La République du Congo à la conférence globale de programmation du fonds vert pour le climat à Songdo

Songdo, en République de Corée du Sud, a abrité du 17 au 19 août 2019,  la conférence mondiale sur la programmation globale du Fonds Vert pour le climat (FVC), ayant à l’ordre du jour, les sujets relatifs à :  l’examen de la vision stratégique et de la performance du Fonds, la mobilisation des ressources et le pouvoir d’engagement, la structure et l’organisation du Fonds, la gestion des résultats et des indicateurs de performance, le cadre d’investissement, etc…

La République du Congo, dont la délégation a été conduite par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a participé à ces assises, aux côtés de plusieurs de ses homologues,  pour rappeler à l’opinion internationale qu’elle reste, parfaitement attentive et consciente de la nécessité de préserver ces écosystèmes fragiles, au regard de leur incidence sur l’équilibre climatique mondial et la protection de la biodiversité, tout en attendant les contreparties financières annoncées et qui continuent à se faire attendre, comme indiqué par Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République Chef de l’Etat lors de son message à la nation du 14 aout 2019.

Avis d’Appel d’offres relatif à la concession du site de SOSSI dans le département du Niari, en République du Congo

En vue de la valorisation touristique du site naturel de « Matadi Mâ Diaba » par l’organisation des visites guidées, le Ministère en charge du tourisme lance un appel d’offres pour la concession d’exploitation du gîte rural de Sossi dans le district de Louvakou, département du Niari.

Pour toute information relative à cet avis d’appel d’offres, veuillez contacter le ministère par mail à l’adresse suivante : secretariatministre@www.developpement-durable.gouv.cg

Cliquez ici pour télécharger l’avis d’appel d’offres

Environnement : Madame Arlette SOUDAN-NONAULT a reçu en audience Madame Judith ENAW, Secrétaire Générale de la CICOS

Madame Judith ENAW, Secrétaire Générale de la Commission Internationale du Bassin du Congo-Oubangui-Sangha (CICOS), a été reçu ce lundi 22 juillet 2019 par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission de Climat du Bassin du Congo.

Cette audience rentre dans le cadre de la sensibilisation auprès des autorités, sur les outils développés au sein de la CICOS pour appuyer les Etats membres dans l’amélioration de la navigation dans le réseau hydrographique du Bassin du Congo et la gestion intégrée des ressources en eau.

Visa Touristique en République du Congo : Séance de travail sur l’état d’avancement du projet

L’état avancement du projet de mise en place du Visa Touristique en République du Congo a été l’objet de la séance de travail présidée par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, en présence de Monsieur Charles COUESSIN, Consultant en la matière, des Experts du PADEC et des cadres de son département ministériel, ce mardi 16 juillet 2019, à son cabinet de travail.
Financé par le Gouvernement Congolais et la Banque Mondiale avec l’appui technique de l’Organisation Mondiale du Tourisme, ce projet pilier de la destination #GreenCongo, connait des avancées significatives avec le recrutement du consultant, qui exécutera sa mission en trois mois.

Célébration de la Journée Mondiale de l’Environnement du 05 Juin 2019 à Brazzaville, en République du Congo

Sous le patronage de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, représenté par son collègue Monsieur Léon Juste IBOMBO, Ministre des Postes, Télécommunications, et de l’Economie Numérique, l’activité marquant célébration de la Journée Mondiale de l’Environnement du 05 Juin 2019 a connu la participation des organismes des Nations Unies, des ONG et des associations œuvrant dans le domaine de l’environnement à l’instar de la société Healthy Environnement, co-organisateur de cet événement.

Au cours de cette activité Madame Suze Percy Filippini, Coordinatrice du système des Nations Unies par intérim, a prononcé le discours de M. Antonio GUTERRES, Secrétaire Général des Nations Unies, dans lequel le gouvernement du Congo a été félicité  pour les efforts consentis pour la protection de l’environnement et pour son leadership en ce domaine au niveau de la sous-région. Aussi, elle a garanti la disponibilité des agences du système des nations unies à accompagner le Congo dans les projets du secteur de l’environnement.

Pour sa part, le Ministre Léon Juste IBOMBO a exhorté les responsables des administrations publiques, entreprises privées, organisations de la société civile et population, à œuvrer de manière concertée pour lutter contre la pollution de l’air qui porte préjudice  à notre environnement et à notre santé.

La fin de cette cérémonie a été ponctuée par le chœur des enfants<< les enfants de la planète>>.

47ème Journée Mondiale de l’Environnement : Déclaration du Gouvernement de la République du Congo

Chers compatriotes,

Le 5 juin de chaque année, la Communauté internationale célèbre la journée mondiale de l’environnement, en souvenir de la première Conférence des Nations Unies sur l’Environnement qui a eu lieu à Stockholm en Suède en 1972.

