
La désertification et la sécheresse impactent la vie socio-économique des pays à travers le monde
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Célébrée sous le thème « Unis pour les terres, notre patrimoine, Notre avenir » , l’édition 2024 de la journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse a été une nouvelle occasion pour la République du Congo à travers la déclaration gouvernementale de la Ministre #Arlette SOUDAN-NONAULT, de faire le point sur l’impact des catastrophes naturelles sur nos terres.
« Dans plusieurs départements du Congo, cette dégradation est hélas une réalité et la destruction de la couverture de la couverture végétale par l’agriculture itinérante sur brûlis en est la principale cause », a t-elle expliqué.
La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo a exhorté les populations à s’approprier des lois sur la protection de l’environnement et le développement durable tout en renforçant la sensibilisation.
Planter du vétiver contribue à la restauration des terres
Suite aux pluies diluviennes qui ont dégradé les sols en République du Congo, la Ministre de l’environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, #Arlette SOUDAN-NONAULT, s’est rendue le 11 juin à Don Bosco dans l’arrondissement 9 Djiri et à Mayanga dans l’arrondissement 8 Madibou, pour apporter une solution palliative aux érosions hydriques qui ont gagné du terrain dans ces agglomérations.
Accompagnée par les agences du système des Nations-Unies, notamment le PNUD et la FAO, la Ministre a lancé officiellement l’installation des dispositifs anti-érosion et le planting de vétiver.
Par ce geste, la Ministre a traduit l’engagement du gouvernement qui est d’accompagner les populations victimes de ce phénomène, à travers plusieurs axes d’actions, notamment informer le public sur les méthodes simples de valorisation des eaux de pluie à travers les politiques de gestion des eaux au niveau des zones d’habitation et former les jeunes pour pérenniser et dupliquer ces techniques.
M. Theche EKOUNGOULOU, a au nom de la FAO, souligné l’importance de la gestion des sols. Le représentant adjoint du PNUD, M. Henry René DIOUF, a quant à lui interpellé les parties prenantes sur leurs responsabilités dans ce processus de restauration des terres.
C’est avec engouement que les populations ont participé au planting de vétiver dont le coup d’envoi a été donné par Madame la Ministre.








Sensibiliser les populations sur la protection de l’environnement, c’est sauver la planète et les générations futures
Dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de l’environnement le 5 juin dernier, le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, a tenu le 7 juin 2024 , une activité de sensibilisation sur la restauration des terres et la résilience à la sécheresse, dans la salle des conférences de la préfecture, sous le patronage de la Ministre #Arlette SOUDAN-NONAULT, en partenariat avec le PNUD.
Les participants regroupant la société civile, les confessions religieuses, les ONG, les administrations publiques et autres institutions nationales et internationales, ont assisté à cette sensibilisation sur la protection durable de l’environnement, occasion qui leur a permis d’échanger à bâtons rompus avec la Ministre en charge de l’environnement sur des questions pertinentes dans le but de pallier à la destruction des terres.
Face à cette problématique, la Ministre a annoncé la tenue d’une « Marche verte du Congo contre les érosions » le 15 juin prochain à Pointe-Noire, au cours de laquelle se fera le ramassage des déchets à remettre aux structures habilitées au recyclage.
A l’issue de ces échanges, deux jeunes étudiantes, MAKOUMBOU Samuel et IBINDA Divine ont présenté deux projet de fabrication des pavés à travers le recyclage des déchets plastiques, pour lesquels le PNUD a apporté un appui financier à hauteur 750.000 FCFA pour chaque projet.
Cette journée de sensibilisation s’est conclue par une visite des stands d’exposition des déchets recyclés dans le cadre de l’économie circulaire.
La République du Congo a réaffirmé son engagement pour la gestion durable l’environnement
Ayant pour enjeu de sensibiliser l’opinion publique à participer à l’effort collectif de préserver l’environnement, la République du Congo n’est pas restée en marge de la célébration de la 51eme journée mondiale de l’environnement, le 5 juin.
