Madame Arlette Soudan-Nonault panéliste à la journée du marché financier.

A l’occasion de la journée du marché financier organisée par le Ministère des Finances et du Budget en partenariat avec la CEMAC et la COSUMAF, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, en charge du Développement Durable, Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu, a pris part au panel intitulé << Ancrer le développement durable en CEMAC par l’essor des Obligations Vertes>>

Au cours de ce panel qui a connu la participation des experts en finance de la sous région et des partenaires au développement, la Ministre a présenté les avancées de la commission du climat du bassin du Congo dans l’opérationalisation de son outil financier le Fonds Bleu. Elle a exhorté ses interlocuteurs sur l’obligation des pays de la sous région d’aller vers une économie verte afin d’assurer un développement durable au bénéfice des populations. Elle a également émis le vœu de la création d’une banque verte pour les pays de la sous région

Environnement : Déclaration du Gouvernement lue par Mme Arlette soudan-Nonault, à l’occasion de la célébration de la journée africaine pour l’environnement

Mesdames et Messieurs,
Chers compatriotes,

Le 4 mars de chaque année, l’Afrique célèbre la Journée Africaine de l’Environnement. Cette journée coïncide avec la commémoration de la mémoire d’une très grande femme qui a laissé son emprunte sur la cause environnementale, j’ai cité : Wangari Muta Maathai, citoyenne de nationalité kenyane, Prix Nobel de la Paix, qui a marqué sa génération par sa passion pour la nature, la plantation des arbres, la création d’une ceinture verte et la lutte contre les érosions. C’est un modèle de militantisme rare sur notre continent, et qui mérite d’être suivi.

Chers compatriotes,

La journée que nous célébrons aujourd’hui, vise à conscientiser les populations africaines sur les problèmes spécifiques que connait notre continent et sur la nécessité de préserver nos écosystèmes et notre environnement pour notre propre bien et pour celui des générations futures.
L’environnement, qui représente l’un des trois piliers du développement durable de nos Etats, doit être au centre de nos vies. Depuis l’adoption en 1968 de la convention africaine sur la Conservation de la Nature et des Ressources Naturelles, les problématiques environnementales du continent n’ont pas changé. A la protection de la nature et des ressources naturelles, s’ajoute celle de la préservation de la couche d’ozone détériorée au fil des années par la croissante industrialisation des pays du Nord. Nombreux sont donc les défis environnementaux que le continent doit relever. Il s’agit en premier lieu de la sauvegarde du bassin du Congo. Vaste massif forestier d’environ 230 millions d’hectares, le bassin du Congo est la seconde forêt tropicale au monde en termes de surface après l’Amazonie. C’est l’une des plus grandes réserves biologiques de la planète. Les forêts du Bassin du Congo contribuent à l’amélioration de la qualité de l’air que nous respirons, jouent un rôle déterminant dans le ralentissement du réchauffement climatique en stockant et séquestrant du carbone et contribuent à l’écosystème des populations riveraines. Bien que le taux de déforestation que connait notre pays soit l’un des plus faibles du monde, notre forêt n’en est pas moins menacée du fait de son exploitation par une population en forte croissance. Cette disparition provoque des émissions de gaz à effet de serre, avec des répercussions sur le changement climatique mondial. Il est donc de notre devoir de les protéger et il en va de même pour ce gigantesque puits de carbone que sont les tourbières, à la fois trésor national et, si nous n’y prenons garde, gigantesque bombe à retardement pour l’humanité.

Chers compatriotes,

Notre continent fait face à de nouveaux défis environnementaux qui bouleversent nos paysages et impactent nos économies déjà fragiles. L’Afrique est le continent le plus durement touché par les changements climatiques, bien qu’il soit beaucoup moins responsable de ce phénomène que d’autres régions de la planète. Les changements climatiques causent du tort à nos populations occasionnant des inondations, des glissements de terrain, la sécheresse, la désertification, la perturbation du cycle des pluies avec des effets négatifs sur la production agricole.
Les précipitations abondantes et parfois catastrophiques de ces dernières années dégradent continuellement nos cadres de vie, accentuant ainsi la pauvreté de nos populations ; à cela s’ajoute la récurrente question de la gestion des déchets qui détériore nos paysages urbains.

