Le site touristique des cataractes dont les travaux d’aménagement ont été lancés par le Ministère du Tourisme et de l’Environnement, a été visité par de nombreux participants du 5ème Forum Investir en Afrique qui a eu lieu du 10 au 12 septembre 2019 au centre de Conférence de Kintele.
Au cours de cette visite, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement, a présenté aux visiteurs ce vaste chantier dont la gestion sera assurée par le secteur privé.
Ces moments passés sur la plage des cataractes ont été agrémentés par les animations musicales des artistes congolais.
Madame Patricia AUBRAS, Directrice Régionale Afrique Centrale de l’AFD a été reçue par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT
Patricia AUBRAS, Directrice Régionale Afrique Centrale de l’Agence Française de Développement(AFD) a été reçue ce jeudi 12 septembre 2019, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, pour une séance de travail relative au suivi des différents Protocoles d’accord signés entre la République du Congo et la République Française dans le domaine de l’Environnement et du Climat.
Le dernier protocole d’accord signé entre les deux pays, par les Présidents Denis SASSOU-NGUESSO et Emmanuel MACRON, date du 03 septembre 2019 .
Première réunion du comité de pilotage de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le bassin du Congo
Déclaration des ministres et Communiqué final à l’issue de la réunion des ministres de la CEEAC en vue du sommet pour le Climat de Septembre 2019 à New York
Les ministres de l’environnement et des affaires étrangères des pays membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) se sont réuni le 7 septembre à Brazzaville en session extraordinaire et ont adopté une position commune dans le cadre du sommet de l’action sur le climat prévu le 23 septembre courant à New-York.
Télécharger le Communiqué final en cliquant ici et la déclaration des ministres des états membres de CEEAC
BASSIN DU CONGO : Les ministres de la CEEAC parleront d’une seule voix à New-york
Le segment des experts des Etats membres de la communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) sont à pied d’œuvre ce 06 septembre à Brazzaville pour parachever la déclaration des ministres de la CEEAC.
Les travaux préparatoires seront soumis à l’appréciation des ministres pour adoption au cours de la réunion extraordinaire des ministres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale sur l’adoption de la position commune des pays de la sous-région au Sommet de l’action sur le climat qui s’ouvre ce 7 septembre à Brazzaville.
Ouvrant les travaux des experts, la ministre de l’environnement du Congo, Arlette SOUDAN-NONAULT a situé le contexte de ces assises qui obéit à l’urgence soulevée par le Secrétariat Général des Nations Unies, convoquant le Sommet du 23 septembre, afin de redynamiser l’action climatique et d’amener les pays à présenter des plans concrets destinés à lutter efficacement contre les changements climatiques.
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A cela, elle affirme « notre sous-région, tout en tenant compte des spécificités de chaque Pays et à l’initiative de la présidence de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, a décidé d’y parler d’une seule voix afin de prendre toute sa place dans l’un des axes de ce sommet dénommé « solutions basées sur la nature » nonobstant la prise en compte des autres axes retenus par les Nations Unies. »
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Dans le même élan, la secrétaire générale adjointe de la CEEAC, Marie Thérèse Chantal Mfoula, a dit aux experts que « les résultats de vos travaux présentent des enjeux politiques, diplomatiques, socio-économiques et écologiques très important pour une participation réussie de la sous-région au sommet de New-York. »
Une interpellation qui marque la volonté des pays d’Afrique centrale, berceaux des forêts du bassin du Congo, deuxième poumon vert de la planète, de parler d’une voix forte au monde.
Notons que cette déclaration des ministres de la CEEAC sera présentée au sommet de l’Action sur le climat à New-York, en marge de la 64e assemblée générale des Nations unies.
Source : firstmediac.com
Le sommet sur le climat : l’Afrique centrale adopte sa position à Brazzaville
« Valider l’avant projet de déclaration, visant à préparer une position commune sur la bonne gestion et la promotion du potentiel des forêts du Bassin du Congo », telle est l’idée principale de la réunion des experts tenue ce 6 septembre 2019 à Brazzaville.
Organisée en partenariat avec la banque du développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC), la réunion de Brazzaville est présidée par Arlette Soudan Nonault, ministre du tourisme et de l’environnement, Coordinatrice du climat du Bassin du Congo.