A l’occasion de l’édition 2024 célébrée sous le thème « la restauration des terres, la lutte contre la désertification et la résilience à la sécheresse », le gouvernement, par l’entreprise de la Ministre #Arlette SOUDAN-NONAULT a invité toutes les couches sociales à contribuer à l’effort de lutte contre les érosions dans les villes et agglomérations en proie à ce phénomène au travers l’opération de planting, tout en les appellant également à la responsabilité pour mettre fin aux pratiques agricoles destructrices et ravageuses des forêts, notamment les feux de brousse ou de savane ainsi que le déboisement.
Elle a par ailleurs rappelé que la restauration des terres est une solution pour redynamiser les écosystèmes et consolider le tissu économique et industriel du Congo.
Dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de l’environnement, plusieurs activités seront organisées à Brazzaville et Pointe-Noire, notamment la journée de sensibilisation sur la restauration des terres et la résilience à la sécheresse, l’installation du dispositif anti-érosion à Mayanga dans le 8eme arrondissement Madibou et à Don Bosco dans l’arrondissement 9 Djiri.
Il y aura également la messe de sensibilisation contre les méfaits des changements climatiques pour la protection de l’environnement à la paroisse Saint François d’Assise et la marche écologique à Pointe-Noire sous le patronage du Premier Ministre Anatole Collinet MAKOSSO.
Les Ministres en charge de l’Environnement de la sous région se préoccupent de l’avenir du marché carbone de la CCBC
Après examen des axes stratégiques de financement du marché carbone par les experts de la CCBC, le tour est revenu aux Ministres d’adopter les statuts relatifs à l’organisation et au fonctionnement du fonds bleu pour le Bassin du Congo (F2BC), le 24 mai 2024 par visioconférence.
Ouvrant ladite session, le Premier Ministre Anatole Collinet MAKOSSO a saisi cette occasion pour féliciter la Secrétaire Exécutive de la CCBC pour son implication dans cette institution de l’Union Africaine dont l’objet est d’accélérer la mise en œuvre de la transition climatique et la transformation économique du Bassin du Congo dans une logique de développement durable.
Il a par ailleurs rappelé que l’adoption des statuts du F2BC permet d’organiser et de définir son mode de fonctionnement avant d’interpeller les participants pour qu’ils agissent ensemble face à l’urgence climatique, afin de garantir l’équilibre de l’humanité.
Clôturant la réunion, la Ministre #Arlette SOUDAN-NONAULT s’est réjoui du résultat de ces travaux enrichissants et a en outre invité l’ensemble des parties prenantes à multiplier les démarches en vue d’une mobilisation concrète des ressources pour le financement du plan d’investissement du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo
COMMUNIQUE DE PRESSE : Les Ministres de la CCBC se réunissent pour discuter des intérêts communs de leurs pays respectifs
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Brazzaville, le 22 mai 2024, La Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC), dont la présidence est assurée par SEM Denis SASSOU N GUESSO , Président de la République du Congo , Chef de l Etat, organise par visioconférence les 23 et 24 mai 2024, sous haut le patronage du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Monsieur Anatole Collinet MAKOSSO , la réunion des Ministres de la CCBC.
Cette réunion a pour enjeu principal l adoption des projet s de statuts portant organisation et fonctionnement du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo (F2BC), des axes de la stratégie régionale de la finance et du marché carbone de la CCBC, de la feuille de route pour l’élaboration de la stratégie régionale de la finance du marché carbone de la CCBC e t la nouvelle traduction en anglais des articles 4.2, 4.3, 10 ; 11 et 12 du mémorandum pour la création du F2BC.
Dans le cadre de la bonne tenue de cette réunion , les Ministres en charge de l environnement, des finances des Etats membres de la CCBC ont été également conviés, ainsi que l Union Africaine, la CEEAC , la CEMAC, la CAE, la COMIFAC et d’autres partenaires techniques et financiers.