Chers compatriotes,

La mise en oeuvre du programme de gouvernement du Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Denis SASSOU NGUESSO, ‘’La marche vers le développement’’, dont les grands axes portent sur l’industrialisation et la modernisation de notre pays, doit donc être sous-tendue par une gestion durable de l’environnement, pour garantir la santé de nos populations, l’assainissement de nos villes, la conservation et la gestion durable de nos ressources naturelles, l’atténuation des pollutions sur l’air, l’eau et le sol.
L’aménagement des parcs nationaux et la promotion du partenariat entre l’Etat et les fondations ou les sociétés privées devraient permettre de promouvoir un écotourisme de vision, qui sans nul doute, contribuera de manière substantielle à l’accroissement de la richesse nationale.
De même, l’approche participative impliquant les autorités et les populations locales, le secteur privé et la société civile doit accentuer l’éducation des populations, particulièrement à la citoyenneté écologique, afin d’accroître leur niveau de conscience concernant la protection de l’environnement.
A ce sujet, la récente publication d’un sondage réalisé dans notre pays par un institut américano-sud-africain et intitulé Africain Youth Survey 2020, est un motif d’encouragement.
Effectuée auprès des jeunes de 18 à 24 ans, il démontre que 62% des jeunes congolais interrogés se disent directement concernés par la défense de l’environnement et que 74% d’entre eux sont préoccupés par les risques de braconnage, de trafic des animaux sauvages et d’atteinte à la biodiversité. Parmi les 14 pays africains où ce sondage a été effectué, la jeunesse congolaise figure dans le peloton de tête de ceux où elle jouit du plus haut taux de conscience écologique.
Ces résultats encourageants sont le fruit du travail pédagogique inlassable mené depuis des décennies par le Chef de l’Etat, Son Excellence Denis SASSOU-NGUESSO. Et ils sont pour nous tous une injonction à faire toujours plus et mieux pour la préservation de notre cher pays.

Vive la destination Green Congo !
Vivre l’Afrique !
Je vous remercie.

Arlette SOUDAN-NONAULT.-

African Youth Survey 2020 : Haut degré de conscience écologique au sein de la jeunesse congolaise

   L’institut de sondage americano-sud africain PSB Research vient de rendre publique une vaste enquête d’opinion menée auprès des jeunes Africains de 18 à 24 ans et intitulée African Youth Survey 2020.

  Le Congo Brazzaville figure parmi les 14 pays sondés et l’environnement est l’un des thèmes abordés.

   Il ressort de cette enquête que:

   62% des jeunes Congolais interrogés se disent directement concernés par la défense de l’environnement. Ce qui place la jeunesse de notre pays en troisième position des pays ou elle est la plus sensibilisée à ce problème crucial.

   74% des jeunes Congolais se disent préoccupés par les risques de braconnage, de trafic des animaux sauvages et d’atteinte à la biodiversité. Là encore, notre pays figure dans le peloton de tète.

   67% des jeunes Congolais estiment par contre que le recyclage ( en particulier des sachets et bouteilles plastique) est encore peu satisfaisant.

   Ces chiffres sont encourageants. Ils témoignent d’un haut degré de conscience écologique au sein de la jeunesse de notre pays, fruit du travail pédagogique inlassable impulsé depuis des années par le Chef de l’Etat, S.E Denis Sassou Nguesso.

   En tant que Ministre en charge, je puise dans ces résultats des raisons supplémentaires de faire toujours plus et mieux pour la préservation de notre Green Congo.

Arlette Soudan-Nonault

Cliquez ici pour consulter l’intégralité du sondage African Youth Survey 2020 

Environnement : Signature entre la République du Congo et le Fonds Vert pour le Climat de l’Accord sur les privilèges et immunités

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement a effectué du 24 au 25 février 2020, à Séoul en République de Corée, une visite de travail au siège du Fonds Vert pour le Climat.
Cette visite de travail qui faisait suite à l’audience accordée par Son Excellence Monsieur Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République Chef de l’Etat, à Monsieur Yannick GLEMAREC, Directeur Exécutif du Fonds Vert pour le Climat au mois de janvier dernier, a entre autre permis la signature entre la République du Congo et le Fonds Vert pour le Climat de l’Accord sur les privilèges et immunités au bénéfice de ce Fonds dans le cadre de l’exercice de leurs missions au Congo.

La Signature de cet accord marque une étape importante pour les deux parties au regard des événements qu’elles ont prévus d’organiser à brève échéance à savoir un side-event sur les tourbières lors du One planet Summit qui se tiendra en juin prochain à Marseille et un dialogue régional en septembre 2020.