…Il est question de prouver au monde l’importance des forêts du Bassin du Congo dans la lutte mondiale contre les changements climatiques mais qui ne bénéficie d’aucune attention suffisante de la communauté internationale… » L’Afrique centrale a eu à identifier autour de la CEEAC « l’Action basée sur la nature », a révélé le Professeur Bring du Cameroun, comme une action pertinente qui pourrait contribuer à cet objectif recensé pour lutter contre le changement climatique.
Cette réunion de Brazzaville est centrée sur le thème : « La position commune dans le cadre du sommet de l’action sur le climat ».
Face à l’urgence mondiale, sur le danger de la mauvaise exploitation des ressources et des zones forestières du bassin du Congo et l’impact du changement climatique, les experts du climat et de la forêt des pays de la CEEAC, s’inscrivent en ligne droites des accords de Paris sur le climat, la rencontre de Brazzaville, s’appuie sur la volonté des dirigeants de la CEEAC de matérialiser l’ambition mondiale tirée de cette conférence internationale sur le climat. Ceci d’autant plus que le bassin du Congo est le deuxième massif forestier tropical du monde après la forêt amazonienne. De ce fait, l’Afrique centrale dispose d’atouts considérables dans l’optique de la préservation mondiale de l’environnement.
Pour sa part, Marie Thérèse Foula, secrétaire générale adjointe de la CEEAC, pense que cette démarche vise à démontrer rapidement que le temps des discours et des réflexions interminables sur les changements climatiques sans lien avec le développement de l’action est révolue. Il s’agit donc de trouver, une position commune sous régionale.
« Je vous invite à faire un examen approfondi du présent projet à la lumière de nos orientations qui vous ont été transmises tout en gardant à l’esprit que nous devons mettre en valeur les atouts de la sous-région et toutes les actions, initiatives, projets et programmes déjà validés par les instances communautaires, en vue de concilier lutte contre les changements climatiques et développement économique ainsi que l’amélioration des conditions de vie des populations », a déclaré la ministre de l’environnement dans son mot d’ouverture.
Pour garantir les meilleures chances à la valorisation de la contribution des forêts d’Afrique centrale sur le plan international. Il est important, comme dans le cas des différentes Cop en matière de climat, que les chefs d’Etat et de gouvernement des Etats membres de la CEEAC se mobilisent et présentent une position commune lors du sommet sur le climat qui aura lieu à New York.
Cette position sera défendue le 23 septembre prochain à New-York lors du sommet des chefs d’État et de gouvernement consacré à l’Action climat.
Après le sommet d’Abu Dhabi Emirats Arabes Unis, en fin juin et début juillet 2019, où les experts avaient évoqué la question du financement des activités liées à ces problématiques. Pour les experts, la position commune apparaît comme la principale opportunité des pays de la CEEAC.
Cependant, la rencontre de New-York donnera aux gouvernants du monde, notamment les gouvernements, les acteurs de la finance, du milieu des affaires et de la société civile, l’occasion de présenter les actions concrètes posées en faveur du climat et d’afficher leurs ambitions.
Source: labreveoffice.over-blog.com
CLIMAT : La CEEAC entend parler d’une seule voix au sommet de New-York
En prélude à la tenue le samedi 07 septembre à Brazzaville de la réunion extraordinaire des ministres en charge de l’environnement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale, les experts climat de ladite communauté ont planché, le vendredi 06 septembre 2019, sur l’examen du projet de déclaration commune des pays membres de la sous-région en vue d’une meilleure préparation au sommet de l’action sur le climat qui se tiendra le 23 de ce mois à New York aux Etats Unis.
Co-organisée par les Républiques du Congo et du Gabon, la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, la réunion du segment technique des experts climat qui précède celle des ministres a permis aux participants venus des différents pays membres de la sous-région de se focaliser sur l’examen de l’avant-projet de déclaration des ministres sur la position commune. L’attention des experts étant portée sur les solutions fondées sur la nature sans exclure l’examen des actions concernant les autres thèmes, les résultats attendus au terme de ces travaux « …représentent des enjeux politiques, diplomatiques, socio-économiques et écologiques très importants pour participation réussie de la sous-région au sommet de New York », a indiqué Marie Thérèse Chantal MFOULA, Secrétaire générale adjointe de la CEEAC chargée du département intégration physique économique et monétaire.