Les travaux qui se dérouleront en deux (2) jours permettront aux États de soumettre des recommandations pour le fonctionnement de l outil de financement de la CCBC.
En rappel, la CCBC a été créée le 16 novembre 2016 à Marrakech, en marge de la COP 22 par les Chefs d État et de Gouvernement Africains sur l initiative de Sa Majesté Mohammed VI . A l occasion de cette COP, le Président Denis SASSOU N’GUESSO , premier écologiste du Congo lançait le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo (F2BC), outil financier de la CCBC, dont la mission principale vise à mobiliser les ressources nécessaires auprès des bailleurs de fonds pour la mise en œuvre des programmes et projets contribuant au développement durable des États et la promotion d une économie bleue.
Le secrétariat Exécutif de la CCBC est assuré par Mada me Arlette SOUDAN-NONAULT , Ministre de l Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo.
Pour plus amples informations,
Veuillez contacter contact@ccbc-cbcc.org
La République du Congo poursuit ses efforts de conservation de sa biodiversité.
A l’occasion de la célébration de la journée internationale de la biodiversité biologique, célébrée le 22 mai, Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, a rappelé que l’État a pleinement contribué à la mise en œuvre du Plan pour la biodiversité. Son rôle dans la mise en œuvre de ce Plan de l’ONU a permis, à travers le projet zones clés pour la biodiversité, d’inscrire 21 sites au secrétariat des zones clés pour la biodiversité.
A noter que les zones clés sont des sites qui contribuent de manière significative à la persistance mondiale dans les environnements terrestres, aquatiques et marins, tout en jouant un rôle clé dans la régulation du climat, a conclu la Ministre en charge de l’environnement.
Le thème de cette année « Faites partie du plan », est un rappel à l’action pour stopper et inverser la perte de la biodiversité, a t-elle indiqué, invitant ainsi les peuples autochtones et les communautés locales, les organisations non gouvernementales, les législateurs, les entreprises et les particuliers à jouer chacun son rôle pour freiner et limiter la perte de biodiversité.
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L’accélération de l’agenda climatique du Congo, une priorité pour la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo
Deux réunions de travail à l’agenda de la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo, Arlette SOUDAN-NONAULT, ce lundi 13 mai.
D’abord, celle tenue avec le groupe de coordination de la 3eme communication nationale (TCN) en matière de Climat, conduit par le Professeur Félix KOUBOUANA.
Cette réunion en format hybride a permis aux parties prenantes de discuter autour des défis qui minent la finalisation de ce projet.
Tenant compte de l’agenda climatique du Congo qui s’avère très serré, cette réunion de travail a permis de trouver les solutions dans le cadre de la finalisation de la TCN, dans le but d’entamer également l’élaboration des autres documents importants comme le premier rapport biennal (BUR) et le rapport de transparence (BTR) que les pays sont tenus à soumettre au plus tard le 31 décembre 2024.
Au cours de la réunion, le Professeur KOUBOUANA a laissé entendre que les groupes sectoriels ont déjà soumis à ce stade les rapports d’inventaire des gaz à effet de serre dans différents secteurs.
La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a par ailleurs émis des recommandations entre autres, le déblocage des fonds nécessaires pour finaliser ce projet.
Elle a ensuite tenu une séance de travail avec M. Daouda Oumarou, Conseiller technique principal du projet conservation intégré à base communautaire des écosystèmes des tourbières et promotion de l’eco-tourisme dans le paysage du Lac Télé.
Cette séance de travail a été l’occasion pour les parties prenantes de discuter autour des défis liés à la mise en œuvre de ce projet qui permettra de réduire les actions ou pressions sur les communautés des tourbières autour du paysage du Lac Télé.
A cet effet, Madame la Ministre a donné des instructions à savoir la mise en place d’un rétroplanning des travaux annuels et l’accélération des accords avec les différents organes d’exécution dudit projet.