En outre, le Fonds Vert s’est engagé à appuyer l’opérationnalisation du Fonds Bleu à travers le financement de son unité de démarrage et le déblocage des Fonds à son profit à la fin du premier semestre 2020.

Madame Arlette Soudan-Nonault a assisté à la 33ème sommet ordinaire annuel de l’Union Africaine à Addis-Abebas

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement,  chargé du développement durable, a assisté au 33ème sommet ordinaire annuel de l’Union Africaine qui s’est tenu le 08 février 2020 à Addis-Abeba en Éthiopie. Un sommet placé sous le thème  » Faire taire les armes: créer des conditions propices au développement de l’Afrique « .

Plusieurs tables rondes ont été au programme la lors de ce 33ème sommet, et non des moindres,  celle du comité des chefs d’Etat et de gouvernement Africains sur le changement climatique, une table ronde des chefs d’Etat et de gouvernement du Conseil de paix et de sécurité, sur la situation en Libye et au Sahel.

Environnement : le dialogue national sur les changements climatiques sous le patronage de Monsieur Clément MOUAMBA,  Premier Ministre, Chef du Gouvernement

Ce jour 12 février 2020, s’est tenu à la Primature, sous le patronage de Monsieur Clément MOUAMBAPremier Ministre, Chef du Gouvernement,  le dialogue national sur les changements climatiques.
Ce dialogue,  animé par Monsieur Ronan DANTEC et Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de L’Environnement se sont prêtés aux questions des journalistes tant nationaux qu’internationaux.
Monsieur le Sénateur est revenu sur la problématique du dérèglement climatique et ses conséquences. Il a manifesté sont intérêt à appuyer les efforts du Congo dans la lutte contre les changements climatiques,  surtout en  matière d’adaptation.
Pour sa part,  Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de L’Environnement,  initiatrice de ce dialogue gouvernemental s’est félicitée de l’engagement du Sénateur à appuyer le Congo dans sa volonté de concilier le développement économique durable du Congo et la préservation de l’environnement.

Madame Arlette Soudan-Nonault, a reçu en audience Monsieur Ronan DANTEC Sénateur Français en prélude au dialogue gouvernemental sur les changements climatiques

La République du Congo à l’instar de la communauté internationale a ratifié la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC)  en 1996 et le Protocole de Kyoto en 2006. Dans la poursuite de sa participation à l’effort global de lutte contre le réchauffement climatique, le Congo a signé l’accord de Paris en 2015.
C’est dans ce cadre que Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience ce mardi 11 février à son cabinet de travail le Sénateur Français Monsieur Ronan DANTEC,  en prélude au dialogue gouvernemental sur les changements climatiques qui se tiendra le mercredi 12 février 2020 à la Primature.
Faire émerger des projets qui demain vont intéresser des investisseurs internationaux et permettre un développement durable du Congo ont figuré parmi les points abordés au cours de cette audience.

33ème Sommet de l’Union Africaine : side-event de haut niveau sur l’économie bleue

En marge du 33ème Sommet de l’Union Africaine qui se tient à Addis Abeba en Ethiopie, il s’est tenu le 08 février, un side-event de haut niveau sous le thème : « Développement d’une économie bleue durable ; un élan croissant pour la croissance bleue de l’Afrique ».

Ce side-event a vu la participation de plusieurs hautes personnalités parmi lesquelles le Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies, Monsieur Antonio GUTERREZ, le Premier Ministre du Canada, Monsieur Justin TRUDEAU, le Vice-président du Kenya, Monsieur William RUTO, la Première ministre de la Norvège, Madame Erna Solberg.

Plusieurs orateurs ont pris la parole, dont Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, qui en sa qualité de Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo est intervenue sur la problématique de cette Commission et surtout sur son véhicule financier, le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Elle a tenu informé les participants sur les grandes avancées du processus d’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo qui touche à sa fin avec à ce jour 215 projets d’une valeur de 7,9 milliards de dollars US.

Elle a ensuite défini les étapes à venir, à savoir : la réunion des ministres de l’environnement des 16 Etats membres de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Sommet des Chefs d’Etat de cette même commission.

Enfin, Madame la Ministre a invité les partenaires techniques et financiers à prêter main forte au Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, afin qu’il participe efficacement à cet effort mondial de développement d’une économie bleue durable en Afrique.

Mme Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu Mr Yannick GLEMAREC, Directeur Exécutif du Fond Vert Pour le Climat

Le Fond Vert pour le Climat, officiellement lancé en décembre 2011 est un mécanisme financier rattaché à la convention cadre des Nations Unies sur les changements Climatiques, il vise à transférer des  fond des pays les plus avancé à destination des pays les plus vulnérables.

