L’Environnement et le Climat au cœur de la séance de travail entre la Ministre Soudan-Nonault et M. François BARATEAU, Ambassadeur de France au Congo

L’évaluation et les perspectives de coopération dans le domaine de l’Environnement et du Climat entre la République du Congo et la France, ont été au cœur de la séance de travail de la Ministre du Tourisme et de l’Environnement Arlette SOUDAN-NONAULT avec Son Excellence Monsieur François BARATEAU, Ambassadeur de France au Congo, ce jeudi 28 janvier 2021.

Ces deux pays, cosignataires de l’Accord de Coopération et de la feuille de route dans les domaines précités, prévoient mettre en place un cadre de travail qui sera dirigé par la Ministre du Tourisme et l’Environnement en vue de relever les défis sur le plan de la conservation des écosystèmes fragiles du bassin du Congo et d’autres projets ambitieux de préservation de l’environnement conformément à la lettre d’intention signée entre le Président Congolais Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO et son homologue français le Président Emmanuel MACRON. L’ambassadeur de France, qui apprécie énormément la collaboration avec le Ministère du Tourisme et de l’Environnement, grâce au dynamisme de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a réitéré le soutien de son pays dans la mise en œuvre de ces projets.

 

7ème session du Forum Régional Africain pour le Développement Durable : La Ministre SOUDAN-NONAULT a reçu la délégation de la CEA conduite Monsieur Jean Paul ADAM

La République du Congo organise du 1er au 5 mars 2021 au Centre de Conférence  International de Kintélé, en partenariat avec la Commission Economique des Nations-Unies pour l’Afrique (CEA) et sous le Très haut patronage de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, la 7ème session du Forum Régional
Africain pour le Développement Durable.

Dans le cadre des préparatifs de ces assises, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a accordé une audience, ce 18 janvier 2021 à 12heures à l’hôtel PEFACO MAYA-MAYA, à la délégation de la CEA conduite par Monsieur Jean Paul ADAM, Directeur de la division Changement Climatique et de ‘a gestion des ressources naturelles au sein de cette structure onusienne, en présence de Monsieur Christ MBURU, Coordonateur du Système des Nations-Unies au Congo.

Ce forum a pour objectif d’examiner les progrès accomplis par l’Afrique, de partager les expériences et les enseignements tirés de la mise en œuvre du programme de développement durable à l’horizon 2063 de l’Union Africaine.

One Planet Summit sur la Biodiversité : La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, a représenté la République du Congo

En partenariat avec l’Organisation des Nations Unies et la Banque Mondiale, la République Française a organisé ce 11 janvier 2021 à Paris, le One Planet Summit sur la Biodiversité, lequel a connu la participation de plusieurs Chefs d’Etat et de Gouvernement, des leaders d’organisations internationales ainsi que des responsables d’Entreprises et de la société civile.

Ce sommet ouvert par le Président Français Emanuel MACRON, a été une occasion de relever le niveau de l’ambition de la communauté internationale sur la protection de la nature, tout en répondant aux nouvelles questions posées par la crise.

Au nom de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, la Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT a représenté la République du Congo, à ce Sommet qui a été une véritable opportunité pour le Congo de veiller à la prise en compte effective de la problématique du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique de la planète qui regorge 10% de la biodiversité mondiale, de la gestion durable des tourbières de la Cuvette Centrale, ainsi que du Fonds Bleu, instrument financier de la Commission Climat du Bassin du Congo, avant la COP 26 de Glasgow.

Formation des formateurs des techniciens du froid sur l’utilisation des gaz hydrocarbures ou gaz naturels (R-290) : Cérémonie de remise des attestations

La République du Congo, pays pionnier en matière protection de l’environnement et de lutte contre les changements climatiques, conformément à la vision de son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’État, mise en œuvre par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre et l’Environnement, continue à réaffirmer ses engagements en la matière. La ratification de l’amendement de Kigali au protocole de Montréal relatif aux substances qui appauvrissent la couche d’ozone, par le Parlement en mars 2020, témoigne une fois de plus cette volonté politique.

C’est dans ce contexte que le Ministère du Tourisme et de l’Environnement, a organisé du 3 au 4 mars 2020, une session de formation des formateurs des techniciens du froid sur l’utilisation des gaz hydrocarbures ou gaz naturels (R-290), alternatives aux HCFC, en vue de la protection de la couche d’Ozone.

Relativement à cette initiative prise par la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, il s’est tenu ce lundi 11 janvier 2021, une cérémonie de remise des attestations aux participants à cette formation et des échantillons de climatiseurs écologiques aux administrations publiques et aux sociétés de maintenance.

