Réunion sur l’ouverture des offres techniques et financières de l’étude de préfiguration du F2BC au siège du PNUD à New-York

Dans le cadre de l’operationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, et conformément aux orientations de Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République du Congo, Chef de l’État, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, coordinatrice Technique que ladite Commission, a présidé ce Mardi 05 février 2019,au siège du PNUD à New-York, la Réunion sur l’ouverture des offres techniques et financières de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Cette réunion s’est tenue en présence des représentants des institutions sous régionales et internationales notamment le CAFI, la COMIFA, et le 4C MAROC.

Environnement : démarrage de la deuxième phase du projet « CongoPeat »

L’annonce a été faite par la ministre du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan-Nonault, au cours d’une conférence de presse qu’elle a animée, la semaine dernière, en présence des chercheurs de l’université de Leeds et de l’Université Marien-Ngouabi, dans le cadre de la mise en œuvre du projet.

CongoPeat (Congo tourbières) est le fruit de la coopération entre la République du Congo et l’université de Leeds. Ce projet vise la production d’une cartographie améliorée et l’approfondissement des données scientifiques de la zone des tourbières de la Cuvette centrale du Bassin du Congo, notamment le stock de carbone séquestré, en vue d’une gestion durable de ces écosystèmes fragiles.

En présence du Dr Bocko Yannick Enock, enseignant chercheur à la faculté des sciences et techniques de l’université Marien-Ngouabi et du Pr Simon Lewis, de Leeds university, Arlette Soudan-Nonault a indiqué qu’il était question d’évaluer les impacts des menaces futures les plus probables sur les tourbières.

Il s’agit, entre autres, de l’impact de la coupe des canaux de drainage et celui des déversements de pétrole, y compris la façon dont ils circulent sur le paysage ; l’impact de la construction de routes sur les schémas de drainage ; celui de l’abattage sélectif, de la conversion de la forêt de tourbe en paludiculture ; de la conversion de la forêt de tourbe en plantation industrielle.

La ministre du Tourisme et de l’environnement a rappelé que lors de son message devant le parlement réuni en congrès du 29 décembre 2018, le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, avait déclaré que le Congo maintenaitt son leadership dans la conservation de la biodiversité. Ce qui offre une bonne perspective de préservation des trente milliards de tonnes de carbone séquestré par les tourbières étendues sur 145 000 km2. Arlette Soudan-Nonault s’emploie ainsi à rendre effective cette vision du président de la République.

La ministre a souligné que depuis près de vingt-quatre ans, les conférences des parties à la CCNUCC ont permis tant bien que mal à la communauté internationale d’avancer sur les questions liées à la lutte contre les changements climatiques. Pour mémoire, la COP21, tenue en décembre 2015, en France, a marqué un tournant dans les négociations climatiques. Cet accord dont l’ambition affichée est de maintenir la température de la terre en dessous de deux degrés a permis l’adoption d’un nouveau cadre juridique international, beaucoup plus ambitieux et contraignant, qui va remplacer le Protocole de Kyoto à l’horizon 2020.

Bien qu’il soit le continent qui contribue le moins aux émissions globales, l’Afrique est en même temps l’une des régions les plus vulnérables aux changements climatiques, où des dizaines de millions de personnes subissent, chaque année, les effets néfastes des sécheresses, des inondations, des érosions, des glissements de terrain, du stress hydrique, de l’insécurité alimentaire et d’autres effets secondaires accentués par les changements climatiques. C’est pourquoi ce continent devrait recevoir beaucoup plus qu’elle ne reçoit à l’heure actuelle en termes d’appui financier pour l’atténuation et l’adaptation aux changements climatiques, a laissé entendre Arlette Soudan-Nonault.

Notons qu’à l’occasion de la phase 2 du projet CongoPeat, les chercheurs des deux universités séjournent dans les départements de la Likouala et de la Cuvette, du 21 au 31 janvier. A l’issue de cette mission, un mémorandum d’entente sera signé entre la République du Congo et l’université de Leeds.

Source : www.adiac-congo.com

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Allocution de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT à l’atelier de validation de la note Conceptuelle du projet « renforcement des capacités d’adaptation aux changements climatiques …

Monsieur le Coordonnateur du Système des Nations Unies au Congo ;
Monsieur le Représentant du Programme Alimentaire Mondial en République du Congo;
Mesdames et Messieurs les délégués des agences du système des Nations Unies ;
Messieurs les Inspecteurs Généraux ;
Madame et Messieurs les Directeurs Généraux ;
Mesdames et Messieurs les membres du Comité technique
du Projet d’Adaptation aux Changements climatiques ;
Mesdames et Messieurs les représentants de la société civile ;
Chers invités, Mesdames et Messieurs ;
Mesdames et Messieurs ;
Je voudrais avant tout propos, et puisqu’il n’est pas trop tard pour le faire, vous souhaiter à vous-même ainsi qu’à vos familles respectives, une bonne et heureuse année 2019.Je voudrais par la même occasion vous remercier pour votre présence en ces lieux qui marque votre intérêt vis-à-vis la problématique de la lutte contre le changement climatique, laquelle est au coeur du projet qui nous rassemble ce jour. En effet, le changement climatique représente de nos jours l’un des plus grands défis auquel l’humanité fait face. Il s’agit d’une question de survie pour toute la planète, tel que cela a été indiqué dans le dernier rapport du Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’évolution du Climat, le GIEC.
Mesdames et Messieurs, Notre pays qui figure parmi les pays vulnérables aux catastrophes naturelles, en général, et climatiques en particulier n’est
malheureusement pas épargné par les effets néfastes du changement climatique qui affectent tant les populations, les infrastructures que les écosystèmes. Le dérèglement climatique est notamment devenu une menace pour notre sécurité alimentaire, du fait de l’imprévisibilité qu’il engendre dans le calendrier agricole, fragilisant ainsi le processus de production agricole et le développement économique et social. Il devient par conséquent impérieux pour notre pays de développer les capacités de résilience des communautés locales et autochtones, par la mise en place de mécanisme d’adaptation en faveur des producteurs agricoles, afin de les aider à de palier à l’insécurité alimentaire. …