Cette journée vise à conscientiser les populations du monde entier sur la nécessité de préserver nos écosystèmes et notre environnement pour notre propre bien et pour celui des générations futures.

Cette année, la Journée Mondiale de l’Environnement est célébrée sous le thème : « la pollution de l’air ».

Ce thème met en relief les atteintes graves à l’atmosphère du fait des émissions anthropiques, et la nécessité de la préserver. Il interpelle chacun à s’engager dans des actions positives en faveur de l’environnement que nous avons en héritage et en partage.

Chers compatriotes,

Depuis quelques années, le monde connait une crise écologique sans précédent, caractérisée par des périodes de grave pollution atmosphérique.

Ainsi en 2018, l’OMS a évalué à 7 millions, le nombre de personnes qui meurent dans le monde par inhalation d’air chargé de particules fines.

Chers compatriotes,

La pollution de l’air résulte de la présence de certaines substances dans l’atmosphère à des taux suffisamment élevés pour porter atteinte à la santé humaine et à l’environnement.

Bien que les polluants soient parfois d’origine naturelle, les activités humaines sont les principales responsables de la pollution atmosphérique. Au niveau mondial, la pollution atmosphérique est surtout liée à l’industrie et au transport bien que les incendies intentionnels aient aussi une part de responsabilité importante. Ces différents secteurs d’activités sont émetteurs des substances nocives capables de changer la texture chimique de l’atmosphère.

Tous les jours, les polluants atmosphériques font courir des risques sanitaires aux personnes qui vivent autour ou travaillent dans les usines chimiques, les incinérateurs ou d’autres établissements qui les produisent où les utilisent.

La pollution atmosphérique est un enjeu de santé publique au niveau mondial comme individuel. Les matières particulaires sont dangereuses pour plusieurs raisons. Elles peuvent contenir des substances qui ont des effets toxiques ou cancérigènes.

Elles peuvent aussi se loger profondément dans les poumons et entrainer des complications à moyen ou long terme.

En dehors de leurs impacts sur la santé, les polluants atmosphériques ont des effets nocifs sur l’environnement. En effet, certaines substances ont la propriété de détruire la couche d’ozone, située dans la stratosphère qui s’étend de 10 à 45 km au-dessus de la surface de la terre. L’ozone empêche une partie des rayons ultra-violets du soleil de pénétrer à la surface de la terre, rendant ainsi possible la vie sur cette planète.

Encore plus préoccupantes à l’échelle internationale sont les émissions des gaz à effet de serre, responsables du réchauffement climatique planétaire. Ce phénomène, observé depuis quelques années, est à l’origine de multiples dégâts environnementaux, aux conséquences économiques et sociales incalculables.

Inondations, érosions, effondrements, affaissements des routes, perturbation du cycle des saisons sèches et pluvieuses : chacun d’entre nous est témoin des effets néfastes du dérèglement climatique.

Chers compatriotes,

Notre pays, le Congo n’est donc pas exempt de la pollution de l’air; notre quotidien le démontre si bien.

Dans nos campagnes, les techniques agricoles utilisées jusqu’à ce jour, notamment la pratique sur brulis, contribuent à la pollution de l’air.

Dans nos villes, le secteur du transport est en partie caractérisé par l’importation et l’utilisation des véhicules de seconde main hautement polluants. Ces moyens de transport sont les deuxièmes responsables de la pollution de l’air après l’industrie. Le brûlage des déchets à ciel ouvert, encore observé dans certains quartiers, ainsi que certaines pratiques industrielles prohibées, détériorent la qualité de l’air que nous respirons et nous exposent à de multiples maladies.

La hausse vertigineuse des maladies cancérigènes ces dernières années en est la triste illustration.

Conscient de ce que les problèmes environnementaux doivent faire l’objet de solution à échelle tant nationale que mondiale, le Congo, notre pays a toujours marqué sa détermination à soutenir la cause écologique, notamment à travers la ratification de nombreux accords internationaux y relatifs, mais aussi par l’adoption au niveau national de toute une série de lois, de mesures et d’initiatives protectrices de l’environnement et des populations.

Aujourd’hui, l’environnement figure au nombre des axes prioritaires définis dans le projet de société de Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République, « La marche vers de développement ». Il occupe une place non négligeable dans le cadre du Plan National de Développement 2018-2022. Est-il besoin de rappeler en effet que, loin d’être antinomiques, développement durable et protection de l’environnement se complètent. L’un ne va pas sans l’autre et inversement.

Chers compatriotes,
La Journée Mondiale de l’Environnement que nous célébrons aujourd’hui nous interpelle tous. Elle nous invite à renouveler notre engagement individuel et collectif en faveur de l’environnement.
En raison des interactions qui existent entre la production, la consommation des biens et services et la préservation de l’environnement, j’exhorte les industriels, les agriculteurs, chacune et chacun d’entre nous, à explorer les alternatives durables, pour réduire, voire éradiquer les impacts liés à nos activités.

