Environnement : Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, a reçu en audience Monsieur Elassaad BASSAM

Le Gouvernement de la République du Congo est signataire de la Convention de Vienne pour la protection de la couche d’ozone, qu’il a ratifié en même temps que le protocole de Montréal.

Le Congo a également ratifié les amendements subséquents au protocole  de Montréal, Copenhague et Beijing, en témoignage de l’intérêt que notre pays accorde à la recherche des solutions pour relever les défis environnementaux auxquels est confrontée l’humanité.

C’est dans ce contexte que Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, chargée du Développement durable a reçu le mardi 21 janvier 2020 en audience Monsieur Elassaad BASSAM, expert consultant auprès du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (Secrétariat ozone), en séjour à Brazzaville pour le suivi du processus de ratification par le Congo de l’amendement de Kigali. Ce dernier amendement au protocole de Montréal a la particularité de prendre en compte certains gaz qui n’étaient pas inclus dans le dernier amendement de Beijing.

Relance du Conseil Supérieur du Tourisme (CST) par la Ministre du Tourisme et de l’Environnement, chargée du Développement durable

Le Conseil Supérieur du Tourisme (CST), créé par décret n°82/004 du 06 janvier 1982, a été officiellement relancé ce 15 janvier 2020. Cette décision de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, chargée du Développement durable, traduit la volonté politique affichée de faire en sorte que l’industrie Touristique puisse contribuer efficacement à l’augmentation du produit intérieur brut.

Notons que dans le plan national de développement PND, l’industrie touristique est retenue comme maillon essentiel de la diversification de l’économie.

Journée nationale de la marche sportive : randonnée pédestre des agents du ministère du tourisme et de l’environnement.

Conformément au décret n°2019-33 du 07 février 2019 portant institutionnalisation des journées nationales de la marche sportive, sous la houlette de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, les cadres et agents dudit ministère ont organisé une randonnée pédestre à travers Brazzaville le samedi 11 janvier 2020.

Cette initiative, qui rentre dans le cadre du maintien de la santé et de l’accès aux  loisirs sains, a été un moment de rencontre, de détente et de convivialité entre cadres dans un environnement autre que celui du travail. Nul doute qu’elle sera répétée à l’avenir.

Appel à manifestation d’intérêt pour la sélection de consultants nationaux

  1. Contexte

Dans le cadre de la phase préparatoire du projet République du Congo ONUE-FEM  «Conservation intégrée des écosystèmes des tourbières basée sur les communautés et la et promotion de l’écotourisme dans les paysages du Lac Télé en République du Congo- ICOBACPE / PELATEL », un certain nombre de données et informations doivent être collectées pour faciliter la préparation du document dudit projet.

  1. Objet de l’appel

Par le présent Appel à Manifestation d’Intérêt, le Ministère du Tourisme et de l’Environnement invite les consultants ayant les qualifications requises, à manifester leur intérêt et à présenter leur dossier de candidature pour la réalisation des études de la phase opérationnelle du projet qui se présente comme suit :

  • Etude sur l’identification des meilleures pratiques pour une gouvernance communautaire et une gestion durable des forêts, des tourbières et des ressources naturelles
  • Etude sur la présentation d’un modèle économique intégré de gestion et de conservation participative pour l’utilisation durable des écosystèmes de tourbières et des ressources naturelles
  • Etude sur la promotion de l’écotourisme dans le paysage du Lac Télé comme moyen incitatif à la participation des communautés locales dans la conservation des tourbières et des ressources naturelles
  • Etude sur l’implication du secteur privé dans la conservation par la promotion des pratiques de gestion durable des tourbières et des ressources naturelles
  • Etude relative à la production des éléments de stratégie et d’un plan  de communication pour la gestion durable et la conservation intégrée des tourbières et des ressources naturelles par les communautés
  • Etude pour le développement d’un plan de suivi – évaluation chiffré du projet par l’utilisation des méthodes et approches internationalement reconnues.