Les pays membres de la CEEAC qui prendront part au sommet du 23 septembre prochain, convoqué par le secrétariat général des Nations Unies afin de redynamiser l’action climatique et d’amener les pays à présenter des plans concrets destinés à lutter efficacement contre les changements climatiques, devront saisir cette opportunité pour proposer des actions concrètes destinées à concilier la lutte contre les changements climatiques et le développement économiques, la création d’emplois et
l’amélioration des conditions de vie des populations.
Ainsi, la sous-région, tout en tenant compte des spécificités de chaque de chaque pays membre et à l’initiative de la présidence de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, a choisi d’adopter une position commune qu’elle ira défendre à ces assises de New York. Les pays d’Afrique Centrale qui abritent le Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, ont consenti beaucoup d’efforts pour la conservation et la gestion durable des écosystèmes forestiers ainsi que de la Biodiversité par l’entremise de l’instrument commun qui est la Commission des Forets d’Afrique Centrale (COMIFAC) d’où la nécessité pour ces derniers d’avoir une position commune face au sommet de dont l’intérêt porte sur neuf axes parmi lesquels figurent la finance, la transition énergétique, la transition industrielle et les solutions fondées sur la nature.
La sous-région ira donc «… parler d’une seule voix afin de prendre toute sa place dans l’un des axes de ce sommet dénommé « solutions basées sur la nature » nonobstant la prise en compte des autres axes retenus par les Nations Unies. (…) Les pays d’Afrique centrale assument leur responsabilité dans la préservation et la gestion durable des forêts de la sous-région et nous irons le dire ensemble à New York », a laissé entendre Arlette SOUDAN NONAULT, Ministre du tourisme et de l’environnement.
La signature à Paris, le 03 septembre 2019, de la lettre d’intention de l’Initiative pour les Forêts d’Afrique Centrale entre Denis SASSOU-NGUESSO, Président de la République et Président de la Commission Climat du Bassin du Congo et Emmanuel MACRON, Président de la France marque une étape importante en matière de financement climatique.
Précisons que cette lettre d’intention engage la République du Congo à gérer durablement ses écosystèmes forestiers, notamment les tourbières du Bassin du Congo qui séquestrent près de 30 milliards de tonnes de carbone.
A noter que la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale qui a abrité cette réunion des experts, ouverte par la Ministre du tourisme et de l’environnement de la République du Congo, avait déclaré sa candidature lors du pré-sommet organisé à Abu Dhabi comme agent financier pour la gestion et l’affectation des ressources mobilisées ou à mobiliser en faveur des pays membres de la CEEAC en matière climatique, notamment celles du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Source: groupecongomedias.com
Ouverture, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, le vendredi 06 septembre 2019, du segment des experts, prélude à la réunion extraordinaire des Ministres de la CEEAC
Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’environnement de la République du Congo, Coordinatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, a ouvert ce vendredi 06 septembre 2019, le segment des experts ,prélude à la réunion extraordinaire des Ministres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale sur l’adoption de la position commune des pays de la sous-région au Sommet de l’action sur le climat.
Madame Arlette Soudan-Nonault a reçu en audience la délégation du congrès américain conduite par Monsieur Todd Haskell, l’ambassadeur des USA au Congo
Todd Haskell, Ambassadeur des USA en République du Congo a conduit la délégation du congrès américain reçue ce mardi 06 août 2019 par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.
Le financement des projets de développement de l’écotourisme en République du Congo, entrant dans le cadre de la mise en œuvre du Mémorandum d’Entente signé entre le Ministère du Tourisme et de l’Environnement et l’USAID, a été au menu de cette séance de travail.
Madame Arlette SOUDAN-NONAULT en mission de travail dans le département du Kouilou
Faire la police environnementale pour le bien-être des populations, conformément aux directives de Son Excellence Denis SASSOU-NGUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, est l’objectif fixé par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, pour ramener les sociétés extractives à se conformer à la loi en vigueur, et à appliquer les process adaptés en vue de minimiser la pollution atmosphérique, la contamination des eaux, la destruction des écosystèmes fragiles, et autres impacts environnementaux.
Après le département de la Bouenza en juin dernier, c’est dans le département du Kouilou que s’est rendue la Ministre du Tourisme du Tourisme et de l’Environnement ce samedi 03 août 2019, visitant les installations de la société pétrolière AOGC suite aux plaintes des populations habitant non loin du site de pointe indienne, tenu par ladite société.