Réhabilitation du site des cataractes du Djoué : signature du contrat d’aménagement d’un autre lot pour une ouverture prochaine au public.

Lancée en 2017 par Madame SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale du Tourisme Durable et Responsable en République du Congo, la réhabilitation du site des cataractes du Djoué, s’exécute de façon progressive suivant le cahier des charges des travaux.
C’est dans ce contexte qu’il a été procédé ce jour à la signature du contrat d’aménagement d’un autre lot de ce projet avec Central BTP, représentée par son Directeur Général, Monsieur MORIN Boris.
Ces travaux qui seront exécutés dans un délai de 5 mois conduiront à l’ouverture, au public, du premier module de ce site qui sera la vitrine Brazzavilloise de ce secteur pilier de la diversification de l’économie du PND 2018-2022.

 

Départ en retraite : La Ministre Soudan-Noanult organise la cérémonie conviviale d’au revoir à Monsieur Pascal Elenga

Depuis sa nomination à la tête du Ministère du Tourisme et de l’environnement, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a instauré ce qui devient maintenant une tradition des cérémonies conviviales d’au revoir aux cadres du ministère qui partent à la retraite après des années de bons et loyaux services.
Ce 23 décembre 2020, ce fut l’occasion pour Madame la Ministre de remercier Monsieur Pascal Elenga , qui quitte son poste d’Inspecteur Général du Tourisme après 30 années de service, pour son dévouement et son professionnalisme.

Une jeunesse « Green Congo »

Une jeunesse « Green Congo ».
Pour la deuxième année consécutive, le sondage « African Youth Survey 2020 » de la Fondation Ichikowitz, publié le 15 décembre, met à l’honneur le haut degré de conscience écologique de la jeunesse congolaise. Réalisée dans 15 pays d’Afrique subsaharienne, dont le Congo Brazzaville, auprès d’un échantillon représentatif de jeunes âgés de 18 à 24 ans, cette enquête souligne que 62% des jeunes Congolais interrogés considèrent la préservation de l’environnement comme un défi majeur qu’il convient de relever. 74% d’entre eux se disent concernés par le braconnage des espèces protégées et la majorité estime que les émissions de gaz à effet de serre doivent être réduites. Enfin, 67% des jeunes sondés s’avouent insatisfaits du niveau de recyclage des déchets plastiques au Congo.
Globalement, notre pays est le troisième après le Rwanda et l’Afrique du Sud en ce qui concerne le soutien de la jeunesse à La défense de l’écologie.
La Ministre du Tourisme et de l’Environnement , Arlette Soudan Nonault, accueille avec intérêt ces résultats, qui démontrent que la jeunesse congolaise est sensibilisée à l’action et aux thématiques portées par son ministère. « Je les perçois comme un encouragement à poursuivre notre travail de conscientisation », conclut -elle.

Tourisme : La Ministre Soudan-Nonault devant la commission affaires juridiques et administratives du Senat

Pilier de la diversification de l’Economie Congolaise dans le Plan National de Développement (PND) 2018-2022, le secteur du Tourisme qui connait depuis un certain temps des avancées significatives intéresse de plus en plus les parlementaires congolais, lesquels cherchent à mieux connaitre les tenants et les aboutissants du dynamisme apporté par la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT depuis sa nomination à la tête du Ministère du Tourisme et de l’Environnement.

C’est dans ce cadre et après qu’elle ait été reçue par la commission lois et affaires juridiques de l’Assemblé Nationale, le 3 décembre 2020,que la commission affaires juridiques et administratives du Senat a pris le relais par l’audition de la Ministre du Tourisme et de l’Environnement ce 17 décembre 2020.

Essentiellement basée sur le Projet de loi règlementant le secteur du Tourisme, adopté par le gouvernement au mois d’aout 2020 en conseil des Ministres, cette séance de travail a permis à la Ministre de répondre aux préoccupations, questions et amendements des sénateurs notamment sur le bilan du plan directeur de développement durable au Congo élaboré en 2017, les résolutions prises par le Gouvernement pour faire face à la baisse considérable des activités liées au tourisme en cette période de pandémie à coronavirus, la lenteur observée dans l’octroi des autorisations et agréments, et bien d’autres sujets.

Dans ses réponses aux sénateurs, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a présenté le bilan de ce secteur depuis 2016. Malgré la conjoncture, à son actif, les premiers Bureau d’Information Touristique ont été installés aux aéroports de Brazzaville et de Pointe Noire, une place de choix est accordée au Congo dans les institutions internationales depuis 2017 avec son intégration au conseil exécutif de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) et la participation de deux différents Secrétaires Généraux de l’OMT aux assises nationales du Tourisme et à la 1ère caravane de la charte africaine du tourisme durable et responsable organisées à Brazzaville, le lancement des travaux d’aménagement des sites à intérêt touristique des cataractes à Brazzaville et de Sossi dans le département du Niari. La création et l’animation régulière des sites web dédies à la promotion de la destination Green Congo. S’ajoutent à cela les projets en cours, à savoir, la mise en place du visa touristique et du pass touristique.

