles représentent l’une des plus grandes réserves de stockage de carbone au Monde.
Face au défi mondial de lutte contre les changements climatiques conformément à l’Accord de Paris, il est impératif et urgent de gérer de façon durable cette bombe à retardement.
C’est dans ce contexte que la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a plaidé pour une nouvelle fois en faveur du Fonds Bleu, en invitant ses hôtes à abonder cet outil financier de la CCBC qui prend en compte plus de 254 projets de développement durable des pays africains.

La Ministre SOUDAN-NONAULT et son Homologue Lord ZAC GOLDSMITH de la Grande Bretagne, balisent le chemin de la COP 26 à Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo

Ce vendredi 2 juillet 2021, par visioconférence, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo et Lord ZAC GOLDSMITH, Ministre Britannique en charge de l’Environnement, ont eu une séance de travail, entrant dans le cadre des préparatifs de la COP 26.

La problématique du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, inscrite dans l’agenda de la COP de Glasgow, sera présentée au cours de celle-ci aux Grands bailleurs et pays signataires de l’Accord de Paris sur les changements climatiques, dans le but de promouvoir le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, désormais reconnu comme premier outil financier africain sur les questions des changements climatiques.

Vu ces enjeux, la Grande Bretagne prévoit d’accompagner la CCBC dans ce processus, en dédiant spécialement un Dialogue à la problématique du Bassin du Congo, placé sous le Très Haut Patronage de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République du Congo et la CCBC.

C’est dans ce cadre que les deux Ministres, dont le dernier entretien remonte à décembre 2020, ont fait le point de l’ensemble des dossiers préparatoires à ce grand événement.

Aussi, plusieurs questions ont été abordées au cours de ce visio-entretien notamment la révision de la CDN du Congo et l’initiative solutions basées sur la nature.

Convaincu des informations reçues de la part de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, sur les avancées et les engagements de la République du Congo dans la préservation de ses forêts et dans la lutte contre le changement climatique, Lord ZAC GOLDSMITH, a invité le Congo a rejoindre l’initiative LIFE afin que le Bassin du Congo soit inclus au même titre que les autres réserves forestières du monde.

Le plaidoyer sur la prise en compte de la problématique du Bassin du Congo a été une fois de plus fait à la conférence sur les changements climatiques organisée par la Banque de France, la Fondation pour les Études et Recherche sur le Développement International et l’Agence Française de Développement.

Invitée à cette Conférence, tenue sous le thème  » Face au changement climatique : quels choix financiers pour l’Afrique ? », la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, coordinatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC), Arlette SOUDAN-NONAULT, a repris son bâton de pèlerin pour présenter à ses interlocuteurs le Fonds Bleu, instrument financier de la CCBC, lequel porte plus 240 projets de développement durable, issus des Contributions Déterminées au Niveau National ( CDN) des pays de l’Afrique subsaharienne.

Ces projets qui sont d’un intérêt capital dans la préservation des Forêts du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, et de sa réserve de tourbières, permettront aux pays membres de la CCBC de faire face à la vulnérabilité face aux changements climatiques dont ils font preuve.

C’est dans ce cadre que la Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, a invité les participants à cette table ronde à abonder le Fonds Bleu, outil de l’Union Africaine créée à l’initiative de Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la CCBC.

La République du Congo et la République Fédérale d’Allemagne font le point des dossiers communément suivis dans le domaine de l’Environnement et du Développement Durable.

La Ministre de l’Environnement du Développement Durable et du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT, a eu une séance de travail ce mardi 29 juin 2021 avec l’Ambassadeur de l’Allemagne au Congo, Son Excellence Wolfgang Klapper.
L’exécution du projet d’adaptation en Afrique Centrale et de l’Ouest (PACO), lancé le 15 juin 2021, a été principalement abordée au cours de cette audience.