 

  1. Comment postuler

Cet Appel à Manifestations d’Intérêt s’adresse aux personnes physiques remplissant les conditions mentionnées dans les termes de références de chaque étude  qui sont disponible sur le site web du Ministère du Tourisme et de l’Environnement  www.tourisme-environnement.gouv.org

Les Candidats intéressés devront produire les informations démontrant qu’ils sont qualifiés et expérimentés ces  pour réaliser les  études requises. Il s’agit particulièrement de présenter :

  • Un CV à jour ;
  • Une proposition technique présentant une démarche méthodologique pour la réalisation de l’étude choisie

 

  1. Soumission des offres 

4.1.  Délai : Les offres doivent parvenir au plus tard le 14 janvier 2020 à 17h00  (toute offre qui arrivera après la date et l’heure de clôture ne sera pas considérée)

4.2. Soumission des offres 

Les offres doivent être soumises par :

 

  • Physiquement : Secrétariat de la Direction Générale du Développement Durable, sis au 22e étage de la Tour Nabemba, Brazzaville.

25e COP : les pays n’ont pas pu s’entendre sur la manière de réglementer le marché mondial du carbone

C’est ce qu’a déclaré la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan Nonault, au cours d’une conférence de presse qu’elle a animée à Brazzaville.

De retour au Congo, après avoir pris part à la vingt-cinquième conférence des parties à la convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (25e COP), qui s’est tenue du 2 au 14 décembre à Madrid, en Espagne, la ministre du Tourisme et de l’Environnement a restitué ces assises à travers une conférence de presse.

Depuis près de 25 ans, la communauté internationale discute sur les voies et moyens pour lutter efficacement contre les effets néfastes des changements climatiques. Et l’Accord de Paris sur le climat signé à la COP 21 en 2015 a suscité un grand espoir dans ce sens. Tous les pays s’étant engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre à travers leurs contributions déterminées au niveau national. Malheureusement, les négociations sur cet accord qui entre en vigueur en 2020 ne sont pas encore définitivement terminées, a indiqué la ministre dans son mot liminaire.

La ministre du Tourisme et de l’Environnement a rappelé que la participation de la République du Congo à la COP 25 a été rehaussée de la présence du président de la République, chef de l’État, Denis Sassou N’Guesso, qui a personnellement conduit la délégation congolaise et a pris la parole à la table ronde de haut niveau organisée pour les chefs d’État et de gouvernement.

A cette occasion, le président de la République a évoqué les menaces de plus en plus grandissantes que font peser les changements climatiques sur les populations, les infrastructures et l’environnement et a rappelé les efforts consentis par la République du Congo dans la préservation et la gestion durable de ses écosystèmes forestiers y compris les tourbières et les mangroves.

Parlant toujours du chef de l’État, la ministre a ajouté qu’en marge de la COP25 et en sa qualité de président de la

Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) , le président de la République, chef de l’État, a patronné le side-event de la Commission Climat du Bassin du Congo relatif à la présentation des premiers résultats de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le bassin du Congo.

Toujours en marge de la COP25, le chef de l’État a été reçu au siège de l’organisation mondiale du tourisme par son secrétaire général, Zurab Pololikashvili qui était entouré de tout son staff. Un des points forts de cette visite au siège de l’OMT a été la découverte par le président de la République de la plaque commémorative érigée en son honneur par l’OMT, immortalisant ainsi sa venue dans les locaux de cette organisation internationale.

La ministre du Tourisme et de l’Environnement a fait savoir également qu’après le départ du président de la République, la délégation des experts congolais sous sa conduite a poursuivi sa participation aux activités de la COP25 en prenant part aux négociations, à plusieurs side-event et à des réunions en bilatérales. Le clou de ces activités a été la lecture qu’elle a faite, au nom du chef de l’État, de la déclaration de la République du Congo au segment de haut niveau.

Arlette Soudant Nonault a fait savoir également que les négociations à la COP 25 n’ont pas abouti. Elles ont essentiellement achoppé sur l’article 6 de l’accord de Paris qui permet aux parties de coopérer sur une base volontaire pour mettre en œuvre leurs CDN par les approches fondées ou non sur le marché.  Les pays n’ont pas pu s’entendre sur la manière de réglementer le marché mondial du carbone, a-t-elle poursuivi, ajoutant que ce point a été renvoyé à la prochaine COP 26 qui aura lieu à Glasgow en Grande Bretagne, du 9 au 20 novembre 2020.