La loi portant création et organisation du guichet unique du tourisme, celle portant transformation de l’office de promotion de l’industrie touristique en EPIC, et la loi portant création de la SOCITOUR, promulguées en mars 2020 par le Président de la République et bientôt la toute première loi règlementant le secteur du Tourisme, en examen au parlement, font également partie de ce bilan.

La Ministre a conclu en disant qu’avec rien on fait peu et avec peu on fera beaucoup.

Sur la relance du Tourisme, Madame la Ministre a assuré aux membres de cette commission présidée par le Vénérable Jean Pierre MANOUKOU KOUBA, que des solutions compensatrices sont prévues au niveau du Gouvernement et qu’un travail se fait en étroite collaboration avec les promoteurs.

Quand à la lenteur observée dans la délivrance des autorisations et agréments, la Ministre a rappelé la directive de Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, sur la rupture avec les anciennes méthodes, sans laquelle on ne peut relever ce défi dans nos administrations. Les reformes sont en train d’être faites avec la mise en place du guichet unique pour mettre fin à ces pratiques, a indiqué la Ministre du Tourisme et de l’Environnement.
Satisfaits des informations mises à leur disposition, les sénateurs ont la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT pour la qualité du travail abattu dans ce secteur, lequel relève de la troisième économie mondiale.

Réchauffement climatique : l’Accord de Paris, 5 ans déjà

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, coordonnatrice technique de la commission climat du bassin du Congo (CCBC), a pris part à la conférence virtuelle relative à la célébration du cinquième anniversaire de l’Accord de Paris, le 12 décembre.

 La conférence de presse présidée par le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean Yves Le Drian, qui avait à ses côtés sa collègue ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a porté sur le bilan et réflexions sur ce qui a été accompli depuis 2015 et les perspectives relatives à cet accord.

La tenue de cette conférence marque le lancement du cycle de relèvement de l’ambition climatique jusqu’à la COP26 de Glasgow. Pour la ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, Arlette Soudan-Nonault, coordonnatrice technique de la CCBC, qui a pris part à cette conférence, la phase de mise en œuvre de l’accord de Paris devra impérativement prendre en compte les attentes des pays membres du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, et dont regorge plus de 10% de la biodiversité mondiale, inscrites dans les deux cent huit projets que porte l’étude de préfiguration du Fonds bleu, récemment validée par les pays membres. Elle a, en outre, ajouté que le maintien de la température de la planète entre 1,5-2°C, objectif de l’Accord de Paris, ne peut être atteint sans une gestion durable des tourbières du Bassin du Congo. La coordonnatrice technique de la CCBC a indiqué, en outre, que les seize pays de la CCBC et le royaume du Maroc feront entendre leurs voix à Glasgow, en vue d’une prise en compte effective de ces problématiques, sans lesquelles les objectifs de l’accord de Paris ne peuvent être atteints.

L’accord de Paris, l’une des réussites les plus emblématiques

L’accord historique par lequel la communauté internationale a pris ses responsabilités et ses engagements à l’égard des générations futures est devenu l’une des réussites les plus emblématiques du multilatéralisme, a déclaré le ministre Jean Yves Le Drian. La partie était loin d’être gagnée, a-t-il ajouté. Le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères a fait savoir que l’année 2021 sera décisive pour l’avenir de la planète avec la tenue de trois COP : climat, biodiversité, désertification. « Aujourd’hui l’horizon semble s’éclaircir puisqu’une lueur s’est allumée de l’autre côté de l’atlantique. L’Accord de Paris demeure notre meilleure boussole dans les tempêtes qui bouleversent notre présent et face à celles qui menacent l’avenir… La rencontre d’aujourd’hui, nous l’avons souhaitée avec ma collègue Barbara Pompili non pas seulement comme un moment de célébration, mais essentiellement un moment de remobilisation », a signifié Jean Yves Le Drian.  Et d’ajouter que 2020 aura été l’année d’une crise pandémique que personne n’aurait pu anticiper, en même temps que l’année des plus grandes confirmations d’inquiétudes, sans doute l’année plus chaude jamais enregistrée, l’année où le mercure aura grimpé jusqu’à 38 degrés en Sibérie ; l’année où un brutal record de trente tempêtes majeurs aurait frappé l’atlantique. « Regardons la réalité en face, notre planète n’est plus en sursis, elle a désormais basculé dans l’état d’urgence. Nous sommes réunis pour croiser les perspectives de la communauté scientifique, de la société civile, des collectivités, de la jeunesse, des entreprises, avec le regard de ceux qui furent les deux grandes architectes de la COP21, Laurent Fabius et Laurence Tubiana. Nous sommes réunis à la fois pour mesurer le chemin parcouru, mais surtout pour apprécier l’immense effort qui nous reste à accomplir. Nous sommes réunis pour nous dire ensemble tout ce que cet anniversaire signifie pour nous aujourd’hui et surtout les voies de la remobilisation », a-t-il poursuivi