Le lundi 04 février 2020, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience Monsieur Yannick GLEMAREC Directeur Exécutif du Fond Vert Pour le Climat. Les questions touchant à la préservation de la foret du bassin du Congo essentielle pour la survie de l’humanité, ont figuré parmi les points abordés au cours de cet entretien.

Le Directeur Exécutif du Fond Vert pour le Climat a saisi l’occasion pour annoncer la  tenue cette année à Brazzaville d’un atelier de dialogue sectoriel qui va réunir tous les pays de la sous-région pour identifier des projets prioritaires qui pourraient être soumis au Fond vert pour le Climat.

Afrique centrale/Forêts : 746.309 hectares inscrits au patrimoine mondial pour le tri national de la Sangha

La ministre du Tourisme et de l’environnement, Mme Arlette Soudan-Nonault, et le ministre de la Culture et des arts, M. Dieudonné Moyongo, ont dévoilé, le 31 janvier dernier au village Bomassa, dans le district de Kabo, département de la Sangha, la plaque commémorative du Tri national de la Sangha, dont la superficie est de 746.309 hectares.

Ce complexe transfrontalier, composé de parcs nationaux Nouabalé Ndoki en République du Congo, Lobéké au Cameroun et Dzanga-Ndoki en République Centrafricaine (RCA), est inscrit depuis 2012 sur la liste du patrimoine culturel et naturel mondial de l’Unesco.

Cette reconnaissance de la communauté des nations, a-t-on lu sur cette plaque, consacre les efforts des trois pays dans la conservation de la biodiversité et la préservation du capital naturel. Le Tri national abrite un large spectre de forêts humides, riche en espèces dont certaines sont en danger d’extinction.

A l’occasion de cette cérémonie de dévoilement de cette plaque, Mme Soudan-Nonault a interpelé les populations qui, pour elle, sont garantes de ces équilibres de la biodiversité. «Il nous faut une économie alternative certes, mais il est possible pour nous de concilier développement durable et protection de cet environnement naturel et culturel que nous devons impérativement conserver», a-t-elle dit.

Selon elle, le tourisme est l’un des piliers de la diversification de l’économie. De ce fait, il permet d’entrer dans l’économie alternative. Elle a précisé que s’il n’y a plus de parcs naturels à visiter, de flore et de faune à conserver, cette biodiversité qu’il faut à tout prix préserver en termes d’équilibre, il n’y aura pas cette économie alternative.

A ce sujet, a-t-elle dit, il est important pour tous de conjuguer les efforts, avec l’implication de tous les acteurs, de toutes les administrations, mais surtout des populations elles-mêmes, afin que ce magnifique patrimoine soit protégé.

Dans son discours, le représentant du représentant résident de l’Unesco au Congo, M. Richard Bouka, a indiqué que cette cérémonie de dévoilement de la stèle du tri national de la Sangha revêt un caractère très important, celui du positionnement de trois pays concernés, considérés comme les vecteurs de la conservation de la biodiversité mondiale sur laquelle la communauté internationale se doit de continuer d’apporter une attention particulière et un accompagnement efficient et mérité.

A cette occasion, il a rappelé que la commission européenne, en collaboration continue avec l’Unesco, appuie l’initiative menée en faveur du patrimoine mondial forestier de l’Afrique centrale, dans la préservation des paysages transfrontaliers du Cameroun, du Congo, du Gabon et de la RCA depuis 2008.

Pour lui, la bonne gouvernance de cet écosystème intact, riche en flore et en faune, devrait constituer un levier important de valorisation de ce paysage. Elle est une réponse aux trois dimensions qui sont l’écologie, l’économie et le social de l’agenda 2030 du développement durable.

Pour ce qui est du parc de Nuabalé Ndoki, a-t-il fait savoir que son inscription dans la liste indicative du Congo a été faite en juin 2008 et n’a été inscrit qu’en juillet 2012 sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité.

Le module de la coopération internationale, le Tri national de la Sangha, est le tout premier site du patrimoine mondial à être inscrit au nom de trois Etats, a-t-on appris.

La cérémonie de dévoilement de la stèle desdits parcs nationaux a connu la participation du directeur de cabinet de la ministre de l’Economie forestière, du représentant du ministre en charge du foncier et des représentants du corps diplomatique des ambassades du Cameroun et de la RCA.

Source : www.aci.cg