Le devoir et la nécessité nous appellent à innover, à nous orienter vers l’économie verte. Pour cela, les mesures suivantes sont nécessaires :

• la promotion des éco-industries à faible émission de gaz à effet de serre ou de polluants ;
• l’utilisation des technologies propres dans les industries ;
• le contrôle des installations classées pour la protection de l’environnement ;
• la promotion des techniques agricoles alternatives au brûlis ;
• la réglementation de l’importation des véhicules ;
• l’interdiction de l’importation et de l’utilisation des substances qui appauvrissent la couche d’ozone.

Certes, la mise en œuvre de ces mesures ne sera pleinement possible que grâce à l’adoption prochaine de la nouvelle loi portant gestion de l’environnement ; à l’application des normes en matière d’environnement et à la création d’une Agence Nationale pour la Protection de l’Environnement.

Mais sans plus attendre, les efforts déjà consentis en matière d’éducation et de sensibilisation relatives à l’environnement doivent être renforcés, à travers l’élaboration et la mise en œuvre des programmes appropriés, en vue de promouvoir la citoyenneté environnementale, gage sûr d’une gestion durable de l’environnement.

Le caractère transversal et multidisciplinaire de la gestion de l’environnement recommande également une collaboration étroite entre l’Administration de l’environnement et les autres secteurs de la vie nationale. C’est dans ce sens que nous œuvrons.

Ensemble, assurons la conservation de nos écosystèmes naturels et la gestion durable de l’environnement, pour un développement durable de notre pays.

Ensemble, protégeons cet inestimable patrimoine commun que nous ont transmis nos ancêtres que nous avons le devoir de léguer aux générations futures.

Vive le Congo, notre cher et beau pays.

Vive la destination Green Congo.

Je vous remercie.

Arlette SOUDAN-NONAULT.-

Appel à candidature

Titre:

Lieu d’affectation principal et emplacement :

Mission /s à :

Début de contrat (EOD) :

Fin du contrat(COB) :

Nombre de jours ouvrables :

Consultant National Juridique

Brazzaville

Brazzaville et Pointe-Noire

Juillet  2019

Septembre 2019

120

Les Parties au Protocole de Montréal sont parvenues à un accord lors de leur 28ème Réunion des Parties, le 15 octobre 2016 à Kigali, au Rwanda, en vue d’abolir progressivement les hydrofluorocarbures  (HFC)…

Appel à candidature

Titre:

Lieu d’affectation principal et emplacement :

Mission /s à :

Début de contrat (EOD) :

Fin du contrat(COB) :

Nombre de jours ouvrables :

Consultant National en Douane

Brazzaville

Brazzaville et Pointe-Noire

Juillet  2019

Septembre 2019

120

Les Parties au Protocole de Montréal sont parvenues à un accord lors de leur 28ème Réunion des Parties, le 15 octobre 2016 à Kigali, au Rwanda, en vue d’abolir progressivement les hydrofluorocarbures  (HFC)…

Le gouvernement encourage la conservation de la biodiversité

 La ministre du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soundan-Nonault  a souligné le 22 mai à Brazzaville que la déforestation et l’utilisation massive des ingrédients chimiques appauvrissaient la diversité biologique qui était un élément essentiel à la survie humaine.

« La vie humaine est intimement liée à la biodiversité, son maintien n’est pas une lubie des pays riches ou amoureux de la nature, mais elle est garant de notre bien-être et un facteur majeur de stabilité de nos sociétés », a fait savoir Arlette Soundan-Nonault à l’occasion de la journée internationale de la diversité biologique.

La disparition progressive de la biodiversité a déjà des conséquences sur notre bien être. Avec la rareté de certains produits de consommation courante qui hier abondaient sur les marchés, nous devons donc redoubler d’efforts dans nos actions et développer des synergies avec les autres pays pour la protection de nos aires comme le bassin du Congo, deuxième poumon écologique au monde qui renferme 10% de la biodiversité mondiale a-t-elle ajouté.

Selon le rapport de la plateforme scientifique mondiale sur la biodiversité, près d’un million d’espèces animale set végétales, soit une sur huit sont menacées d’extinction de la surface du sol ou du fond des océans.

Malgré les efforts fournis ces 20 dernières années, la perte de la diversité biologique dans le monde s’est poursuivie principalement dans la destruction des habitats, la surexploitation et l’introduction néfaste de plantes, a fait remarquer la ministre Arlette Soudan Nonault

Célébrée sous le thème « Notre biodiversité, notre nourriture, notre santé », la convention internationale de la journée mondiale de la biodiversité vise à défendre la diversité biologique, l’utilisation durable des ressources naturelles et la protection des ressources génétiques.

Source : vox.cg