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, qui met en œuvre l’accord de Paris au niveau national dans toutes ses dimensions : environnement, énergie, transport, logement, et la politique nationale de lutte contre le réchauffement climatique, veillant à la bonne explication et application des accords conclus en concertation avec le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, a rappelé les faits.« C’était il y a cinq ans jour pour jour. Après des années d’échecs successifs, d’atermoiements, le monde prenait date. Pour la première fois, 196 pays prenaient un engagement commun, devant les générations futures de limiter le réchauffement climatique en deçà de deux degrés d’ici la fin du siècle. Jamais un texte international n’avait été aussi largement signé ; jamais le monde n’avait aussi unanimement dit : « Nous ne laisserons pas la catastrophe se produire, nous refusons de détruire notre seule planète » », a-t-elle déclaré.

Source : adiac-congo

Organisation mondiale du tourisme : vers le renouvellement des instances en janvier 2021

La séance de travail tenue en visioconférence par la ministre du Tourisme et de l’Environnement du Congo, Arlette Soudan-Nonault, et le secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) Zurab Pololikashvili, le 15 décembre, s’est focalisée sur les préparatifs du prochain Conseil exécutif de l’OMT.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la coopération  multilatérale entre la République du Congo et l’OMT.

Arlette Soudan-Nonault et Zurab Pololikashvili ont fait le point d’étape des dossiers en commun, notamment le projet de classification hôtelière, la mise en œuvre de la stratégie et de la politique nationale de développement du tourisme durable et responsable adoptée en 2017 et les projets de formation des étudiants congolais dans le secteur du tourisme, engagés lors de la visite du président de la République, chef de l’État du Congo, Denis Sassou N’Guesso, en 2019 au siège de l’OMT à Madrid en Espagne, en marge de la COP25.

Les deux personnalités ont parlé également des préparatifs du prochain Conseil exécutif de l’OMT dont l’enjeu principal est le renouvellement des instances dirigeantes. Le Congo qui est membre du Conseil exécutif de cette organisation depuis 2017 s’est vu rappeler l’acquittement de ses contributions avant la tenue du prochain conseil. « En tant que ministre membre du conseil exécutif, nous sommes en train de faire le point avant les grandes assises de janvier qui se tiendront à Madrid en Espagne. La première étape c’est la feuille de route Afrique ; la deuxième, c’est faire le point des engagements pris par le chef de l’État congolais, quand il était à Madrid en Espagne dans les locaux de l’OMT. Et la troisième, c’est le renouvellement des instances dirigeantes de l’OMT. Le mandat du secrétaire général arrive à terme en janvier. Le Congo qui est membre du Conseil exécutif a droit au vote. Mais en même temps il m’a rappelé  pour que nous puissions avoir ce droit de vote, il nous faut payer nos cotisations, sinon nous ne pourrons pas nous imposer en tant que membre du Conseil exécutif », a déclaré la ministre du Tourisme et de l’Environnement du Congo.

Rappelons que la République du Congo a été élue membre du Conseil exécutif de l’OMT lors de l’assemblée générale de cette organisation tenue le 12 septembre 2017 à Chengdu en Chine. Cette élection, soutenue par plusieurs pays africains, a renforcé l’intégration du Congo dans les instances internationales. Elle est la consécration, la justesse du choix stratégique opéré par le président de la République Denis Sassou N’Guesso, de faire du tourisme l’un des leviers essentiels de la diversification de l’économie congolaise.

En effet, le Congo a consenti de grands efforts au cours de ces dernières années en faveur du développement du secteur touristique. Des rencontres de communication et d’échanges ont été organisées sur la vulgarisation de la stratégie nationale de développement du tourisme. Il s’agit notamment du séminaire d’appropriation de la stratégie et des premières assises nationales du tourisme tenus en juillet dernier en présence de l’ancien secrétaire général de l’OMT, le Dr Taleb Rifai.

Source : adiac-congo