Un enjeu planétaire

Faire en sorte que le Bassin du Congo se trouve au cœur du Sommet mondial sur le climat – COP 26 – qui se tiendra au mois de novembre à Glasgow, capitale de l’Ecosse et troisième plus grande ville du Royaume-Uni, est manifestement l’objectif que se sont fixés à juste titre la Commission climat du Bassin du Congo, le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et la Fondation Brazzaville.

Cet objectif  sera détaillé  cette semaine, le 29 juin précisément, lors d’une table-ronde de haut niveau qui se tiendra en visioconférence et qui réunira de nombreuses personnalités autour des ministres congolaise et rwandaise de l’Environnement – Arlette Soudan Nonault, Jeanne d’Arc Mujawamariya – et du président de la Fondation Brazzaville Jean-Yves Ollivier. Mais il est d’ores et déjà très clair comme en témoigne le titre de cette table-ronde : « De la Cop 22 à la COP 26, le  Fonds Bleu pour le Bassin du Congo un enjeu africain et planétaire ».

Si l’on ne saurait anticiper ce qui se dira lors de cette rencontre numérique, on peut dès à présent avancer l’idée qu’elle démontrera que le Bassin du Congo est bien, aujourd’hui, le premier poumon de la planète et qu’à la différence du Bassin de l’Amazone dont les trafiquants en tout genre dévastent les forêts, il est protégé au plus haut niveau par ses dirigeants, comme par les populations qui y vivent. Avec, comme conséquence, que c’est bien désormais l’Afrique centrale qui devient le principal acteur de la protection de l’environnement et de la lutte contre le dérèglement climatique généré par la surindustrialisation de l’hémisphère nord de la planète.

Faire en sorte que la COP 26 prenne les dispositions nécessaires pour sauver la Terre, notre Terre, du désastre qui menace son existence est très clairement l’enjeu majeur de ce début de millénaire. Car tous les feux se mettent au rouge dans ce domaine comme le démontrent de façon accablante les nombreux rapports publiés ces derniers mois par les scientifiques des cinq continents. Avec, à échéance de quelques décennies, une catastrophe que l’espèce humaine paiera au prix fort si elle continue de ne rien faire sérieusement pour se protéger et qui, peut-être même, provoquera  sa disparition pure et simple.

Comme les grandes puissances industrielles, qui sont les premières responsables de ce crime, discourent plus qu’elles n’agissent, il est de plus en plus clair que ce sont les nations du tiers monde – Amérique latine, Asie du Sud et surtout Afrique – qui doivent maintenant se mobiliser afin d’empêcher  que se produise le pire à plus ou moins brève échéance. Outre le fait que plus de la moitié de l’humanité vit sur ces continents, l’immensité des espaces que ces populations occupent et l’abondance des ressources naturelles qu’elles y détiennent en font aujourd’hui les acteurs incontournables de la lutte contre le dérèglement climatique. D’où l’intérêt majeur que présente la table-ronde qui se tiendra cette semaine et où le Bassin du Congo, région des Grands Lacs et Golfe de Guinée compris, se trouvera au coeur du débat.

Si la COP 26 de Glasgow donne à cette partie du globe qui est devenue le premier poumon de la planète la place qui lui revient de droit dans la préservation de la nature, les lignes bougeront enfin sérieusement sur ce champ stratégique. Convenons-en, l’enjeu est considérable à tous égards !

 

Source : www.adiac-congo.com

 

L’Office des Nations Unies Contre la Drogue et le Crime (l’ONUDC) renforcera le cadre de partenariat avec le Congo pour préserver le patrimoine naturel du Bassin du Congo

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, a eu une séance de travail ce vendredi 25 juin 2021, avec la délégation des Experts de l’ONUDC.

Spécialisée dans la lutte contre les infractions fauniques et la flore, ainsi que l’exploitation illégale des ressources naturelles, la délégation de l’ONUDC a au cours de cette séance de travail échangé avec la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, en charge de la conservation du patrimoine naturel, sur les questions qui lient cette agence des Nations Unies et le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin Congo, essentiellement la préservation de la biodiversité du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.