Source : www.adiac-congo.com

Conférence de Presse de Mme Arlette Soudan-Nonault pour échanger avec les médias sur les points saillants de la participation du Congo à la COP25 à Madrid

La 25ème Conférence de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (COP 25), tenue du 02 au 14 décembre 2019 à Madrid en Espagne,a connu la participation de la République du Congo, représentée au plus haut niveau par Son Excellence Monsieur Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo.
C’est pour échanger avec les médias sur les points saillants de la participation du Congo à cet événement, que Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice technique de la Commission Climat du Bassin, qui avait conduit la délégation des experts à cette COP, a tenu une conférence de presse ce samedi 21 décembre 2019.

Visite du cimetière des Hollandais par Mme Arlette Soudan Nonault, M. Dieudonné MOYONGO, Ministre de la Culture et des Arts, et Mme Hilly-Anne FUMEY VAN BAGGUN Consul du Royaume des Pays-Bas au Congo

Dans le cadre de la promotion du Tourisme de mémoire, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, et Son Collègue Monsieur Dieudonné MOYONGO, Ministre de la Culture et des Arts, en présence de Madame Hilly-Anne FUMEY VAN BAGGUN Consul du Royaume des Pays-Bas au Congo, ont visité ce vendredi 20 décembre 2019, le site du cimetière des Hollandais.
Situé au Centre-ville de Brazzaville près du port autonome, ce site offre une opportunité touristique dont la mise en valeur s’impose comme l’ont indiqué les membres du Gouvernement, afin d’enrichir la gamme du potentiel Touristique de la Destination Green Congo.

Notons que dans ce cimetière qui s’inscrit parmi les plus anciens en République du Congo, avec des tombes qui remontent  à 1893, reposent les agents de la Compagnie Hollandaise Nieuwe Afrikaanse Handels-Vennootschap (NAHV) morts prématurément en fin du XIX siècle.

Congo / Tourisme : Des menaces de mise en demeure contre les faux tours -operateurs

La ministre du tourisme et de l’environnement a lancé sans gants une sévère mise en garde contre les réseaux informels de tours opérateurs non déclarés au ministère de tutelle, travaillant au noir sous l’étiquette d’agence de voyage. C’était lors d’une rencontre qu’Arlette SOUDAN-NOUNAULT a eu le mardi 17 décembre 2019 à Brazzaville avec des responsables d’établissements hôteliers. La ministre a par ailleurs insisté sur la nécessité de la mise en place d’un cadre de concertation avec les hôteliers dans des délais voulus brefs, aux fins de  passer au crible plusieurs dossiers comme celui de la  classification des hôtels sur la base des plus de 300 critères existant en la matière. La patronne du tourisme au Congo a présenté ce cadre de concertation comme une exigence.

Au cours de cette réunion, les responsables des hôtels ont eu l’occasion de s’exprimer librement sur les problèmes qui constituent pour eux des préoccupations majeurs, mieux des entraves à l’éclosion du secteur touristique. Ces problèmes tournent autours de l’instauration du visa touristique, de l’ouverture de l’espace aérien à plusieurs autres opérateurs du secteur de l’aviation, ce qui aurait un impact sur les tarifs des billets jugés  élevés par  un des deux responsables qui se sont exprimé au nom du collectif lors de la réunion. Les routes, elles aussi,  ne sont  pas  en reste, elles ont aussi été évoquées comme essentielles dans la viabilisation du pays dans le secteur du tourisme.

Le tourisme au Congo, a rappelé la ministre, s’est doté depuis juin 2016 d’une Stratégie Nationale du Tourisme Durable et Responsable. Cette  stratégie, pense –t- elle , « beaucoup d’hôteliers ne se l’ont pas encore appropriée ». C’est cette stratégie qui institue le cadre de concertation qu’Arlette SOUDAN-NONAULT souhaite voir enfin se réaliser après deux ans d’un travail laborieux des équipes commises à la tache de sa mise en place : « Pour ma part j’ai pris l’engagement que si dans un mois je ne l’ai pas, je vais devoir sanctionner. Ça c’est la bonne nouvelle. On ne peut pas passer deux ans à peiner pour mettre en place  un cadre de concertation, c’est inacceptable ». Au sujet du visa touristique, la ministre a annoncé que toute l’étude concernant ce visa a déjà été finalisée. «  Nous avons déjà le visa touristique en document. Maintenant il nous faut simplement installer le matériel au niveau des frontières », a-t-elle rassuréUne annonce qui s’est du reste arraché des applaudissements de la part des  hôteliers.