Téléchargez le PDF : Allocution de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement

Environnement : interview de madame Arlette Soudan-Nonault par le journal électronique levert

Célèbre pour sa combativité, son dynamisme et par son engagement au service de l’environnement, cette fille de diplomate, née à Brazzaville et actuelle Ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, nous a livré de précieuses réponses que beaucoup de citoyens du continent Africain sensibles à la question écologique et environnementale se posent.

L’interview a été clôturé par un message fort pour une mobilisation de tous les citoyens africains, que nous vous invitons à découvrir en fin de vidéo.

A travers ses déclarations spontanées, nous avons également fait la rencontre d’une femme passionnée et profondément touchante ayant une vision pleine d’espoir pour l’avenir du continent et pour la planète.

source: www.levert.ma

Tourisme : le gouvernement érige les Cataractes de Brazzaville en Site Touristique

La ministre du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan-Nonault a indiqué le 27 janvier que le site touristique en construction aux cataractes du fleuve Congo, dans le 9e arrondissement, Madibou, à Brazzaville, allait contribuer à la diversification de l’économie congolaise, grâce aux taxes et impôts qui y seront prélevés sur les services et les commerces.

Ce site moderne s’étend sur 8 hectares dont 5 sur la partie terrestre et les 3 autres incluront l’île des amoureux et celui du diable.

On y trouvera diverses boutiques dont une pour les artisans, des restaurants, une salle polyvalente, des haies de promenade sur les quais, des parcours de randonnées pédestres, des parkings, un parc d’attraction pour enfants, des quais pour la pratique du kayak et hors-bords…

Les services de la place seront provisoirement remis au gouvernement congolais, par le biais du ministère en charge du Tourisme, en juin prochain. Actuellement, les offres pour la gestion dudit site et les réservations des espaces et services sont disponibles au ministère du Tourisme et de l’environnement.

La construction de ce site moderne des cataractes est financée à 70% par la STB, une société privée de droit congolais, et l’Etat congolais qui apporte les 30% restants.

Source: www.vox.cg

CongoPeat : Communiqué de presse

                                                Cliquez ici, pour télécharger le communiqué de presse

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

Objet : Deuxième phase du projet « CongoPeat »

Le 22 janvier 2019, à 10h00, à l’hôtel Edmond, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, animera une conférence de presse en présence des chercheurs de l’Université de Leeds et de l’Université Marien N’Gouabi dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du projet CONGOPEAT (Congo tourbières).

Ce projet, qui est le fruit de la coopération entre la République du Congo et l’Université de Leeds, vise la production d’une cartographie améliorée et l’approfondissement des données scientifiques de la zone des tourbières de la Cuvette Centrale du Bassin du Congo notamment le stock de carbone séquestré, en vue d’une gestion durable de ces écosystèmes fragiles.

Il s’agira plus précisément d’évaluer les impacts des menaces futures les plus probables sur les tourbières, tels que :

  • l’impact de la coupe des canaux de drainage ;
  • l’impact des déversements de pétrole, y compris la façon dont ils circulent sur le paysage ;
  • l’impact de la construction de routes sur les schémas de drainage ;
  • l’impact de l’abattage sélectif ;
  • l’impact de la conversion de la forêt de tourbe en paludiculture ;
  • l’impact de la conversion de la forêt de tourbe en plantation industrielle.

Lors de son message devant le parlement réuni en congrès du 29 décembre 2018Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, a  déclaré : « le Congo maintient son leadership dans la conservation de la biodiversité, ce qui offre une bonne perspective de préservation des 30 milliards de tonnes de Carbonne séquestrés par les tourbières étendues sur 145 000 Km2 ». Madame Arlette SOUDAN-NONAULT Ministre du Tourisme et de l’Environnement s’emploie depuis son arrivée à la tête du Département de l’Environnement à rendre effective cette vision du Président de la République.

A l’occasion de la phase 2 du projet Congo Peat, les chercheurs des deux Universités séjourneront dans les départements de la Likouala et de la Cuvette du 21 au 31 janvier 2018.

Notons qu’à l’issu de cette mission un mémorandum d’entente sera signé entre la République du Congo et l’Université de Leeds.

 

 

                                                                  Le responsable de la communication

 

 P/O NIATIS-NIATY Grace

Environnement : Madame Arlette Soudan-Nonault, coordonnatrice technique de la CCBC a reçu en audience le Président de la BDEAC

Le financement du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo a fait objet de l’audience qu’a accordée Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, à Monsieur Fortunato-OFA MBO NCHAMA, Président de la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale, ce jeudi 10 janvier 2019.

C’est pour accompagner la Commission Climat du Bassin du Congo dans l’opérationnalisation de son instrument financier, que la Banque sous-régionale de par son expertise et son expérience, a été sollicitée par la Coordonnatrice Technique de ladite commission, pour abriter les fonds dédiés au financement de cet instrument.

Signalons, que la BDEAC a révisé ses statuts en mettant un accent particulier sur la finance climatique, dans le but de soutenir l’action menée par les Chefs des Etats des pays membres de la Commission Climat du Bassin Congo, lors du sommet qui s’est tenu à Brazzaville en avril dernier à l’initiative de Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la Commission Climat du Bassin Congo.