Par ailleurs, la ministre du tourisme a évoqué les bureaux d’informations touristiques dont les hôteliers ne se servent pas assez, a-t-elle regretté, avant d’aiguiller ces derniers vers l’Office de la Promotion de l’Industrie Touristique (OPIT) et les supports et espaces de communication digitale existant comme le site internet de l’office et les pages officielles des réseaux sociaux dédiées au tourisme. A cela s’ajoute, un arsenal de lois réglementant le secteur, parmi lesquelles celle portant création de la Société d’Ingénierie Touristique (SIT).

Gare aux agences de voyage déguisées en tours opérateurs !

S’exprimant au sujet de ce qu’elle considère comme de prétendus tours opérateurs, la ministre du tourisme a dit : « Je n’ai pas de tours opérateurs comme tel. J’ai des partenaires qui ne veulent pas se mettre aux normes, qui font des bénéfices, (…) qui ne communiquent pas parce qu’ils ne veulent pas se faire repérer. Ils sont mis un réseau informel avec plein d’activités dans les loisirs. Aujourd’hui je tire cette sonnette d’alarme parce qu’il y a un an j’avais donné un délai qui est passé, et je tenais à vous dire que ce délais est passé de plus de six mois. Je vais interpeller les différents  préfets pour des mises en demeure de toutes les agences de voyage qui se prennent pour des tours opérateurs mais qui n’en sont pas ».

 

source : www.groupecongomedias.com

Tourisme : Adoption de trois (03) lois fondamentales du secteur du tourisme par les sénateurs.

Après l’assemblée Nationale le 25 novembre 2019, les parlementaires de la Chambre Haute du Sénat ont approuvé en plénière ce 17 decembre 2019, les trois rapports de lois fondamentales du secteur du tourisme présentés par la Commission Affaires Juridiques et Administratives, et portés par Madame Arlette SOUDAN NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.

Ces lois fondamentales portent sur:

  • La création de la Société Congolaise d’Ingénierie Touristique (SOCITOUR) , chargée de mettre en oeuvre l’ensemble des politiques publiques en matière d’aménagement et d’équipement touristique.
  • La création du Guichet Unique du Tourisme (GUT), chargé d’accompagner et d’aider les investisseurs et les opérateurs du secteur du tourisme et de l’hôtellerie.
  • La rénovation et la transformation de l’ Office de Promotion de l’Industrie Touristique (OPIT) en un établissement public à caractère commercial chargé de structurer et de promouvoir la <<Destination Congo>>

C’est à l’issue d’un échange avec la Ministre, que les Sénateurs convaincus par les explications qui leurs ont été fournies, ont procédé à l’adoption de ces textes.

Allocution du Directeur Général de l’Environnement à l’atelier sur les techniques d’identification des Substances qui appauvrissent la couche d’Ozone (SAO) en vue de la protection de la couche d’ozone.

Cliquez ici, pour télécharger ladite allocution

Monsieur le Coordonnateur National du Bureau Ozone Congo ;

Mesdames et Messieurs les Directeurs Départementaux et Chefs de Service de l’Environnement, de l’Industrie et du Commerce Intérieur de Brazzaville ;

Mesdames et Messieurs les Agents des Services des Douanes de Brazzaville,

Messieurs les Techniciens Frigoristes ;

Et chers Compatriotes !

C’est avec un réel plaisir que je prends la parole, au nom de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement pour vous remercier de votre disponibilité à prendre part massivement à atelier de sensibilisation et de formation des parties prenantes aux techniques d’identification des Substances qui appauvrissent la couche d’Ozone (SAO), du commerce illicite des Substances qui appauvrissent la couche d’Ozone (SAO) et de la reconversion des équipements frigorifiques, en vue de la protection de la couche d’ozone.

Mesdames et Messieurs !

Pour la petite histoire, la couche d’ozone est un bouclier dans la haute atmosphère (la stratosphère) qui protège la vie sur terre contre certains rayonnements ultraviolets du soleil.

C’est depuis 1985 que la problématique sur la protection de la couche d’ozone est devenue une préoccupation mondiale avec la signature de deux traités à savoir : la Convention de Vienne pour la protection de la couche d’ozone et de son Protocole de Montréal relatif aux substances appauvrissant la couche d’ozone.

En effet, l’altération de la couche d’ozone stratosphérique qui nous préoccupe aujourd’hui, est due, on ne peut plus se tromper, à l’utilisation abusive, par l’homme de substances qu’il a pourtant mis au point, à l’origine pour son propre bien.

Heureusement que la Communauté Scientifique Internationale (CSI) et les industriels de bonne foi ne cessent de consentir les efforts pour la mise au point des substituts aux Substances qui appauvrissent la couche d’Ozone (SAO) et pour le développement des nouvelles technologies inoffensives à la couche d’ozone.

En guise de rappel, le Protocole de Montréal a permis de :

 

  • éviter des millions de cas de cancer et de milliards de dollar de dépense dans le domaine de la santé par la réduction et l’élimination des Hydrochlorofluorocarbures (HCFC) et Hydrofluorocarbures (HFC) ;
  • éviter la consommation d’environ 72 milliards de tonnes d’équivalent du gaz carbonique (CO2) d’ici l’an 2050 et participer au maintien de la température globale de moins de 2°C par l’élimination des Hydrochlorofluorocarbures (HCFC) et des Hydrofluorocarbures (HFC) , à cause de leur Potentiel Global de Réchauffement (PGR).

Au Congo, cette problématique de la Couche d’Ozone est devenue une préoccupation gouvernementale avec la ratification de ces traités et des amendements y afférents. Ceci confirme une fois de plus, la volonté de notre pays à résoudre les problèmes environnementaux qui se posent à l’échelle planétaire.

Soulignant que ces efforts inlassables réalisés au haut sommet, s’inscrivent dans le cadre de la politique de gestion durable de l’environnement, chère à Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République du Congo notamment dans son projet de société ‘’ La marche vers le développement’’.

Mes chers compatriotes !

Cet atelier se tient, faut-il le signaler, quelques mois seulement après la célébration de la journée internationale de la protection de la couche d’ozone, commémorant ainsi, la signature du Protocole de Montréal relatif aux substances qui appauvrissent la couche d’ozone (SAO).

Cette journée est célébrée le 16 septembre de chaque année et pour cette année le thème était « 32 ans de lutte, en voie de guérison ».

C’était un moment plus que jamais de sensibiliser les acteurs politiques, le Monde scientifique, la société civile, les leaders d’opinion sur les problèmes qui touchent la couche d’ozone et par conséquent notre planète.

La tenue de cet atelier s’inscrit dans la même dynamique.

Cette fois-ci, il s’agit de renforcer les capacités des :

  • Douaniers, dans l’identification et le contrôle d’importations des Subsistances qui Appauvrissent la Couche d’Ozone (SAO), ainsi que le commerce illicite ;
  • Techniciens Frigoristes, dans la reconversion des équipements frigorifiques aux alternatives aux hydrochlorofluorocarbures (HCFC) et des hydrofluorocarbures (HFC) ;
  • Décideurs publics, privés et  ONG/Associations pour la sensibilisation en vue de la protection de la couche d’ozone, engagée dans notre pays depuis près de trois décennies.

J’ose croire que durant ces deux jours vous bénéficierez d’un enseignement et d’une formation susceptibles de réduire considérablement les importations et l’utilisation des hydrochlorofluorocarbures ou R-22 à l’horizon 2040, gaz ayant un potentiel élevé de destruction de la couche d’ozone.

Au nom de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, je déclare ouvert, l’atelier de sensibilisation et de formation des parties prenantes aux techniques d’identification des Substances qui Appauvrissent la Couche d’Ozone (SAO), du commerce illicite des SAO et de la reconversion des équipements frigorifiques, en vue de la protection de la couche d’ozone.

 

Je vous remercie !!!